La vie : 315 citations

A contrario d’une course de durée où l’on part pour arriver, la vie est une course de compétition où l’on arrive pour partir.
A défaut de s’en convaincre, la sénilité nous rappelle, à chaque instant, notre vieillesse.
A la tombée de la nuit, je m’empresse de retourner vers le jour.
A raison, le temps donne, toujours, raison.
A tout seigneur dans le ravage, tout honneur dans le combat.
Ah la vie ! Ce n’est autre que naître, devenir et mourir.
Ainsi l’Homme s’inquiète sur ce qui l’attend après la mort et ne se demande pas où il était avant de naître.
Arrêter la musique, je continue à danser au rythme de mon extase.
Au bout de mon âge Qu’aurais-je trouvé ? Des rides plein le visage Et des douleurs ravivées.
Au bout de mon âge Qu’aurais-je trouvé ? Que la Vie n’est qu’un passage vers l’éternité, retrouvée.
Au bout de mon âge Qu’aurais-je trouvé ? Une âme en attente de voyage Et un corps éprouvé
Au bout des doigts, l’écran tactile, tellement utile, emporte intelligent et débile vers le pertinent et le futile.
Au final, toute création ne peut être que l’œuvre d’un seul créateur.
Au royaume des poussières, j’élirai domicile.
Autant l’Homme est maître de son espace naturel, avec ses trois dimensions, autant la seule et unique dimension du temps lui échappe complètement.
Autant la richesse fait rêver le pauvre que la pauvreté fait cauchemarder le riche.
Autant le chant des sirènes envoûte autant le son des sirènes effraie.
Avant de boire, il faut, toujours, s’assurer de la potabilité de l’eau.
Avant de plonger, il faut, toujours, s’assurer de sa profondeur.
Avant de sauter, il faut, toujours, s’assurer de son point de chute.
Avec des peines qui durent, la vie n’est que dure.
Avec le temps, sagesse, philosophie et folie finissent par habiter à la même enseigne.
Bien qu’ils n’aient pas tous une mer, les humains ont, cependant, tous une mère.
Bien voler au secours des gens que voler leurs biens.
Bonnes ou mauvaises, la vie nous arrose, chaque jour, de ses nouvelles.
Ce Monde repose sur un équilibre de rapports de forces.
Ce n’est pas par ma volonté que je suis venu à la vie et ce n’est par elle que j’en repartirai.
Ce n’est qu’en vie que naît l’envie.
Ce qui fait tourner la Terre, m’a toujours fait tourner la tête.
Celui qui n’a pas su tirer des leçons dans sa jeunesse, aura-t-il la clairvoyance d’en tirer dans sa vieillesse ?
Celui qui cultive la haine se condamne à une souffrance inévitable, en s’enfermant dans une prison mentale dont il est le propre geôlier.
Chaque grand homme ne l’est devenu qu’à l’ombre de son père.
Chaque jour qui se lève est une nouvelle page du livre de la Vie.
Chaque matin, la vieillesse ne cesse de rappeler que la vie reste suspendue à un seul jour sans lendemain.
Comment faire du bien à autrui si on ne le fait pas à soi-même ?
Continuer à errer vers l’inconnu si les leçons de la vie ne sont pas apprises.
Cours et jette ta courgette, on te guette !
Courir après la vie, stimule l’envie.
Dans cette Vie et sans ma volonté, je suis venu et j’en repars.
Dans cette Vie, chaque Humain se construit son immeuble sur les fondations de son passé avec la certitude de ne jamais l’achever.
Dans cette Vie, il n’y a que l’amour de Dieu pour Ses Créatures qui dépasse celui d’une mère pour ses petits.
Dans cette Vie, toute œuvre de l’Homme, création parfaite, est imparfaite.
Dans cette vie, le riche se complaît dans le convexe et le pauvre dans le concave.
Dans cette vie, plus j’apprends, plus je réalise que je ne sais rien.
Dans la nuit, tout silence est un bruit.
Dans la vie de l’Homme sur Terre : Il vaut mieux taire l’avis !
Dans la vie, en chaque jour qui se lève, réside une espérance.
Dans la vie, il faut réfléchir, décider et agir pour échouer ou réussir.
Dans la vie, il n’y a pas de bonheur ultime, il n’y a que le malheur ultime : la mort.
Dans la vie, n’ayant rien à perdre, le pauvre est libre et le riche reste prisonnier de sa richesse.
Dans la vie, on arrive, nécessairement, à l’âge où il faut penser pour panser ses doutes.
Dans la vie, plus on partage et on abandonne ses idées, plus elles vivent et se bonifient dans l’esprit des autres.
Dans la vie, tout homme se construit une identité, le sol natal en est un principal composant.
Dans la vie, un et un ne font pas toujours deux.
Dans le continuum espace-temps de l’Univers, la Vie n’est qu’un rêve qu’on entame à la naissance et dont on sort à la Mort pour continuer notre sommeil éternel.
Dans les tréfonds obscurs d’une âme maléfique, se cache, toujours, un démon vengeur qui se délecte de la souffrance des humains.
Dans cette vie, plus j’apprends, plus je réalise que je ne sais rien.
Dans cette vie, si dure, l’homme est, toujours, en quête de tendresse et de compassion.
De grâce Vieillesse, cessez de m’affaiblir, je ne pourrai vous contenir.
De nos jours, on est beaucoup plus enclin à se faire de véritables ennemis que de véritables amis.
De nos jours, qui, mieux qu’une relation inversement proportionnelle, pourrait lier l’intelligence à la puissance ?
De tout temps, les nuages ont dessiné des formes uniques sans qu’aucune ne ressemble à l’autre.
debout, l’Homme affronte la vie avec vigueur, puis allongé, il s’abandonne finalement à l’étreinte éternelle de la mort.
Depuis ma naissance, je ne me rappelle pas m’être aimé, vraiment, une seule fois.
Descendre les pentes, tel est le pouvoir de l’eau.
Deux paupières suffisent pour s’empêcher de voir, mais il faut deux mains pour s’empêcher d’entendre.
Devoir et pouvoir ou pouvoir et devoir, cela reste à trancher.
Devenu riche, le pauvre restera, toujours, simple d’esprit.
Devant un miroir, on a tendance à nous juger défavorablement.
Dois-je continuer mon sommeil. Epuisé par les soucis de la vie. Et puis, n’ai-je donc pas envie. Alors que ma vieillesse y veille ?
Emporté et à demi-endormi J’entends, au loin, le cri du fennec Mêlé au sirocco qui le tient en échec Pour me réveiller, soudain, par une fourmi
En dépit de corps distincts, s’aimer c’est rapprocher deux âmes.
Entre deux périodes de veille, on ne peut que dormir.
Entre naître ou renaître n’y a-t-il que mourir ?
Etre ou ne pas être, tel est le dilemme des instants de vie que l’hypocrite n’ose pas trancher, faisant semblant.
Exposé au soleil, le désert, sans fin, immobilise le temps et fait danser la chaleur sur le sable brûlant.
Faire le bien pour le terminer par le mal ou faire le mal pour le terminer par le bien, votre choix ?
Flanquant sa trouille, la citrouille devient citron.
Force est de constater que, dans la vie, certaines personnes semblent si intelligentes qu’elles frôlent l’idiotie.
Franchir le mur du son est bien plus dur que fuir le bruit du mur.
Garde à vous mes chaussures, vous m’emmenez où je dois aller.
Grimper à une échelle, c’est encourir des risques latents de chute.
Homme, tout ce que tu peux faire sur cette Terre est d’aller vers ton anéantissement !
Il arrive que l’homme doute de son père mais jamais de sa mère.
Il m’a fallu toute ma vie pour que je sois là, aujourd’hui !
Il tremble de froid dans le vent glacial, Frôlant la mort qui le hante chaque jour, Il mendie aux passants sans signe vital, Le pauvre, ignoré de tous, sans amour.
Il vaut mieux être riche de sa pauvreté que pauvre de sa richesse.
Ils se suivent, toujours, comme inspirer et expirer.
Instinct et raison, yin et yang de la vie intérieure, s’inscrivent dans une dialectique créatrice où chaque pôle trouve son sens dans la tension dynamique qui l’oppose à l’autre.
J’ai, toujours, eu peur de ne pas avoir peur.
J’aime tant laisser mon amour très fort pour ma mère à toutes les Baya du monde.
J’atteste qu’il n’y a pas de divinité en dehors de Dieu et j’atteste que Mahomet est le Messager de Dieu.
Je continue mon sommeil, Mais au pays des merveilles, Il faut que je me réveille, Pour, toujours, rester en éveil.!
Je détiens la solution d’un problème qui ne s’est pas, encore, posé !
Je déteste me mettre en face du soleil, de peur que mon ombre, derrière moi, me trahisse.
Je n’ai vécu que par la volonté divine et je ne partirai que par Elle. La vie est, des fois, sublime mais des fois elle est cruelle.
Je n’étais rien, je suis tout, je ne serai rien !
Je n’étais rien et je ne serai rien : Qui suis-je ?
Je ne sais plus si je suis en avance ou en retard, mais ce qui certain c’est que je ne suis pas en phase avec ce Monde d’aujourd’hui.
Je prédis qu’on ne va jamais nous entendre ! Et moi aussi, Monsieur ; vous voyez qu’on peut, des fois, nous entendre.
Je rêve d’un ciel bleu Qui s’abat sur la Terre La nuit dans un désert Où les étoiles brillent de mille feux
Je rêve tant que je n’arrive plus à me réveiller.
Je suis comme une goutte d’eau dans l’océan du non-être, un grain de poussière dans le désert du rien.
Je suis ton ombre, à toi de comprendre !
Je suis un Néantois, venu du Néant et devant y retourner, ce n’est qu’une question de Temps !
Je suis une Créature de Dieu et toutes les Créatures de Dieu sont belles donc je suis beau.
Je te lègue l’amour d’un père pour son fils, sois en garant !»
Je veux bien vous faire confiance ; encore faudrait-il que j’eusse eu confiance en moi.
Jeunesse ratée, vieillesse hâtée.
Jouissant du Temps et sa ténacité, l’Histoire ne fait que se répéter.
L’enseignant est tenu de transmettre à ses élèves, non seulement le savoir, mais aussi le savoir-être et le savoir-faire.
L’évaluation éthique des actions d’autrui ne peut se faire à l’aune de leurs propres critères, mais doit s’ancrer dans les principes moraux que nous avons choisis comme boussole pour notre propre conduite.
L’existence d’un symbole ou d’une institution ne présuppose pas l’adhésion universelle aux valeurs qu’ils représentent.
L’existence humaine est une vaste toile de possibilités infinies, une succession d’expériences et d’éventualités que notre imagination peut concevoir, mais dont le déroulement réel demeure foncièrement incertain et imprévisible.
L’existence impose à l’homme d’agir sans répit. Si sa conduite est saluée par ses proches et conspuée par ses détracteurs, alors il a fait preuve de clairvoyance.
L’existence oscille entre la lucidité de la conscience et les brumes de l’inconscience. La mort, quant à elle, nous libère de cette dualité, nous entraînant dans un territoire inconnu, où la conscience s’évanouit.
L’existence se déploie dans la trame du travail et du temps, ces deux dimensions consubstantielles qui façonnent l’expérience humaine et confèrent à la Vie sa texture et sa profondeur.
L’existence, parenthèse éphémère dans l’infini du Néant, manifeste la volonté démiurgique de révéler la toute-puissance créatrice divine.
L’existence, suspendue à l’incertitude de chaque instant, s’interroge inlassablement sur sa propre pérennité, énigme insoluble qui laisse l’âme dans un éternel questionnement.
L’extension de notre existence, loin d’être une bénédiction, pourrait se révéler un fardeau, nous confrontant à l’épuisement inéluctable de notre désir et de notre élan vital.
L’Homme doit se résoudre à se comprendre lui-même avant d’espérer la compréhension de ses semblables.
L’Homme fait et le Temps défait.
L’Homme ne doit jamais s’oublier dans une tranche de sa vie, au risque d’être jeté dans la poubelle du Temps.
L’Homme ne finira, jamais, de philosopher : c’est la Vie !
L’Homme ne peut être qu’utile dans un champ fertile.
L’Homme ne quitte jamais, vraiment, sa jeunesse puisque l’enfant, qu’il était, continue, toujours, de sommeiller en lui.
L’Homme perçoit la beauté de la Nature par la recherche et la projection des lignes médianes et des symétries résultantes de tout ce qu’il observe.
L’Homme s’accroche, durablement, à la Vie jusqu’au jour où il cède devant la menace de la mort
L’Homme se doit, quelquefois, de résoudre le dilemme éthique : Respecter ses ennemis pour leur sincérité ou bafouer ses amis pour leur hypocrisie.
L’Homme se suffit d’être sans raison, n’est-ce-pas sa raison d’être !
L’Homme vit le présent et dans son esprit, il revoit le passé et imagine le futur.
L’Homme vogue sur le cours du temps, sa vie est un segment de droite dont une extrémité est fixe et l’autre mobile. Il ne peut, cependant, jamais en connaître la longueur.
L’Homme, éternellement vulnérable, est condamné à une vigilance perpétuelle s’il espère préserver son fragile souffle de vie.
L’inspiration s’agite dans la rencontre de l’autre.
L’unique miracle de la vie, c’est la mort.
L’âme habite le corps sans avoir la bienveillance de lui signifier ses dates d’arrivée et de départ.
L’être en devenir, qu’est l’enfant, se construit dans une dialectique entre l’affirmation progressive de soi et l’appui sur l’altérité fondatrice des figures parentales, jusqu’au seuil de l’adolescence où s’opère la synthèse de son individuation.
L’éternité ? Tous les chemins y mènent, sans retour.
La beauté de l’univers est construite sur la symétrie.
La beauté il faut l’admirer d’en-bas !
La beauté, se relativise par l’évaluation de l’Homme dont les capacités sont, intrinsèquement, limitées.
La conscience de la nécessité du départ s’accompagne de l’acceptation d’une dissolution de la conscience elle-même.
La création de l’Univers atteste de la Puissance de Dieu.
La finitude de l’être, qu’il en ait une claire conscience ou qu’il la refoule dans les tréfonds de son esprit, demeure la source primordiale de sa détresse existentielle.
La finitude de l’Homme l’interpelle, à chaque instant, sur son Créateur Eternel.
La guerre n’est jamais concomitante, elle est toujours déclenchée par une des parties antagonistes.
La guerre, on n’aime guère !
La maternité est une manifestation de l’éternel féminin, un principe vital qui triomphe de la finitude et affirme la primauté de la vie sur la mort.
La médiocrité qui caractérise une personne a tendance à s’ancrer et à se renforcer avec le temps, au lieu de s’estomper
La meilleure façon d’avancer est de ne pas reculer.
La meilleure façon de réussir dans la vie est de ne pas s’y perdre.
La mer, sans la mère, n’est qu’une amère.
La mère du mâle craint le mal de mer.
La paix existe toujours, même entre le marteau et l’enclume, si personne ne soulève le marteau.
La paix, j’ai, toujours, recherché le contraire de son contraire.
La pitié, noble sentiment humain, ne germe pas dans tous les cœurs.
La pleine jouissance de la paix repose sur une sérénité de l’état d’esprit, une concorde sociale et une harmonie avec la nature.
La responsabilité des initiatives de l’homme l’engage bien au-delà de leur simple accomplissement, car elles ont souvent pour conséquence d’appeler une réponse en retour de la part du monde, dont il doit assumer les implications.
La rivière est trouble, elle peut ne pas l’être depuis sa source.
La seule réalité que posséde, vraiment, l’homme est celle de l’instant vécu. C’est dans sa capacité à l’habiter pleinement que réside, peut-être, le secret d’une existence authentique et sereine.
La solution vient, toujours, après le problème.
La Terre appartient à tout le monde, donc à personne.
La Terre n’aime pas qu’on s’éloigne, à contre-sens, de sa pesanteur.
La Terre ne se fait pas de soucis : vous pouvez monter ou descendre, vous reviendrez, toujours, à sa surface.
La vie de l’Homme se décline en trois phases : La jeunesse insouciante, la vieillesse fléchissante et entre les deux l’adulte à l’avidité patente.
La vie de l’Homme sur Terre : Il vaut mieux taire l’avis !
La vie de l’Homme, sur cette Terre, se résume à la survie de l’Espèce pour qu’elle accomplisse sa seule mission d’adorer Dieu, son Créateur.
La vie de l’homme commence par une inspiration et finit par une expiration, le souffle assurant la transition temporelle.
La vie durant, aucune considération. A titre posthume hommages, éloges et distinctions.
La vie est faite de hauts et de bas et le bonheur ne peut exister sans une certaine résilience face aux défis et aux obstacles.
La vie est si éphèmere qu’inutile.
La vie est un chemin parsemé d’embûches mais jalonné de bonheurs fugaces.
La vie est un éternel recommencement, sauf que le temps, lui, ne recommence pas et fuit.
La vie est un livre que son auteur oublie, toujours, de clôturer.
La vie est un pari permanent d’aujourd’hui sur demain.
La vie est un véhicule roulant sans arrêt et dont ne sait ni où, ni quand, ni comment il s’arrêtera.
La vie est un voyage avec obligation de l’aller et du retour et gratuité des billets.
La vie est une balançoire — Entre bonjour et bonsoir — Sinon blanc ou noir — Et, enfin, bonjour et au revoir
La vie est une embarcation qui vogue au gré des vents et des courants, heureux celui qui la mènera à bon port.
La vie est une école où chaque individu reste maître et élève à la fois.
La vie est une goutte de temps dans l’océan infini de l’éternité.
La vie est une succession de tunnels que nous traversons, chaque entrée dans la pénombre étant une promesse de retrouver la clarté.
La vie n’est qu’un transit pour l’Homme qui sort du Néant pour être citoyen du Royaume des Poussières.
La vie n’est pas tellement belle dès lors qu’il faut endurer ses inévitables aléas.
La vie ne s’arrête jamais et courir après n’est que chimère et peine perdue.
La vie nous donne les amis et les ennemis qu’on mérite.
La vie, c’est chacun son tour.
La vie, c’est, toujours, BMBM : Bon-Moins Bon-Mauvais.
La vie, exprimée à travers le corps et l’âme, nous enseigne ce qu’est le corps sans l’âme mais ignore l’âme sans le corps.
La vie, on court toujours après. Sage et heureux celui qui saura s’arrêter.
La vie, on y arrive avec pleurs et cris et on en part, calmement, en rendant le dernier soupir.
La vie, on y arrive comme on en sort, les mains vides.
La vie, on y arrive et on en repart lorsque nous sommes les seuls à discerner et répondre à une voix céleste qui ne fait que répéter : au suivant !
La vie, on y entre comme on en sort, les mains vides.
La Vie ? Il suffit d’y être pour être sûr de partir!
La Vie ? Il suffit d’y être pour être sûr de repartir !
La Vie a besoin de se compliquer pour se rendre agréable.
La Vie coure derrière certains Humains et d’autres lui courent après.
La Vie donne et abandonne.
La Vie est comme une goutte d’eau dans l’océan du non-être, un grain de poussière dans le désert du rien.
La Vie est si éphémère qu’inutile.
La Vie est un éternel recommencement ; ma vie est un éphémère recommencement.
La Vie est un rêve dans le Sommeil Eternel.
La Vie est un véhicule en pilotage automatique, dont il ne peut voir, à travers la lunette arrière, que ce qu’il a dépassé.
La Vie n’est qu’une brève interruption du Néant.
La Vie nous sépare de nos amis, jusqu’au jour où ils se sépareront de nous.
La Vie, c’est du visible… Et de l’invisible aussi.
La Vie, chacun la chante à son rythme jusqu’à ce que la mort l’annihile.
La Vie, on l’aime, tous, à en mourir !
La Vie, on y arrive et on en part lorsque nous sommes les seuls à discerner et répondre à une voix céleste qui ne fait que répéter : au suivant !
Le bateau de la vie vogue dans l’Univers. Arrivé à bon port, à bâbord ou à tribord, la descente est obligatoire pour les plus vieux d’abord.
Le bonheur a toujours été fugitif ; il n’a jamais élu domicile.
Le bonheur c’est lorsque la Vie cesse de nous tracasser.
Le bonheur me cherche et ne me trouve pas.
Le bonheur n’aime pas la précipitation, il faut y aller à petits pas.
Le bonheur, ce sont tous les instants de la vie où l’Homme oublie ses malheurs passés, présents ou à venir.
Le bonheur, en fragments infinis, est en nous. Il suffit que la conscience affleure l’un d’eux pour qu’on le vive.
Le cœur bat pour la vie jusqu’à ce que la mort l’arrête.
Le déploiement de l’intellect humain doit viser non seulement le bien de l’humanité, mais aussi celui de l’ensemble du cosmos dans lequel elle s’inscrit.
Le destin de l’Homme réside dans sa liberté.
Le grand problème de l’Humanité est qu’elle se déshumanise.
Le leader qui aspire à instaurer la paix dans la cité doit, avant toute chose, avoir su pacifier les tensions qui agitent son propre esprit.
Le lion derrière et le crocodile en face, il ne reste plus qu’à prier pour se réincarner en oiseau !
Le mensonge cherche, souvent, le voisinage de la réalité.
Le mouvement crée l’instabilité.
Le négatif ? C’est un positif qui a trop duré.
Le problème du Monde d’aujourd’hui, c’est l’incertitude du Monde de demain.
Le sage, à l’instar de l’arbre, accueille avec bienveillance la lumière de la vérité, tout en préservant une part d’ombre et de mystère, car il sait que la connaissance absolue est une chimère qui consume celui qui s’y abandonne entièrement.
Le secret du bonheur n’est pas dans la poursuite effrénée de ce que nous n’avons pas, mais dans la reconnaissance émerveillée de tout ce que la vie nous offre déjà à chaque instant.
Le seul mystère de la Vie émane de ses deux extrémités.
Le seul problème de la Vie est qu’elle nous tourne le dos.
Le seul problème du Monde d’aujourd’hui, c’est l’incertitude du Monde de demain.
Le Temps a, toujours, le dernier mot.
Le Temps fait et défait l’habitude.
Le Temps s’impose à toutes les Créations, même à la Mort.
Le Temps, c’est la Vie.
Le Vieux termine sa vie, Au théâtre de vie, Sur un banc public, Devant le grand public.
Les infinis peuvent, des fois, s’affronter et la victoire n’est pas toujours du côté auquel on s’attend.
Les verbes être et avoir ne se rapprochent pas souvent pour signifier la même chose : être en bonne santé ou avoir une bonne santé est une exception.
Lorsque la vie est raide, le meilleur remède est de rentrer au bled.
Lorsque la gouvernance mature, l’alternance rassure.
Lorsque l’être humain emprunte la voie du retrait et de la retraite, il s’engage dans un voyage sans retour vers un avenir qui se dérobe, où chaque pas l’éloigne un peu plus des rivages de l’existence.
Lorsque les progrès scientifiques sont mis au service de la destruction de l’espèce humaine, ils soulèvent la question fondamentale de la raison d’être et de la valeur même de la connaissance.
Ma fille, je suis le premier homme à t’aimer et tu me porteras, toute ta vie, dans ton cœur.
Ma vie est un éphémère recommencement.
Même le plus féroce des fauves finit en pitance pour d’autres.
Merci mon entourage, ton silence m’encourage !
Merci vieillesse amie de m’accompagner jusqu’à mon dernier soupir.
Mère, j’oublie, toujours, que je suis mère pour être, d’abord, ta fille
Mère, le respect que je te voue est tellement grand qu’il a associé toutes les femmes du Monde.
Mère, par la volonté divine, tes enfants te vouent une reconnaissance éternelle pour leur avoir donné naissance.
Mère, tu n’es plus là pour le constater, mais ton rêve, par la Grâce Divine, se réalise !
Mon enfant, la vieillesse me rattrape, mais si tu dois m’aimer, sache que mon amour pour toi n’avait et n’a d’égal que celui que tu as pour ton propre enfant.
Mon problème, c’est que je n’en ai pas !
Mon seul bonheur, lorsque je m’adresse à moi-même, c’est que je n’ai pas besoin de jurer.
Monsieur le Temps, vous ne faites que courir, depuis la nuit des temps : Ne pouvez-vous, donc, vous arrêter quelque temps ?
N’avoir qu’à écrire pour décrire sa vie, sans la transcrire dans son rire, est-ce vraiment rire ?
N’ayant pas de passé, la mort est le futur de la vie.
Ne cherchez pas de sens à la Vie, elle se suffit d’un seul : la Mort.
Ne pas voir sa propre bosse, tout content, le chameau pense en avoir deux comme le dromadaire.
Ne peut sentir l’absence d’une mère que celui qui l’a perdue.
Ne ressent la charge que celui qui la supporte.
Nul n’est plus terne que celui qui veut briller aux dépens d’autrui.
On a tendance à assimiler le noir à l’obscurité. Et pourtant sur le blanc on voit le noir et sur le noir on voit le blanc ; mais dans l’obscurité on ne voit ni le blanc ni le noir.
On gagne, on gagne, on gagne… jusqu’au jour où on perd !
On est tous appelés à endurer les épreuves de la vie, un jour ou l’autre.
On meurt, on meurt, on meurt… jusqu’au jour où on vit !
On n’apprend pas à nager sans se mouiller.
On n’aurait pas apprécié les bonnes âmes, s’il n’y avait pas les mauvaises.
On n’invente que par moment de folie.
On ne chante que si on a la panse pleine.
On ne fredonne que ce qu’on a, deja, entendu.
On ne guérit pas de ses défauts, on fait semblant.
On ne marche sous la pluie qu’en l’absence de refuge.
On ne meurt que si on a vécu.
On ne rattrape, jamais, le temps perdu ; on ne fait que le prendre du futur.
On ne vit que pour mourir.
On perçoit les images du monde qui nous entoure avec les yeux. Reste à se demander comment nous arrivons à lire les images issues de notre mémoire ?
On vit, on vit, on vit… jusqu’au jour où on meurt !
Pauvre Humain, dès sa naissance la Vie le condamne à mort
Pauvre squelette humain, il n’y a qu’à l’horizontale qu’il retrouve son repos.
Père, j’oublie, toujours, que je suis père pour être, d’abord, ton fils.
Père, par la volonté divine, tes enfants te vouent une reconnaissance éternelle pour avoir été notre protecteur durant toute ta vie.
Petit à petit, la vieillesse prépare mon lit.
Philosopher c’est disserter sur le facile pour le rendre difficile et le difficile pour le rendre facile.
Philosopher, c’est regarder le Monde à travers une loupe.
Plus fort que l’absence d’une mère, c’est ne pas la connaître.
Pour certaines personnes, lorsque la morale est piétinée, le moral est à son comble.
Pour comprendre la Vie, la règle est très simple : Vous avancez d’un pas et vous reculez de deux !
Pour descendre il faut monter et pour monter il faut descendre, telle est la logique de la Vie.
Pour descendre une côte, il faut d’abord la grimper.
Pour l’Homme la Vie est une balançoire vers l’avant ou vers l’arrière, bon ou amer jusqu’au jour où la corde cède pour l’envoyer au cimetière.
Pour l’Homme, avoir deux mères, c’est une chance : la mère biologique et la terre de naissance.
Pour l’Homme, la Vie se conjugue en trois temps : il est, il sera et il était.
Pour ruisseler, la rivière sait choisir ses descentes.
Pour se fondre dans l’hypocrisie, certains humains adaptent, souterrainement, la couleur de leur cœur.
Pour se rendre à l’évidence, il faut s’échapper du doute.
Pour tout être, mourir c’est la vie qui lui tourne le dos ; pour tout mort c’est la vie d’en face.
Pour une vie paisible que rien n’altère.
Pour vivre heureux, il faut faire mille lieues et trouver un lieu à l’abri des yeux.
Pour vivre, il faut être vivant.
Pour voir la vie en rose, en merveille, Il faut trouver cette rose qui émerveille. Celle qui chasse nos peines, nos batailles Et nous transporte dans un monde sans pareil.
Pour voir la vie en rose, Il faut trouver la rose de sa vie. Pour trouver la rose de sa vie, Au jardin choisir la plus jolie De nature la plus accomplie Et ne plus jamais changer d’avis
Pourquoi faire le tour de la Terre pour se retrouver au même endroit ?
Pourquoi me poser la question d’être ou ne pas être, alors que je suis et je ne serai plus.
Prendre le même ascenseur ne signifie pas aller vers la même destination.
Qu’attendez-vous d’une âme humaine, sinon une lutte incessante entre ses penchants bénéfiques et maléfiques, avec pour seul arbitre la force de sa volonté ?
Qu’auraient fait les dictateurs s’il n’y avait pas la mort ?
Que serait la joie s’il n’y avait pas la tristesse ?
Quel bonheur d’écouter la tristesse chanter !
Quels beaux spectacles, sans pareils, lorsque Dame Nature et le Soleil s’endorment et s’éveillent !
Qui, mieux que la roue, pouvait pousser aussi loin le progrès scientifique et technique de l’Humanité ?
Qui, mieux que mon pays, pourrait m’enrichir ?
Qui mieux que le fainéant excelle à donner des conseils ?
Rêver, c’est un moment où l’imaginaire et l’inconscient se connectent pour se réveiller dans un monde irréel où l’espace et le temps n’ont plus cours.
Rien que le défi pour affronter le déni !
Rire, on peut en mourir !
S’épanouir pour s’évanouir, il y a un pv entre les deux.
S’ils ne sont pas manipulés, les peuples ont, toujours, été justes.
Savoir sans savoir-être et savoir-faire, c’est l’instruction sans l’éducation.
Savoir vivre, il faut vivre pour le savoir.
Se rappeler, ce n’est autre qu’oublier d’oublier.
Semez le bien, même si vous ne récoltez rien.
Semez l’amour pour vos parents et récoltez-le de vos enfants.
Serrer, demande, quelquefois, de préciser le sens.
Si j’étais seul sur cette Terre, aurais-je été heureux ?
Si je dois compter les étoiles, où dois-je m’arrêter ?
Si la forge forme le fer, c’est l’esprit qui forme la forge.
Si la honte ne vous hante pas, faites ce que bon vous semble.
Si l’Homme accepte qu’il n’est qu’une flamme vouée à s’éteindre, la raison devrait le pousser à chercher la main qui a allumé le feu de son existence.
Si on devait définir une affection par une intensité, qui pourrait égaler la compassion, la tendresse et le sacrifice d’une mère envers ses petits ?
Si on n’a plus de quoi rêver, c’est que la Vie nous a tourné le dos.
Si tout le monde attend, beaucoup, de toi c’est que tu n’attends, rien, de personne.
Si vous ne changez pas, le temps vous changera.
Souvent, deux personnes que la Vie a, un certain moment, rapprochées, se repoussent.
Sur le chemin de la vie, certaines personnes nous croisent juste pour qu’on corrige le nôtre.
Sur le chemin de la vie, lorsque l’horizon se rétrécit, l’Homme se retourne vers son passé et continue sa marche aveugle jusqu’à trébucher dans le trou de la mort.
Sur le chemin de la vie, mon destin se promène.
Sur le long chemin de la vie, mon destin se promène.
Sur les réseaux sociaux, la vérité est plurielle : chacun dit la sienne.
Sur les terrains verdoyants du destin, les peuples ont semé les graines d’un avenir plus serein, où les clameurs guerrières laisseront place aux chants des supporters enthousiastes.
Tel un fleuve, lorsque le peuple quitte son lit, il emporte tout sur son passage.
Tel un grain de sable sans domicile fixe, le bonheur est là aujourd’hui, demain il sera ailleurs.
Tel un parasite insidieux, l’ingratitude se nourrit de la générosité d’autrui, pervertissant le don en instrument de sa propre prolifération.
Tel un rouage dans la mécanique implacable du vivant, l’Homme, asservi à l’instinct primordial, perpétue l’espèce, ultime finalité de son existence.
Telle une danse rythmée, les jours de labeur s’enchaînent sur le tempo du ‘di’ final, jusqu’à ce que le dimanche, tel un danseur étoile, exécute son pas de deux inversé.
Telle une étoile filante, la vie de l’Homme sur cette Terre se résume à : Naître pour être et paraître puis disparaître.
Telle une proie convoitée, le pouvoir attise l’instinct de domination de l’homme politique, qui s’en saisit avec l’avidité d’un prédateur assouvissant sa faim.
Tellement c’est clair qu’on s’éclaire !
Tellement la vie est éphémère qu’elle est belle !
Tenir ! Il faut tenir contre les forces du mal !
Toute la Vie se résume à un seul problème, c’est elle-même !
Toute vie est éphémère, mais elle est le tremplin de l’homme vers le mystère.
Toutes les femmes du Monde ne remplacent pas ma Mère.
Toutes les indépendances ne valent autant que celle que je n’ai pas pu arracher à ma Volonté.
Tout ce qui échappe à l’œil, alimente l’imagination.
Tout ce qui est beau est beau, il n’y a rien à dire !
Tout ce qui émerge de cette Terre finira en poussière.
Tout ce qui sent bon présage un bon goût, question de bon sens, non ?
Tout ce qui vit, naît petit et deviendra grand.
Tout est beau dans la Création ; l’Homme, avec ses capacités limitées, n’étant pas en mesure d’en apprécier toute l’étendue.
Tout est relatif dans ce monde créé par l’Absolu.
Tout Humain commence sa vie par je suis et la termine par il est.
Tout le malheur du Monde se retrouve dans la souffrance d’un enfant.
Tout le monde habite l’immeuble de l’intelligence, mais à des étages différents.
Tout le monde tient à la Vie malgré que la Vie ne tient à personne.
Tout problème naît d’une solution.
Tout succès attend un échec !
Tout échec porte en lui un succès : c’est d’avoir essayé !
Traverser mes champs pour écouter mes chants, n’est-ce-pas méchant ?
Un jour non, un jour oui, ainsi va la vie.
Une addiction légale et à grande échelle ne peut être que la nomophobie, smartphone oblige.
Une année s’en va, une autre commence, -Mon âge se plaint et la vieillesse avance. -L’esprit s’embrouille et même la résistance -Que faire, sinon endurer et s’armer de patience.
Une mère, c’est un don de Dieu.
Vaquez à votre vie, nous vaquons à la nôtre.
Venant du Néant, l’Homme peut se vanter d’avoir existé pour répandre sa poussière sur la Terre..
Vivre sa vieillesse est une chance qui n’est pas donnée à tout le monde.
Vivre, c’est attendre.
Vivre, c’est mourir.
Vivre, c’est prendre conscience du non-Moi.
Vogue ma galère, vogue au gré des vents, dans l’océan de la Vie où un jour tu sombreras !
Vous cherchez la beauté ? C’est toute la Création !
Vous cherchez l’Absolu ? C’est Dieu !

 

Le temps : 146 citations

A force de persister à vouloir le tout petit peu, on risque d’y laisser le tout.
Au fil du temps, le Temps file.
Au réveil de chaque matin, je suis vivant, j’ouvre les yeux et c’est mon premier bonheur du jour.
Aussi lourd qu’on se croit, on ne dépasse jamais son poids et n’eût été l’attraction terrestre, on flotterait.
Avec le soleil, l’oiseau tient à se coucher triste et se lever gai.
Bien loin la douceur du son du mur que la déflagration du mur du son.
C’est au sommet de la gloire qu’il faut se retirer, sinon le temps vous rabaissera un jour.
C’est dans le silence qu’on se dit certaines vérités.
C’est la Vie, on y arrive et on en repart lorsque nous sommes les seuls à entendre une voix céleste qui ne fait que répéter : au suivant !
C’est sur le passé que reposent le présent et le futur.
Ce Temps, qui fuit tout le temps, me pose la question de son existence.
Cette illusion du temps qui passe, n’est autre que l’avancée de l’Homme vers le futur, sa fin.
Chaque jour, il faut résister au mal et continuer à faire le bien.
Chaque seconde de notre vie est un trésor irremplaçable, un cadeau du temps qui ne demande qu’à être déballé avec conscience, savouré avec intensité, et rempli de sens et d’amour.
Condamné à subir la tyrannie du Temps, l’être humain se voit dépossédé de son propre corps, transformé malgré lui par cette puissance invisible qui le façonne sans qu’il ne puisse en saisir le mouvement.
Dans la vie, le présent, on y arrive par un seul chemin. Repartir vers le futur demande à emprunter un parmi la multitude qui se décline.
Dans le labyrinthe de nos songes, un rêve qui en abrite un autre est une chambre secrète dont la clé ne nous est que rarement donnée.
De nos jours, tout le monde peut être pris pour modèle, y compris les pauvres d’esprit.
Derrière chaque grand homme se cache une mère.
Des fois on tente de se rapprocher de certaines personnes pour mieux s’en éloigner.
Du virus au nucléus, doit-on descendre au terminus ?
Ephémère et fini me commande ma pleine soumission à l’Eternel et Infini.
Faire tourner l’horloge en sens inverse ne fait pas reculer le temps.
Fermer les yeux, c’est dormir ou laisser faire.
Il faut se lever pour avancer.
Il n’est pas donné à tout le monde de briller.
Il Temps veille toujours à ce que chaque rivière reste dans son lit.
Il vaut mieux ne pas agir devant le silence de l’absent.
Je déteste me mettre en face du soleil, de peur que mon ombre, derrière moi, me trahisse.
Je rêve tant que je n’arrive plus à me réveiller.
L’eau claire et limpide n’est pas forcément aseptique.
L’Homme est embarqué dans la Vie, ce véhicule en pilote automatique, dont il ne peut voir, à travers la lunette arrière, que ce qu’il a dépassé.
L’Homme fait et le temps défait.
L’Homme meurt et se réveille autant de jours qu’il vit, sauf le dernier.
L’Homme perçoit la beauté de la Nature par la recherche et la projection des lignes médianes et des symétries résultantes de tout ce qu’il observe.
L’Homme, éternellement vulnérable, est condamné à une vigilance perpétuelle s’il espère préserver son fragile souffle de vie.
L’Humanité a, de tout temps, blâmé le destin pour les aléas de l’existence, alors même que l’univers demeure immuable et indifférent à nos tourments, tel un astre impassible brillant d’une lumière éternelle.
La beauté, il faut l’admirer d’en-bas !
La création de l’Univers atteste de la Puissance de Dieu.
La magie de l’instant est que j’en suis conscient.
La mélancolie est le contrepoint nécessaire du bonheur, l’ombre qui en rehausse la lumière, tout comme l’épice est l’accent qui sublime la cuisine.
La nostalgie ? Comment peut-on faire fi d’une partie de sa vie ?
La Vie durant, aucune considération. A titre posthume hommages, éloges et distinctions.
La vie durant, aucune considération. A titre posthume hommages, éloges et distinctions.
La vie est une embarcation qui vogue au gré des vents et des courants, heureux celui qui la mènera à bon port.
La vie n’est qu’un transit pour l’Homme qui sort du Néant pour être citoyen du Royaume des Poussières.
Le bonheur ne se trompe jamais d’adresse.
Le Cœur et la Raison divorcent, quelquefois, sans raison.
Le moustique, dans son existence toute entière, incarne le triomphe de l’air sur la terre, ses ailes le portant sans cesse, tandis que ses pattes demeurent des vestiges inutiles d’une vie rampante qu’il a transcendée.
Le Néant est absolu. L’Eternité est absolue. En créant ce Monde éphémère, Dieu l’a doté de la relativité du Temps.
Le passé, le présent et le futur forment les trois faces du prisme temporel à travers lequel notre conscience appréhende l’existence.
Le présent assure l’éternelle jonction et vogue entre le passé et le futur, jusqu’au jour où le Bon Dieu décidera de replier l’Univers.
Le présent est la jonction entre le passé et le futur qui marque l’instant zéro d’une évolution.
Le rêve a toujours eu peur de la réalité, il se cache dans le sommeil.
Le roi Charles n’est pas de Charleroi.
Le roi est mort, le Bon Dieu non !
Le seul mystère de la Vie émane de ses deux extrémités.
Le simple glissement d’un doigt sur l’écran d’un smartphone, ouvrant les portes infinies d’Internet, peut suffire à nous faire sombrer dans un abrutissement numérique, où notre esprit se perd dans les méandres d’une virtualité envahissante.
Le smartphone est un outil intelligent ; pourvu qu’il n’ait pas pris son intelligence à son utilisateur !
Le soleil n’aime pas qu’on abuse de ses rayons.
Le souvenir est un rêve conscient.
Le succès d’aujourd’hui n’est jamais celui de demain.
Le temps n’existe que par sa durée.
Le temps veille toujours à ce que chaque rivière reste dans son lit.
Le Temps a, toujours, le dernier mot.
Le Temps arrive toujours à ses fins.
Le Temps c’est la Vie.
Le Temps est le grand orchestrateur de la Création.
Le Temps fait et défait l’habitude.
Le Temps fait et défait.
Le Temps n’a ni commencement ni fin, il est l’éternité même.
Le Temps n’arrête pas de courir, il ne s’essouffle jamais.
Le Temps ne cesse de me demander mes papiers. -Vous avez bien vos papiers ? -Oui, mais vous me les avez pris hier !
Le Temps ne se rattrape jamais, il fuit sans fin.
Le Temps passe, certes, mais à la vitesse de nos humeurs.
Le Temps s’impose à toutes les Créations, même à la Mort.
Le Temps travaille, toujours, contre l’équilibre et la neutralité.
Le Temps veille toujours à ce que chaque rivière reste dans son lit.
Le Temps, c’est la Vie.
Le Temps, implacable adversaire de l’existence humaine, érodant inexorablement l’être, exige une vigilance constante pour ne pas succomber à son emprise dévorante.
Les projets divins se réalisent au présent, ni avance ni retard.
Les verbes être et avoir ne se rapprochent pas souvent pour signifier la même chose : être en bonne santé ou avoir une bonne santé est une exception.
Mère, tu n’es plus là pour le constater, mais ton rêve, par la Grâce Divine, se réalise !
Monsieur le Temps, vous ne faites que courir, depuis la nuit des temps : Ne pouvez-vous, donc, vous arrêter quelque temps ?
Notre existence est ponctuée par l’alternance de l’activité et du repos, de la veille et du sommeil, qui définissent le rythme fondamental de notre rapport au temps.
Ô Homme, éternel serviteur du Temps, regarde comme ton corps se plie à la magie des jours, se transformant en un nouveau toi-même à chaque instant, sans que tu ne perçoives le sortilège.
On ne rattrape, jamais, le temps perdu ; on ne fait que le prendre du futur.
Par son imperfection, l’homme s’intègre dans la perfection de l’Univers.
Par son imperfection, l’homme s’intègre dans la perfection de l’univers.
Personne n’a, jamais, eu raison du Temps.
Pour certaines personnes, se lever le matin et trouver la maison du voisin d’en face au même endroit est une preuve que la Terre ne tourne pas.
Pour chaque individu, le Temps est une expérience à la fois partagée et unique.
Pour l’Homme, la Vie se conjugue en trois temps : il est, il sera et il était.
Pour le passé, le présent est son futur. Pour le futur, le présent est son passé.
Pour se rendre à l’évidence, il faut s’échapper du doute.
Pour te situer sur le cours du temps, de l’instant présent, projette-toi cent ans en arrière et cent ans en avant.
Premier et dernier, duo indissociable dans la danse de l’existence, s’unissent en une harmonie complémentaire pour embrasser la totalité du cycle vital, de l’inachevé à l’accompli.
Quand tout le monde est grand, plus personne ne l’est vraiment.
Quand une société place la culture au-dessus de toute autre considération, elle amorce inexorablement son propre déclin.
Quelques secondes d’inattention et il n’y a plus de lendemain.
Qui veut aller loin ménage sa monture, mais qui veut aller de l’avant libère ses entraves.
Rêver, c’est un moment où l’imaginaire et l’inconscient se connectent pour se réveiller dans un monde irréel où l’espace et le temps n’ont plus cours.
S’il vous plaît, l’Eternité c’est par où ? C’est au prochain arrêt du cœur !
Sans présent, il ne peut y avoir ni passé ni futur.
Savez-vous ce que vous ne savez pas ?
Se rappeler, ce n’est autre qu’oublier d’oublier.
Se retenir, c’est une forme d’intelligence.
Si je me bats pour le plaisir des autres où trouverais-je le mien ?
Si on ne connaît pas sa valeur, c’est qu’on n’en a pas.
Sur la trajectoire du Temps, regarder vers l’arrière contraint de cesser d’avancer.
Tant que la terre tourne, il y aura du temps.
Tel un rouage dans la mécanique implacable du vivant, l’Homme, asservi à l’instinct primordial, perpétue l’espèce, ultime finalité de son existence.
Tout a une fin, plus fort aujourd’hui plus faible demain.
Tout ce qui est faux ne produit point : les faux rires des réseaux sociaux ne donnent guère les fous rires.
Tout ce qui vit, naît petit et deviendra grand.
Tout est relatif dans ce monde créé par l’Absolu.
Tout le monde peut se tromper, les peuples aussi.
Tout s’accomplit dans le destin, y compris le hasard.
Toute défaite prépare la victoire.
Tous les chemins mènent à Rome, mais l’un d’eux permet d’y être rapidement.
Tous les fleuves de la Terre, ne font pas déborder les mers.
Tous les instants de vie nous appartiennent, sauf celui du retour vers l’Eternité.
Tous les jours, toutes les nuits, nous naviguons dans l’océan du temps, sans jamais pouvoir en atteindre les rives.
Traverser mes champs pour écouter mes chants, n’est-ce-pas méchant ?
Trop gesticuler mène au ridicule.
Trop mûrir, finit par tomber.
Tu cherches l’évidence ? Je pense qu’elle a pris ce chemin !
Un jour non, un jour oui, ainsi va la vie.
Une ombre peut en cacher plusieurs autres.
Vieillesse et Temps se donnent la main et gambadent, tranquillement, vers l’Eternité.
Vieillir et le Temps doit achever sa besogne.
Vous cherchez l’Absolu ? C’est Dieu !
Vous tendez la main à deux personnes : la vraie vous tend la sienne, la fausse vous mord les doigts.

 

La condition et la nature humaines (293 citations) :

A contrario d’une vieille machine qu’on peut retaper à neuf, le corps humain n’accepte pas le changement d’organes et tombe en décrépitude.
A défaut de faire le bien, s’abstenir de faire le mal.
A défaut de sublimer la beauté, on camoufle les défauts.
A force d’entendre le cri du corbeau, on finit par croasser.
A force de grimper on finit par ne plus respirer.
A force de risquer sa vie, on finit par la perdre.
A force de s’abaisser, on finit par avoir le dos voûté.
A l’image du serpent, plus on rase la terre et plus on est venimeux.
A l’image de l’arbre, trop arrosé, qui finit par dépérir, l’excès mène, toujours, au pire.
A raison, le temps donne, toujours, raison.
A trop faire de calculs, on finit par se tromper.
Ah le temps, je n’ai pas le temps de le définir !
Aimer peut s’accommoder, quelquefois, avec trahir.
Aimer peut, des fois, être tellement intense qu’il se prolonge en haine.
Allongé sur le sableLes mains sur le cœurJe savoure le bonheurD’une soirée mémorable
Appartenir à tout le monde, c’est n’appartenir à personne.
Avec des peines qui durent, la vie n’est que dure.
Avec le soleil, l’oiseau tient à se coucher triste et se lever gai.
Avec le temps, sagesse, philosophie et folie finissent par habiter à la même enseigne.
Avec leurs rires cristallins et leur joie de vivre contagieuse, les enfants nous rappellent la beauté précaire de l’instant présent, comme un écho de notre innocence perdue qu’il nous faut chérir.
Avec un ami, on a toujours raison, même quand on a tort ; avec un ennemi, on a toujours tort, même quand on a raison !
Bien loin la douceur du son du mur que la déflagration du mur du son.
Bien qu’ils n’aient pas tous une mer, les humains ont, cependant, tous une mère.
Bouger attire le danger !
Brader sa dignité, c’est ne plus en avoir !
C’est à l’Histoire que revient l’honneur de décerner l’ultime et la plus haute distinction à une œuvre humaine.
C’est aussi parfait que la courbe d’un arc-en-ciel.
C’est dans la rencontre avec l’altérité féminine que l’homme trouve le catalyseur de sa propre transformation, s’élevant ainsi à une forme plus accomplie de lui-même.
C’est parce que tu es mon ami que je suis ton ennemi.
C’est, seulement, lorsqu’il est égaré dans l’aridité de la vie que l’opulent consent à s’abreuver à la source de la simplicité.
Ce Monde est un fleuve tumultueux où chaque peuple est un affluent qui y déverse sa culture, ses rêves et ses luttes, participant ainsi au grand voyage commun de l’Humanité vers son delta incertain.
Ce n’est qu’une utopie de croire que ce qui a toujours été, finit par il ne l’est plus.
Celui qui cultive la haine se condamne à une souffrance inévitable, en s’enfermant dans une prison mentale dont il est le propre geôlier.
Celui qui n’a pas su tirer des leçons dans sa jeunesse, aura-t-il la clairvoyance d’en tirer dans sa vieillesse ?
Chercher l’équilibre et trouver la chute libre.
Chaque grand homme ne l’est devenu qu’à l’ombre de son père.
Cher Humain, sache que ta vie est éphémère et qu’il est peu probable qu’elle dépasse les trente mille jours.
Cher égo, toujours égaux, mais des fois amis des fois ennemis, au gré de la vie.
Chers concitoyens, faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais !
Chers tous, faites ce que je vous dis et je fais ce que je ne vous dis pas.
Compagnon de la nuit, le meilleur oreiller pour s’endormir est une conscience tranquille.
Cours et jette ta courgette, on te guette !
Creuser des puits finit, souvent, par tomber dans l’un d’eux.
Créer le buzz ne doit pas être le fruit d’une intention trompeuse.
Dans cette Vie, chaque Humain se construit son immeuble sur les fondations de son passé avec la certitude de ne jamais l’achever.
Dans cette vie, plus j’apprends, plus je réalise que je ne sais rien.
Dans cette vie, si dure, l’homme est, toujours, en quête de tendresse et de compassion.
Dans la nature humaine, les aspects positifs et négatifs, loin de s’opposer irréductiblement, coexistent et s’entremêlent en une danse complexe et paradoxale.
Dans la vie sociale, le poids d’une entente entre deux parties est, toujours, supporté différemment par l’une et par l’autre.
Dans la vie, l’embarras pousse, souvent, l’Homme à ne pas exposer les questions qui le tracassent.
Dans la vie, le possible est, souvent, devancé par l’impossible qu’il doit, sans cesse, oser rattraper.
Dans le rapport des êtres au Monde, autant l’immobilité est source de paix et de concorde, autant le mouvement est à l’origine de tous les conflits et luttes de survie.
Dans son espace de vie, tout ce qui bouge réduit, cumulativement, la liberté de l’Homme.
De nos jours, l’applaudimètre n’est pas en mesure de distinguer les applaudissements des vrais amis et ceux du reste de l’auditoire.
De nos jours, tout le monde peut être pris pour modèle, y compris les pauvres d’esprit.
Derrière chaque grand homme se cache une mère.
Des fois, la critique ou le blâme d’un ennemi nous rassure qu’on suit le bon chemin.
Devant l’impossible, l’arme est, souvent, une larme.
Devant un miroir, l’homme s’observe et l’animal s’énerve.
Devant un miroir, on a tendance à nous juger défavorablement.
Devenu riche, le pauvre restera, toujours, simple d’esprit.
Dieu ne conçoit que de belles choses, l’Homme peut-il seulement envisager qu’Il puisse faire laid ?
Dieu, merci ! Le rêve est gratuit !
Dois-je me délecter du beau ou m’abandonner à la beauté ? Je ne peux me résoudre.
Donner doit être agréable pour celui qui reçoit et non de le faire se sentir petit.
Emporté par les eaux du fleuve, l’imbécile s’écrie : quelle fraîcheur !
En pleine solitude, il trouve refuge Dans les souvenirs d’un temps meilleur Quand l’espoir était présent sans subterfuge, Le pauvre se réveille pour crier son malheur.
En politique, le siège éjectable est une option de série, mais le parachute, c’est du sur-mesure !
En s’appropriant son Soi, l’Homme a-t-il eu de la chance ? La question reste posée !
En se dérobant à son intelligence, l’Homme ne fait qu’entériner sa servitude.
Entre voler et voler ou voler et voler, que choisirez-vous ?
Etre en paix avec sa conscience, n’est-ce-pas le plus grand bonheur du monde ?
Etre ou ne pas être mais pas les deux à la fois.
Etre ou ne pas être, tel est le dilemme des instants de vie que l’hypocrite n’ose pas trancher, faisant semblant.
Etre se cache, souvent, derrière Paraître, pour certains hommes.
Exhiber sa force n’est que le réveil d’un instinct animal inné.
Face à la Beauté divine de la Nature, l’Homme oscille entre participation active et contemplation passive, entre immersion créatrice et distanciation esthétique.
Faire fausse route au mal conduit à semer le bien.
Faire le mal consciemment est l’apanage de l’Homme, il est sanctionné dans cette Vie et dans l’Au-Delà.
Faire tourner l’horloge en sens inverse ne fait pas reculer le temps.
Fier pour un cœur qui bat et se bat pour ne jamais s’abattre.
Force est de constater que, dans la vie, certaines personnes semblent si intelligentes qu’elles frôlent l’idiotie.
Haïr, c’est vouloir du mal, n’est-ce-pas ?
Heureux dans la vie, celui qui a, toujours, su rester en paix avec sa conscience.
Heureux, celui que la vieillesse fait gagner en sagesse.
Homme : Etre vivant de l’Univers de taille insignifiante et d’esprit grandissime.
Homme, ne réfléchis jamais devant ta femme car elle bondit sur toute idée qui te passe par la tête !
Homme, tout ce que tu peux faire sur cette Terre est d’aller vers ton anéantissement !
Il arrive que l’homme doute de son père mais jamais de sa mère.
Il est divin !
Il est moralement irrecevable de prétendre guider ses semblables sans faire l’effort de comprendre leur réalité, leurs aspirations et leurs difficultés. Seule l’empathie fonde la légitimité du leadership.
Il faut donner raison à la raison.
Il faut se méfier de l’eau qui dort, c’est de là que peut jaillir la mort.
Il faut se munir d’un parachute si on aime prendre de la hauteur.
Il n’est pas donné à tout le monde de briller.
Il n’y a pas de fumée sans feu et de feu sans étincelle.
Il n’y a que l’imagination qui peut dépasser la réalité.
Il n’y a que les vrais qui savent rester simples.
Il suffit de fermer le cercle.
Il vaut mieux aimer sans raison qu’avoir raison de ne pas aimer.
Il vaut mieux être en face d’un ennemi que d’une présence d’un faux-ami.
Il vaut mieux ne pas agir devant le silence de l’absent.
Instinct et raison, yin et yang de la vie intérieure, s’inscrivent dans une dialectique créatrice où chaque pôle trouve son sens dans la tension dynamique qui l’oppose à l’autre.
Interconnectés, l’intelligence, la conscience et le libre-arbitre confèrent à l’Homme sa suprématie sur le reste de la Création.
J’ai beau, cherché mon origine, je ne suis qu’un Terrien !
J’ai, toujours, eu peur de ne pas avoir peur.
J’ai, toujours, fui le pays où j’avais tout sauf ma dignité pour celui où je n’ai rien sauf ma dignité.
J’aime ceux qui n’aiment pas les gens qui ne m’aiment pas.
J’aime tellement rester pauvre que j’en deviens riche.
J’aime tous ceux qui aiment ce que j’aime et ceux qui n’aiment pas ce que je n’aime pas.
J’aurais baigné dans le bonheur si les doigts de mes mains avaient la même longueur.
Je continue mon sommeil, Mais au pays des merveilles, Il faut que je me réveille, Pour, toujours, rester en éveil.!
Je déteste me mettre en face du soleil, de peur que mon ombre, derrière moi, me trahisse.
Je détiens la solution d’un problème qui ne s’est pas, encore, posé !
Je me fatigue à me répéter qu’il ne faut pas trop penser.
Je n’ai et je n’aurai d’autre attitude que de me reconnaître, éternellement, créature devant mon Créateur.
Je n’étais rien, je suis tout, je ne serai rien !
Je peux me vanter de ne pas être un vantard.
Je prédis qu’on ne va jamais nous entendre ! Et moi aussi, Monsieur ; vous voyez qu’on peut, des fois, nous entendre.
Je suis comme une goutte d’eau dans l’océan du non-être, un grain de poussière dans le désert du rien.
Je suis ton ombre, à toi de comprendre !
Je suis une Créature de Dieu et toutes les Créatures de Dieu sont belles donc je suis beau.
Je te lègue l’amour d’un père pour son fils, sois en garant !»
Je veux bien vous faire confiance ; encore faudrait-il que j’eusse eu confiance en moi.
La bassesse n’est pas innée, elle s’acquiert.
La beauté il faut l’admirer d’en-bas !
La beauté, il faut l’admirer d’en-bas !
La bêtise humaine désoriente : on ne sait plus si on doit la condamner ou se condamner soi-même.
La connaissance n’aime pas s’arrêter : Si on n’avance pas, on recule.
La conscience est au libre arbitre de l’Homme ce que les feux tricolores sont à la circulation routière.
La conscience n’aime pas le bruit, elle se réveille dans le silence.
La conscience de la nécessité d’un changement n’émerge que lorsque la situation présente atteint un point critique, un paroxysme insoutenable.
La fierté d’être ce que l’on est, peut pousser les gens à vouloir l’annihiler par la force, jalousie oblige !
La finitude de l’être, qu’il en ait une claire conscience ou qu’il la refoule dans les tréfonds de son esprit, demeure la source primordiale de sa détresse existentielle.
La finitude de l’Homme l’interpelle, à chaque instant, sur son Créateur Eternel.
La folie se libère lorsque l’âme prend congé de sa conscience.
La foi en Dieu délivre l’Homme de toutes ses peurs : telle est la Puissance Divine.
La folie se libère lorsque l’âme prend congé de sa conscience.
La grandeur de l’homme ne vient pas de ses semblables, c’est un don de Dieu.
La grandeur de l’homme ne vient pas de ses semblables, c’est un don de Dieu.
La grandeur de l’homme s’accomplit dans sa petitesse.
La haine, antichambre de la trahison, révèle la noirceur de l’âme qui, consumée par son fiel, sacrifie toute loyauté sur l’autel de sa rancoeur.
La jalousie est une maladie ardante qui consume celui qui en souffre.
La jalousie recrute dans la proximité, les métiers et les professions.
La jalousie vivra jusqu’au jour où il restera un seul homme sur cette Terre.
La liberté aveugle annihile la raison de l’Homme et le renvoie vers le monde animal.
La liberté ne s’évalue que par sa restriction.
La lumière et l’eau s’accordent pour traverser toute fissure.
La médiocrité aime s’allier avec elle-même.
La meilleure façon de rester pauvre est que j’en deviens riche.
La meilleure preuve de l’existence de Dieu est de s’en poser la question.
La mère du mâle craint le mal de mer.
La modestie c’est endiguer tous les excès dont un homme veut se prétendre.
La monstruosité de l’homme est à la hauteur de sa capacité à anéantir sa propre espèce.
La Nature est si belle parce que il n’y a pas de parce que.
La Nature fait bien les choses : L’Est et l’Ouest se sont, toujours, diamétralement opposés.
La noblesse de l’âme doit pousser l’Homme à briller de l’intérieur et non de l’extérieur.
La pauvreté est source vive d’amitié sincère.
La pensée s’appuie sur la conscience pour réfléchir, observer et interroger.
La perfection appartenant au Créateur, toute créature imparfaite est parfaite.
La perfection étant du domaine divin, tout ce qui est créé par l’Homme est imparfait.
La personnalité de l’Homme vrai est une valeur intrinsèque qui n’est tributaire d’aucun facteur social.
La pitié, noble sentiment humain, ne germe pas dans tous les cœurs.
La politique et l’honneur ne font pas, toujours, bon ménage.
La première croyance qui s’impose à l’Homme est de croire en lui-même.
La première victime d’un homme en colère est lui-même.
La puissance de l’argent ne peut conduire qu’à la poubelle de l’Histoire.
La quête du savoir ne doit pas être celle de l’avoir.
La raison doit commander à l’Homme de n’entrevoir d’autre refuge de Dieu qu’auprès de Lui.
La raison ne doit pas, toujours, avoir raison.
La raison ne peut jamais, totalement, éradiquer ou maîtriser l’irrationnel. Elle doit composer avec lui dans un jeu de miroir sans fin, où chaque avancée de l’une est aussi une confirmation de l’autre.
La raison voudrait que l’ami de l’ennemi soit un ennemi.
La raison voudrait que l’opprimé ne soit pas réprimé.
La richesse aveugle, la pauvreté éclaire.
La roue de la fortune tourne, celle de l’infortune aussi.
La sagesse c’est un esprit positif qui interagit avec le Monde.
La sagesse de l’Homme mûrit avec son âge.
La sagesse se construit sur un corps qui prend conscience de ses limites.
La science est à l’homme ce que la balle est au fusil.
La sincérité est à l’amitié ce que le ciment est au mortier
La sincérité est le seul véhicule de la vérité.
La solitude et la tristesse engendrent, souvent, l’inspiration.
La solitude offre le meilleur moment pour dialoguer avec sa conscience.
La véritable sagesse n’est pas dans l’accumulation des connaissances, mais dans l’art de se connaître soi-même, d’embrasser ses ombres et ses lumières, et de cultiver chaque jour un peu plus de paix intérieure.
La vie est une balançoire — Entre bonjour et bonsoir — Sinon blanc ou noir — Et, enfin, bonjour et au revoir
La vie est une école où chaque individu reste maître et élève à la fois.
La vie n’est qu’un transit pour l’Homme qui sort du Néant pour être citoyen du Royaume des Poussières.
La vieillesse persiste tant à fragiliser le corps humain que, par instant et pour délivrance, l’âme est acculée à l’abandonner.
La Vie ? Il suffit d’y être pour être sûr de repartir !
Le bon cœur, oublie, toujours, le mal qu’on lui fait.
Le bonheur n’aime pas l’argent.
Le bonheur s’éprouve lorsqu’on le donne aux autres.
Le bonheur, c’est lorsque la Vie cesse de nous tracasser.
Le bonheur, ce sont tous les instants de la vie où l’Homme oublie ses malheurs passés, présents ou à venir.
Le cadeau raffermit, toujours, l’amitié.
Le changement nait, toujours, d’une question posée.
Le Cœur et la Raison divorcent, quelquefois, sans raison.
Le comble de l’ignorance est de croire faire mal aux gens alors qu’on leur fait du bien.
Le courtisan qui met tout en œuvre pour flatter ses souverains, finit par se discréditer à leurs yeux, perdant ainsi le crédit qu’il cherchait précisément à gagner.
Le cœur et la raison divorcent, quelquefois, sans raison.
Le cœur s’insurge, souvent, contre la raison qui doit en référer à la conscience.
Le danger aime tout ce qui bouge.
Le danseur et le musicien, une connivence affichée.
Le doute s’affirme, toujours, pour brouiller les pistes.
Le fou est un grand bébé sans conscience.
Le fou s’affranchit des garde-fous et s’en fout.
Le grand problème de l’Humanité est qu’elle se déshumanise.
Le hasard crée le doute.
Le juste milieu peut exister en toute chose, sauf entre le bien et le mal.
Le leadership véritable, art de la clairvoyance empathique, exige du dirigeant qu’il explore les consciences, qu’il ressente les destinées entremêlées, pour insuffler à ses actes la sagesse du bien commun.
Le libre-arbitre, de l’Homme, agit entre le bien et le mal.
Le lion derrière et le crocodile en face, il ne reste plus qu’à prier pour se réincarner en oiseau !
Le malheur chez certaines personnes est qu’elles sont chères à nos yeux mais ne valent pas grand-chose pour elles-mêmes.
Le masque social devient, souvent, une seconde peau qui finit par se confondre avec notre véritable identité.
Le mental n’est pas un long fleuve tranquille où coule, sans anicroche, le flot de nos pensées ; il est aussi un terrain accidenté où s’affrontent des forces contraires.
Le menteur oublie, souvent, ses mensonges.
Le misérable ne perçoit le Monde qu’à travers sa misère.
Le monde est devenu un théâtre universel où chacun joue sa comédie.
Le monde qui m’entoure n’est plus le même, je ne peux le cautionner, il me fait peine.
Le moral et la morale ne font pas, toujours, bon ménage.
Le mouvement crée l’instabilité.
Le négatif ? C’est un positif qui a trop duré.
Le plus grand désastre de l’Univers, c’est qu’il sombre sans que l’Homme n’en soit conscient.
Le plus grand malheur de l’Homme est son libre arbitre.
Le pouvoir des mots est bien plus percutant que les maux du pouvoir.
Le pouvoir des pensées n’est tangible qu’émanant des pensées du pouvoir.
Le prestige ne va pas sans acrophobie.
Le ridicule ne tue pas mais agace.
Le rire, miroir de la condition humaine, ne jaillit que lorsque l’être se dévoile dans sa nudité existentielle, offrant à l’autre le reflet de sa propre absurdité.
Le roi Charles n’est pas de Charleroi.
Le roi est mort, le Bon Dieu non !
Le secret a toujours été condamné à être gardé sans que personne ne le défende.
Le seul problème d’un imbécile est qu’il n’en est pas conscient.
Le simple glissement d’un doigt sur l’écran d’un smartphone, ouvrant les portes infinies d’Internet, peut suffire à nous faire sombrer dans un abrutissement numérique, où notre esprit se perd dans les méandres d’une virtualité envahissante.
Le smartphone est un outil intelligent ; pourvu qu’il n’ait pas pris son intelligence à son utilisateur !
Le sort de notre civilisation, comme toutes les devancières, est scellé par un suicide latent.
Le summum du courage n’est pas, uniquement, l’apanage de l’Homme, une mère donne, toujours, sa vie pour son enfant.
Le temps, implacable adversaire de l’existence humaine, érodant inexorablement l’être, exige une vigilance constante pour ne pas succomber à son emprise dévorante.
Le véritable miroir de l’âme humaine est l’examen de conscience sincère et régulier, seul capable de révéler à l’homme sa valeur profonde et son potentiel de perfectionnement.
Le vice est une maladie chronique inguérissable.
Le vol du mobile est le mobile du vol, la victime confuse et immobile.
Les animaux, fidèles compagnons de la vie, sont des trésors d’innocence qui savent nous rappeler l’amour pur, le plaisir simple d’un moment partagé et la beauté d’une présence.
Les armes servent à faire couler le sang et les larmes.
Les cinq sens de l’Homme n’ont pas l’exclusivité de l’exactitude de leur perception.
Les cornes font le bœuf majestueux, mais c’est la ruse du lion qui fait le roi de la jungle.
Les dérangés prospèrent au gré de la solitude et des selfies.
Les donneurs de leçons ne font que dispenser ce qu’ils ont appris de leurs maîtres.
Les droits de l’Homme ne peuvent être garantis que par des Hommes de Droit.
Les enfants, entre naître et grandir, les parents n’ont pas eu le temps de compter les années.
Les enfants, innocents et purs, offrent leur tendresse à tous les souffrants. Leur innocence enivre et rassure, dans ce monde en manque de bienfaisants.
Les folies se manifestent sans préméditation.
Les fous n’ont pas de conscience.
Les gens doutent, certainement, de vos projets mais se convainquent, inévitablement, de vos réalisations.
Les gens semblent ne pas m’aimer, il ne me reste qu’à m’aimer moi-même !
Les grands-parents aiment leurs petits-enfants aussi fort que leurs enfants.
Les hommes meurent, les peuples, Non !
Les hommes se dispersent, Internet les fédère.
Les infinis peuvent, des fois, s’affronter et la victoire n’est pas toujours du côté auquel on s’attend.
Les lois de la nature s’accordent, toujours, à rompre un équilibre établi.
Les mathématiques sont à la science ce que l’acier est au béton.
Les ombres de soi avec soi jouent à cache-cache.
Les parents, entre être et mourir, les enfants n’ont pas eu le temps de compter les années.
Les petits-enfants aiment leurs grands-parents aussi fort que les bonbons.
Les verbes être et avoir ne se rapprochent pas souvent pour signifier la même chose : être en bonne santé ou avoir une bonne santé est une exception.
Les yeux trahissent, souvent, ce que dit la bouche.
Lorsque la bouche se tait, le cœur et les yeux s’expriment.
Lorsque la compétence fait défaut, l’extravagance s’affirme.
Lorsque la facilité est primée, l’intelligence est opprimée.
Lorsque la force impose sa justice, le droit conclut l’armistice.
Lorsque la honte fait fausse route, la bestialité prend l’autoroute.
Lorsque la morale est piétinée, le moral est à son comble.
Lorsque la vie est raide, le meilleur remède est de rentrer au bled.
Lorsque le courage et la peur n’arrivent pas à se départager, l’hésitation se manifeste.
Lorsque le menteur rencontre le sincère, il devient sincère sur le moment.
Lorsque l’être humain emprunte la voie du retrait et de la retraite, il s’engage dans un voyage sans retour vers un avenir qui se dérobe, où chaque pas l’éloigne un peu plus des rivages de l’existence.
Lorsque l’Homme se met en colère, le vent s’accélère.
Lorsque l’homme s’éloigne de ses semblables, sa liberté s’élargit.
Lorsque l’homme s’éloigne des autres, il se rapproche de lui-même.
Lorsque l’intelligence est opprimée, la facilité est primée.
Lorsque l’opprimé se libère, il devient, souvent, oppresseur.
Lorsque la gouvernance mature, l’alternance rassure.
Lorsque le génie de l’esprit cède devant la performance du corps, la décadence humaine se profile en dernier ressort.
Lorsque le mal manque au bien, l’ange déploie ses ailes.
Lorsque le pouvoir manque au devoir, le chaos est à prévoir.
Lorsque le pouvoir vire au dérisoire, il ne reste que partir à entrevoir.
Lorsque le travail manque, l’honneur est sauf.
Lorsque les progrès scientifiques sont mis au service de la destruction de l’espèce humaine, ils soulèvent la question fondamentale de la raison d’être et de la valeur même de la connaissance.
L’accolade n’est pas, toujours, signe d’amitié. Le fauve aime, bien, en faire à sa victime.
L’amitié par correspondance se tisse sur des doutes en abondance.
L’argent aime se multiplier : Plus on en a, plus on en veut, c’est épuisant.
L’argent et la raison ne font pas, toujours, bon ménage.
L’avenir de l’Homme est tracé dès sa naissance et rien ne peut aller à son encontre.
L’emballage sert à préserver et présenter les marchandises, il sert, aussi, à faire passer les mensonges.
L’empathie, boussole de l’action juste, nous invite à éprouver le monde depuis l’altérité, pour mieux mesurer la portée de nos gestes et en prévenir les ondes de choc.
L’ennemi d’un jour, soupçonné toujours.
L’éthique doit être une boussole intérieure qui oriente nos actions au quotidien, et non un vernis superficiel que l’on revêt pour se donner bonne conscience.
L’évaluation éthique des actions d’autrui ne peut se faire à l’aune de leurs propres critères, mais doit s’ancrer dans les principes moraux que nous avons choisis comme boussole pour notre propre conduite.
L’exagération mène, toujours, au ridicule.
L’habile ment au détour d’un sourire, le naïf sourit au tournant d’un mensonge.
L’histoire se répète, mais personne ne peut répéter son histoire.
L’Homme a, toujours, porté ses ennemis dans son cœur et ses amis sur ses épaules.
L’Homme doit se résoudre à se comprendre lui-même avant d’espérer la compréhension de ses semblables.
L’Homme en quête de sens est en perpétuel cheminement, à la recherche de la Vérité qui se dérobe à chaque tournant.
L’Homme est d’une complexité déconcertante qu’il frôle la simplicité !
L’Homme est, tellement, compliqué qu’il doit se gérer simplement.
L’Homme fait et le Temps défait.
L’Homme meurt et se réveille autant de jours qu’il vit, sauf le dernier.
L’Homme n’a pas la force de dominer la Nature mais il a son intelligence.
L’Homme ne doit jamais s’oublier dans une tranche de sa vie, au risque d’être jeté dans la poubelle du Temps.
L’Homme ne finira, jamais, de philosopher : c’est la Vie !
L’Homme ne perçoit le Monde qu’au moyen de ses capacités physiques et mentales limitées.
L’Homme ne peut être qu’utile dans un champ fertile.
L’Homme perçoit la beauté de la Nature par la recherche et la projection des lignes médianes et des symétries résultantes de tout ce qu’il observe.
L’Homme qui tient à livrer bataille à autrui a, préalablement, perdu celle qu’il a livrée à lui-même.
L’Homme s’accroche, durablement, à la Vie jusqu’au jour où il cède devant la menace de la mort
L’Homme s’avère totalement étranger à ce Monde, ne faisant que le transiter.
L’Homme se doit, quelquefois, de résoudre le dilemme éthique : Respecter ses ennemis pour leur sincérité ou bafouer ses amis pour leur hypocrisie.
L’Homme vit le présent et dans son esprit, il revoit le passé et imagine le futur.
L’Homme vogue sur le cours du temps, sa vie est un segment de droite dont une extrémité est fixe et l’autre mobile. Il ne peut, cependant, jamais en connaître la longueur.
L’Homme, éternellement vulnérable, est condamné à une vigilance perpétuelle s’il espère préserver son fragile souffle de vie.
L’homme doit, constamment, créer, se surpasser et s’élever pour exprimer sa fierté.
L’honnêteté est la pierre angulaire d’une relation saine, le socle sur lequel se bâtit la confiance mutuelle.
L’hostilité se recrute dans la famille et l’amitié la plus proche.
L’humble : Tout ce que je sais, c’est que je ne sais rien. Le stupide : Je ne sais rien, c’est que je sais tout.
L’humilité se vit, d’abord, avec soi-même.
L’hypocrisie et la sincérité, étranges compagnes, se côtoient souvent sans jamais vraiment se rencontrer.
L’hypocrisie s’exprime, toujours, anonymement.
L’hypocrisie se cache, souvent, derrière l’unanimité.
L’imperfection est la première qualité de l’Homme.
L’inculte croit que la culture est un culte.
L’intelligence de Dieu illumine l’Homme, l’intelligence de l’Homme peut le consumer.
L’intelligence repose sur la conscience.
L’intelligence se moque, souvent, de la force et du nombre.
L’ivrogne, en silence, se parle d’abondance.
L’œil voit, le cœur s’émeut, l’esprit analyse.
L’opportuniste s’engouffre dans la moindre brèche pour en tirer avantage, sans égard pour les conséquences de ses actes sur autrui.
L’Père est un premier repère sur le chemin de la Vie.
L’union fait la force, mais la force peut défaire l’union.
L’unique et noble mission que Dieu a assignée à l’Homme sur cette Terre est de L’adorer.
L’espoir et le désespoir se rejettent mutuellement.
L’éternité ? Tous les chemins y mènent, sans retour.
L’éthique est une boussole qui doit guider nos pas, mais dont l’aiguille peut parfois s’affoler face aux vents contraires de l’intérêt personnel et de la pression sociale.
L’être en devenir, qu’est l’enfant, se construit dans une dialectique entre l’affirmation progressive de soi et l’appui sur l’altérité fondatrice des figures parentales, jusqu’au seuil de l’adolescence où s’opère la synthèse de son individuation.
L’existence de chacun est une traversée en solitaire, même si l’on croise parfois quelques compagnons de route.
L’existence humaine est une vaste toile de possibilités infinies, une succession d’expériences et d’éventualités que notre imagination peut concevoir, mais dont le déroulement réel demeure foncièrement incertain et imprévisible.
L’ignorance peut, des fois, donner l’illusion du savoir.
L’imperfection est la première qualité de l’Homme.
L’intelligence humaine est à l’intelligence artificielle ce que le carburant est au moteur.
L’intelligence sans conscience est l’apanage de l’Homme, son libre-arbitre en est l’arbitre.
L’intention est le véritable juge de nos actes, bien plus que leurs conséquences.
L’intuition est la voix de l’âme qui chuchote à l’oreille de la raison.
Malades de cœur, les ennemis et les faux-amis se sentent visés par tout ce qu’on écrit et on dit.
Malgré tous les progrès scientifiques et technologiques, l’homme reste un mystère pour l’homme.
Malheur, ceux qui affichent l’ardoise du malheur.
Malgré son libre-arbitre, l’Homme ne fait que subir son destin tout tracé.
Marcher dans l’obscurité demande à déployer les mains.
Mère, j’oublie, toujours, que je suis mère pour être, d’abord, ta fille
Mère, le respect que je te voue est tellement grand qu’il a associé toutes les femmes du Monde.
Mes amis, si vous êtes sincères, pourquoi taisez-vous ma dérive ?
Mimer n’est pas propre au singe ; les humains en abusent.
Miroir de l’expérience vécue, la vieillesse contemple, avec sagesse, le monde qui l’entoure pour reconnaître la fragilité de chaque instant et voir la beauté là où d’autres la négligent.
Miroir, révèle-moi la vérité de mon être. Dois-je me soumettre à l’emprise du temps qui marque mon corps, ou embrasser l’éternelle jeunesse de mon âme pour transcender ma condition éphémère ?
Mon enfant, la vieillesse me rattrape, mais si tu dois m’aimer, sache que mon amour pour toi n’avait et n’a d’égal que celui que tu as pour ton propre enfant.
Mon problème, c’est que je ne sais pas si je sais ou pas !
Mon seul bonheur, lorsque je m’adresse à moi-même, c’est que je n’ai pas besoin de jurer.
Mon seul problème est de n’en avoir aucun.
Monsieur le Loup, quel est votre pseudo sur les réseaux sociaux ? — Agneau.
Naître pour aimer la vie et mourir pour ne pas la détester.
Ne brille que ce qui est poli.
Ne cherchez pas de sens à la Vie, elle se suffit d’un seul : la Mort.
Ne pas voir sa propre bosse, tout content, le chameau pense en avoir deux comme le dromadaire.
Ne peut forcer son corps à vivre en-dessous de son âge.
Ne peut sentir l’absence d’une mère que celui qui l’a perdue.
Ne sort de son lit qu’une rivière en crue.
Nul n’est plus dupe que celui qui se complait à se tromper lui-même.
Nul n’est plus sot que celui qui ne veut point comprendre.
Nul n’est plus stupide que celui qui ne retient rien des leçons de l’histoire et de la vie.
Nul n’est plus terne que celui qui veut briller aux dépens d’autrui.
On a tendance à assimiler le noir à l’obscurité. Et pourtant sur le blanc on voit le noir et sur le noir on voit le blanc ; mais dans l’obscurité on ne voit ni le blanc ni le noir.
On doit, toujours, ralentir avant de changer de direction.
On n’apprend pas à nager sans se mouiller.
On n’aurait pas apprécié les bonnes âmes, s’il n’y avait pas les mauvaises.
On ne chante que si on a la panse pleine.
On ne découvre que ce qui existe.
On ne donne que de ce qu’on a de meilleur.
On ne fredonne que ce qu’on a déjà entendu.
On ne guérit pas de ses défauts, on fait semblant.
On ne meurt que si on a vécu.
On ne perçoit que ce que l’on veut bien voir, le reste demeure un mystère.
On ne peut pas répéter l’Histoire mais on peut en tirer des leçons.
On ne quitte pas ses amis, ce sont eux qui nous abandonnent.
On ne rattrape, jamais, le temps perdu ; on ne fait que le prendre du futur.
On ne vit que pour mourir.
On perçoit les images du monde qui nous entoure avec les yeux. Reste à se demander comment nous arrivons à lire les images issues de notre mémoire ?
On peut reculer, tout en avançant : Si les autres courent plus vite que nous !
On peut être heureux, sans être un imbécile !
On vit, on vit, on vit… jusqu’au jour où on meurt !
Parce que polluants, les ragots et les mégots ne doivent se retrouver qu’à la décharge.
Paraître est l’habit du traître.
Pauvre Humain, dès sa naissance la Vie le condamne à mort
Pauvre enfant dont la mère fut une ombre furtive, effleurée à peine avant que la vie ne l’arrache à ses bras, laissant une plaie béante que ni les années ni les sourires n’ont jamais pu panser.
Père, j’oublie, toujours, que je suis père pour être, d’abord, ton fils.
Petit à petit, la vieillesse prépare mon lit.
Philosopher c’est disserter sur le facile pour le rendre difficile et le difficile pour le rendre facile.
Philosopher, c’est regarder le Monde à travers une loupe.
Philosopher, c’est trouver un havre de paix où se mettre à l’abri des radeaux d’imbécillités charriés par les flots tumultueux de ce monde.
Plus l’individu s’élève dans la hiérarchie sociale, plus il se trouve écrasé sous le poids des attentes et des responsabilités, inversement à la loi physique qui veut que la pression diminue avec l’altitude.
Plus l’homme s’éloigne de ses semblables et plus sa liberté s’élargit.
Plus on est conscient de la valeur de sa vie, moins on la gaspille en futilités.
Pour affronter la vie, l’homme fort puise ses forces dans son for intérieur.
Pour certaines personnes, lorsque la morale est piétinée, le moral est à son comble.
Pour déjouer la morale, le moral s’accommode de l’oral, sans choral.
Pour faire le vide autour de soi, il suffit de prêter son argent.
Pour l’Homme, avoir deux mères, c’est une chance : la mère biologique et la terre de naissance.
Pour l’Homme, la Vie se conjugue en trois temps : il est, il sera et il était.
Pour prétendre au respect des gens, il faut se respecter soi-même.
Pour se brouiller l’esprit, il faut essayer de comprendre ce Monde.
Pour se consolider, l’amitié est astreinte à surmonter les épreuves de la vie sans jamais pour autant atteindre le parfait équilibre entre deux personnes.
Pour se rendre à l’évidence, il faut s’échapper du doute.
Pour une vie paisible que rien n’altère.
Pour vaincre sa timidité, on a, souvent, besoin d’un brin de folie.
Pour vivre heureux, il faut faire mille lieues et trouver un lieu à l’abri des yeux.
Pourquoi faire le tour de la Terre pour se retrouver au même endroit ?
Pourquoi me poser la question d’être ou ne pas être, alors que je suis et je ne serai plus.
Prêter son argent contribue à se faire des ennemis.
Prêter son argent, c’est vouloir le perdre ou le donner.
Prodiguer la morale à autrui, encore faudrait-il jouir de la meilleure exemplarité.
Quand une société place la culture au-dessus de toute autre considération, elle amorce inexorablement son propre déclin.
Quand vous n’avez rien, vous avez vos deux mains.
Que serait la joie s’il n’y avait pas la tristesse ?
Que vous le dites ou pas, que je le dise ou pas ; vous êtes ce que vous êtes et je suis ce que je suis, Dieu merci.
Quel bonheur d’écouter la tristesse chanter !
Quel que soit le pouvoir qu’il détient, l’homme finit, toujours, par abdiquer face à la vérité.
Quelle charge affective doit supporter le père, avec deux cœurs dont l’un bat pour lui et l’autre pour ses enfants !
Qui court après la vérité sans regarder où il met les pieds, risque de se cogner le nez sur le mur de sa propre ignorance.
Qui doit aimer, se prépare aux amertumes.
Qui me connaît mieux que moi-même ? Merci Bon Dieu pour ce privilège !
Qui mieux que décevoir peut se loger entre aimer et haïr ?
Qui mieux que le fainéant excelle à donner des conseils ?
Qui n’a pas su tirer des leçons dans sa jeunesse, aura-t-il la clairvoyance d’en tirer dans sa vieillesse ?
Qui n’avance pas, recule : Pas nécessairement, s’il veut marquer un point d’arrêt !
Qui ne s’aime point ne saurait aimer longtemps.
Qui ne voit que le blanc de la neige ne saurait voir les couleurs de l’humanité.
Qui pense que la Lune brille de son propre feu se détrompe !
Qui s’entoure de loups, ne fera, point, de jaloux.
Qui sème à tous vents perd sa récolte.
Qui sème la politesse, récolte la considération.
Qui veut atteindre la lune doit préparer sa fusée.
Qui veut flotter sur l’eau doit d’abord mourir.
Qui veut grimper un arbre, commence par l’enlacer.
Qui veut plaire à tout le monde finit par se déplaire à lui-même.
Qui veut vivre doit rester sur le qui-vive.
Qui, mieux que Dame Nature, fascine autant l’âme humaine ?
Qui, mieux que la roue, pouvait pousser aussi loin le progrès scientifique et technique de l’Humanité ?
Quiconque s’évertue à donner des leçons à autrui doit commencer par se les appliquer.
Quiconque s’imagine pouvoir se passer des autres est bien fou ; quiconque s’imagine que les autres ne peuvent se passer de lui l’est plus encore.
Quoique vous fassiez, votre conscience vous suivra partout.
Rêver, c’est un moment où l’imaginaire et l’inconscient se connectent pour se réveiller dans un monde irréel où l’espace et le temps n’ont plus cours.
Rien de ce qui est humain ne m’est étranger.
Rien ne sert de courir si on ne sait pas où aller.
Rien ne sert de posséder le monde si l’on n’est pas en état d’en profiter.
Rire, on peut en mourir !
S’il vous plaît, l’Eternité c’est par où ? C’est au prochain arrêt du cœur !
S’ils ne sont pas manipulés, les peuples ont, toujours, été justes.
Sa curiosité est un héritage qui se transmet d’une génération à l’autre, une étincelle qui ne s’éteint jamais complètement malgré les vents contraires de la vie.
Savoir sans savoir-être et savoir-faire, c’est l’instruction sans l’éducation.
Savoir vivre, il faut vivre pour le savoir.
Savez-vous ce que vous ne savez pas ?
Se complaire à dire la chose et son contraire, moi, je dirai, plutôt, le contraire. C’est clair, non ?
Se dépenser à justifier sa suprématie ne peut être qu’une marque de faiblesse.
Se lever le matin et trouver la maison du voisin d’en face au même endroit comme preuve que la Terre ne tourne pas.
Se rappeler, ce n’est autre qu’oublier d’oublier.
Se retirer, demande à se retirer.
Se vêtir de la penderie de l’autre ne couvre pas la nudité.
Seul le miroir semble dire la vérité sans qu’il ne soit astreint à jurer.
Seul le silence offre à chaque interlocuteur le secret et la liberté de son interprétation.
Seule la pensée peut outrepasser le regard.
Si je dois classer mes amis, qui peut me prendre la première place ?
Si je me bats pour le plaisir des autres où trouverais-je le mien ?
Si je suis entré dans cette Vie sans ma volonté, c’est qu’il y a une Autre qui en a décidé.
Si l’ennemi vous loue c’est pour les services que vous lui rendez, consciemment ou inconsciemment.
Si l’Homme accepte qu’il n’est qu’une flamme vouée à s’éteindre, la raison devrait le pousser à chercher la main qui a allumé le feu de son existence.
Si Monsieur le Comte s’amusait à refaire les comptes, il en raconterait bien des contes.
Si on devait définir une affection par une intensité, qui pourrait égaler la compassion, la tendresse et le sacrifice d’une mère envers ses petits ?
Si on ne connaît pas sa valeur, c’est qu’on n’en a pas.
Si tu ne sais pas danser, contente-toi du pas cadencé.
Si tu veux marcher droit, évite de zigzaguer comme un homme politique en campagne !
Si vous cherchez le bonheur, n’allez pas trop loin, il est juste autour de vous.
Si vous me cherchez, je suis toujours présent : réellement derrière votre horizon et virtuellement dans votre mémoire.
Si vous ne voulez plus de guerre dans ce Monde, laissez les mères des soldats décider !
Si, seulement, l’horizon pouvait être immobilisé pour que je puisse l’atteindre !
Souvent, deux personnes que la Vie a, un certain moment, rapprochées, se repoussent.
Sous la contrainte, le respect dure le temps qu’elle disparaisse.
Sortir de la misère maintient, souvent, l’esprit misérable.
Sortir du troupeau attire les prédateurs.
Sur cette Terre, la vie c’est l’eau, l’air et la lumière.
Sur l’estrade du camarade, les cœurs battent la chamade et les corps se baladent pour égayer la mascarade.
Sur le chemin de la vie, certaines personnes nous croisent juste pour qu’on corrige le nôtre.
Sur le chemin de la vie, lorsque l’horizon se rétrécit, l’Homme se retourne vers son passé et continue sa marche aveugle jusqu’à trébucher dans le trou de la mort.
Sur les réseaux sociaux, la vérité est plurielle : chacun dit la sienne.
Ta beauté n’est palpable qu’avec mon cœur affectif.
Tel un bracelet pour traquer un animal, l’homme s’offre son smartphone pour se faire suivre.
Tel un parasite insidieux, l’ingratitude se nourrit de la générosité d’autrui, pervertissant le don en instrument de sa propre prolifération.
Tel un serpent perfide, le mensonge s’insinue dans les esprits, distillant son venin de discorde et de confusion.
Telle la graine qui porte en elle les promesses de l’arbre, l’homme est un être en devenir, appelé à déployer son potentiel au fil du temps.
Telle une danse rythmée, les jours de labeur s’enchaînent sur le tempo du ‘di’ final, jusqu’à ce que le dimanche, tel un danseur étoile, exécute son pas de deux inversé.
Telle une étoile filante, la vie de l’Homme sur cette Terre se résume à : Naître pour être et paraître puis disparaître.
Tellement la vie est éphémère qu’elle est belle !
Tenir ! Il faut tenir contre les forces du mal !
Tous les Humains naissent d’un père et d’une mère, sauf Adam et Eve.
Tout Humain commence sa vie par je suis et la termine par il est.
Tout ce qu’on sait, c’est qu’on ne sait rien.
Tout ce qui est beau est beau, il n’y a rien à dire !
Tout ce qui sent bon présage un bon goût, question de bon sens, non ?
Tout est relatif dans ce monde créé par l’Absolu.
Tout le monde habite l’immeuble de l’intelligence, mais à des étages différents.
Tout le monde peut se tromper, les peuples aussi.
Tout le monde tient à la Vie malgré que la Vie ne tient à personne.
Tout menteur cherche à vivre aux dépens de ceux qui le croient.
Toute la Vie de l’Homme se résume à survivre au Temps.
Toute la Vie se résume à un seul problème, c’est elle-même !
Toute œuvre humaine porte en elle sa rétribution.
Toutes les femmes du Monde ne remplacent pas ma Mère.
Toutes les indépendances ne valent autant que celle que je n’ai pas pu arracher à ma Volonté.
Trahir quelqu’un commence par se trahir soi-même.
Traverser mes champs pour écouter mes chants, n’est-ce-pas méchant ?
Trop franc, insolent !
Trop gesticuler mène au ridicule.
Tu cherches l’évidence ? Je pense qu’elle a pris ce chemin !
Un ami proche est plus utile qu’un frère éloigné.
Un homme averti en vaut mille, un homme désarmé n’en vaut aucun.
Un mal fait, ne se répare jamais.
Un mensonge, maintes fois colporté, finit par faire croire sa vérité à son propre auteur.
Une affirmation peut être vraie si on démontre que son contraire est faux ; c’est logique, non ?
Une année s’en va, une autre commence, -Mon âge se plaint et la vieillesse avance. -L’esprit s’embrouille et même la résistance -Que faire, sinon endurer et s’armer de patience.
Une absence se constate, toujours, par un déplacement, sauf la dernière de la vie.
Une âme authentique est comme une eau pure qui apaise notre soif de confiance, sans que nous ayons à quémander les preuves de sa limpidité.
Une faute est commise pour être endossée.
Une fois libre, l’opprimé se conduira comme son oppresseur.
Une main tendue attend, toujours, son dû.
Une ombre peut en cacher plusieurs autres.
Une vie sans mère est une mer sans vie.
Vaquez à votre vie, nous vaquons à la nôtre.
Venant du Néant, l’Homme peut se vanter d’avoir existé pour répandre sa poussière sur la Terre..
Vivre sa vieillesse est une chance qui n’est pas donnée à tout le monde.
Vivre, c’est mourir.
Vivre, c’est prendre conscience du non-Moi.
Vogue ma galère, vogue au gré des vents, dans l’océan de la Vie où un jour tu sombreras !
Vouloir et pouvoir, frères inséparables, mais qui naît en premier ?
Vouloir le pouvoir pour pouvoir le vouloir.
Vous cherchez la beauté ? C’est toute la Création !
Vous serez toutes des belles… mères.
Vous serez tous des beaux… pères.
Vous tendez la main à deux personnes : la vraie vous tend la sienne, la fausse vous mord les doigts.

 

La sagesse et la connaissance de soi (184 citations) :

A contrario d’une vieille machine qu’on peut retaper à neuf, le corps humain n’accepte pas le changement d’organes et tombe en décrépitude.
A défaut de se faire des amis, respectons nos ennemis.
A force d’entendre le cri du corbeau, on finit par croasser.
A l’endormissement, l’âme aime se remémorer toutes les bonnes actions qu’elle a entreprises.
Aussi haut que l’on s’élève, le ciel reste toujours au-dessus de nos têtes.
Avec le temps, sagesse, philosophie et folie finissent par habiter à la même enseigne.
Beaucoup de gens s’efforcent d’accéder à la grandeur, mais rares sont ceux qui parviennent à la préserver.
C’est dans l’action consciente et délibérée que se trouve l’expression, la plus aboutie, de notre existence.
C’est parce que tu es mon ami que je suis ton ennemi.
C’est, seulement, lorsqu’il est égaré dans l’aridité de la vie que l’opulent consent à s’abreuver à la source de la simplicité.
Ce n’est pas facile de guérir du mal dont on ne parle pas.
Ce qui est grand a d’abord été petit, et le redeviendra un jour.
Celui qui cultive la haine se condamne à une souffrance inévitable, en s’enfermant dans une prison mentale dont il est le propre geôlier.
Celui qui n’a pas su tirer des leçons dans sa jeunesse, aura-t-il la clairvoyance d’en tirer dans sa vieillesse ?
Chaque jour, il faut résister au mal et continuer à faire le bien.
Chaque matin est une toile vierge que nous avons le privilège de peindre aux couleurs de nos rêves, de notre gratitude et de notre enthousiasme.
Connais-toi toi-même et tu connaîtras l’univers et les dieux.
Contente-toi de peu et tu seras, toujours, heureux.
Dans ce monde, l’intelligent est celui qui est conscient qu’il ne l’est pas et qu’il doit, toujours, se surpasser pour s’en rapprocher.
Dans cette Vie, aucune attente n’est perpétuelle.
Dans cette vie, plus j’apprends, plus je réalise que je ne sais rien.
Dans la moindre de nos actions se trouve un enjeu : la possibilité de se transformer soi-même et de transformer le monde.
Dans la vie, il faut réfléchir, décider et agir pour échouer ou réussir.
Dans la vie, n’ayant rien à perdre, le pauvre est libre et le riche reste prisonnier de sa richesse.
Dans la vie, on arrive, nécessairement, à l’âge où il faut penser pour panser ses doutes.
De grâce Vieillesse, cessez de m’affaiblir, je ne pourrai vous contenir.
Derrière le voile du silence se dissimulent parfois des vérités troublantes ou des menaces latentes, qu’il convient d’appréhender avec prudence et discernement.
Des fois, la critique ou le blâme d’un ennemi nous rassure qu’on suit le bon chemin.
Devant l’impossible, l’arme est, souvent, une larme.
Dieu, merci ! Le rêve est gratuit !
Dois-je continuer mon sommeil. Epuisé par les soucis de la vie. Et puis, n’ai-je donc pas envie. Alors que ma vieillesse y veille ?
Dois-je me délecter du beau ou m’abandonner à la beauté ? Je ne peux me résoudre.
En dépit de corps distincts, s’aimer c’est rapprocher deux âmes.
Etre en paix avec sa conscience, n’est-ce-pas le plus grand bonheur du monde ?
Etre ou ne pas être mais pas les deux à la fois.
Faire le bien pour le terminer par le mal ou faire le mal pour le terminer par le bien, votre choix ?
Gardons à l’esprit que tout ce qui est grand peut faillir, que la puissance terrestre n’est qu’un fragile empire. Dans la simplicité et la foi, nous trouvons la vraie grandeur, celle qui résiste au temps et illumine nos cœurs.
Heureux dans la vie, celui qui a, toujours, su rester en paix avec sa conscience.
Heureux, celui que la vieillesse fait gagner en sagesse.
Il est, toujours, temps de se reprendre avant qu’il ne soit trop tard.
Il faut donner raison à la raison.
Il faut respecter son semblable pour qu’il vous respecte.
Il faut savoir quitter la piste lorsque les jambes ne supportent plus.
Il faut savoir se retirer lorsque la présence devient pesante.
Il faut savoir se taire lorsque la Vérité le demande.
Il vaut mieux aimer sans raison qu’avoir raison de ne pas aimer.
Il vaut mieux être riche de sa pauvreté que pauvre de sa richesse.
Il y a beaucoup dans une simple phrase.
J’ai beau, cherché mon origine, je ne suis qu’un Terrien !
J’ai, toujours, eu peur de ne pas avoir peur.
J’ai, toujours, fui le pays où j’avais tout sauf ma dignité pour celui où je n’ai rien sauf ma dignité.
J’aurais baigné dans le bonheur si les doigts de mes mains avaient la même longueur.
Je continue mon sommeil, Mais au pays des merveilles, Il faut que je me réveille, Pour, toujours, rester en éveil.!
Je détiens la solution d’un problème qui ne s’est pas, encore, posé !
Je me fatigue à me répéter qu’il ne faut pas trop penser.
Je n’ai et je n’aurai d’autre attitude que de me reconnaître, éternellement, créature devant mon Créateur.
Je n’étais rien, je suis tout, je ne serai rien !
Je peux me vanter de ne pas être un vantard.
Je suis comme une goutte d’eau dans l’océan du non-être, un grain de poussière dans le désert du rien.
Je suis ton ombre, à toi de comprendre !
Je veux bien vous faire confiance ; encore faudrait-il que j’eusse eu confiance en moi.
L’essentiel est invisible pour les yeux, seul le cœur voit bien.
L’honnêteté envers soi-même est la clé de voûte de toute sagesse.
L’humilité est la vertu des forts, l’orgueil le défaut des faibles.
L’humilité est le premier pas vers la sagesse, car elle nous permet de reconnaître nos limites et d’apprendre de nos erreurs.
L’humilité se vit, d’abord, avec soi-même.
L’introspection est le chemin de la connaissance de soi, la porte d’accès à notre vérité intérieure.
L’ombre de soi-même est souvent le plus grand obstacle à surmonter.
La beauté intérieure est à la beauté extérieure ce que l’éternité est à l’éphémère.
La colère est une courte folie, la patience est une longue sagesse.
La confiance en soi est la première condition du succès.
La connaissance de soi est le début de toute sagesse.
La connaissance intime de sa propre nature.
La conscience de la nécessité d’un changement n’émerge que lorsque la situation présente atteint un point critique, un paroxysme insoutenable.
La crainte de l’échec est souvent plus paralysante que l’échec lui-même.
La sagesse c’est un esprit positif qui interagit avec le Monde.
La sagesse consiste à savoir quand parler et quand se taire, quand agir et quand s’abstenir.
La sagesse de l’Homme mûrit avec son âge.
La sagesse est de voir le nouveau dans l’ancien et l’ancien dans le nouveau.
La sagesse est la fille de l’expérience et la mère du bonheur.
La sagesse est un savoir profond qui fait renaître quand il ne reste plus rien à espérer et qu’il faut accepter la vie telle qu’elle est.
La sagesse se construit sur un corps qui prend conscience de ses limites.
La sagesse, c’est d’avoir des rêves suffisamment grands pour ne pas les perdre de vue lorsqu’on les poursuit.
La seule réalité que posséde, vraiment, l’homme est celle de l’instant vécu. C’est dans sa capacité à l’habiter pleinement que réside, peut-être, le secret d’une existence authentique et sereine.
La solitude et la tristesse engendrent, souvent, l’inspiration.
La solitude offre le meilleur moment pour dialoguer avec sa conscience.
La véritable grandeur est de dominer ses passions et non les autres.
La véritable richesse est celle que l’on partage, la vraie pauvreté est celle que l’on garde pour soi.
La véritable sagesse est de reconnaître son ignorance et d’apprendre de chaque expérience.
La véritable sagesse n’est pas dans l’accumulation des connaissances, mais dans l’art de se connaître soi-même, d’embrasser ses ombres et ses lumières, et de cultiver chaque jour un peu plus de paix intérieure.
La Vie ? Il suffit d’y être pour être sûr de repartir !
La vie est une suite de choix, mais c’est notre façon de les assumer qui fait toute la différence.
La vie nous enseigne que le bonheur ne se trouve pas au sommet de la montagne, mais dans la façon de la gravir.
Le bonheur est une grâce fugitive qui se révèle à celui qui cultive la paix intérieure et embrasse la beauté de l’instant présent avec un cœur ouvert et reconnaissant.
Le bonheur est une victoire sur soi-même avant d’être un succès dans le monde.
Le bonheur n’est pas au bout du chemin, il est le chemin lui-même.
Le bonheur se trouve dans l’acceptation de ce qui est, et non dans la recherche de ce qui pourrait être.
Le but de la vie est de vivre, et de vivre intensément.
Le changement est la seule constante de l’univers, s’y adapter est la clé de la survie.
Le chemin le plus court d’un point à un autre est la ligne droite, en théorie.
Le courage, c’est la peur qui a dit ses prières.
Le doute est le commencement de la sagesse.
Le fou s’imagine toujours être sage, mais le sage sait qu’il peut être un fou.
Le grand voyage de la vie n’est pas d’aller vers de nouveaux paysages, mais d’avoir de nouveaux yeux.
Le meilleur moyen de résister à la tentation est d’y céder.
Le meilleur reste à venir, mais le pire aussi.
Le passé est un bon professeur, le présent un bon compagnon et l’avenir une belle promesse.
Le plus grand explorateur sur cette terre ne fait pas de plus longs voyages que celui qui descend au fond de son cœur.
Le plus grand voyageur n’est pas celui qui a fait dix fois le tour du monde, mais celui qui a fait une seule fois le tour de lui-même.
Le sage apprend de ses erreurs, l’homme ordinaire de ses réussites.
Le sage cherche la vérité, le sot a déjà trouvé la sienne.
Le sage est celui qui sait qu’il ne sait pas.
Le sage est semblable à l’eau qui s’adapte à toutes les formes sans perdre sa nature profonde.
Le secret du bonheur n’est pas dans la poursuite effrénée de ce que nous n’avons pas, mais dans la reconnaissance émerveillée de tout ce que la vie nous offre déjà à chaque instant.
Le seul véritable échec est celui dont on ne tire aucune leçon.
Le silence est un ami qui ne trahit jamais.
Le silence est d’or, la parole est d’argent.
Le succès c’est d’aller d’échec en échec sans perdre son enthousiasme.
Le temps ne respecte pas ce qui se fait sans lui.
Le travail éloigne de nous trois grands maux : l’ennui, le vice et le besoin.
Le véritable bonheur consiste à faire le bonheur d’autrui.
Le véritable courage est de savoir être soi-même, envers et contre tous.
Le vrai bonheur ne dépend d’aucun être, d’aucun objet extérieur. Il ne dépend que de nous.
Les conseilleurs ne sont pas les payeurs.
Les erreurs sont les portes de la découverte.
Les fous et les sages finissent toujours par se rencontrer.
Les grands esprits discutent des idées, les esprits moyens discutent des événements, les petits esprits discutent des gens.
Les larmes, c’est toujours un cri du cœur qui ne peut pas sortir par la bouche.
Les meilleures choses qui arrivent dans le monde de l’humanité naissent de l’affliction.
Les mots justes trouvés au bon moment sont de l’action.
Les petites rivières font les grands fleuves.
Les très belles choses perdent leur charme si l’on y insiste.
Les vrais paradis sont les paradis qu’on a perdus.
L’esprit s’appauvrit à mesure que le savoir s’accroît.
L’expérience est le nom que chacun donne à ses erreurs.
L’homme absurde est celui qui ne change jamais.
L’homme est un apprenti, la douleur est son maître.
L’homme est un animal raisonnable, ce qui ne veut pas dire qu’il est un animal raisonné.
L’homme est un être qui a besoin d’être consolé.
L’homme n’est pas fait pour la défaite.
L’homme propose et Dieu dispose.
L’humilité, c’est accepter de ne pas être parfait et de l’admettre.
L’idéal, c’est la vie ; la réalité, c’est la mort.
L’important n’est pas ce qu’on fait de nous, mais ce que nous faisons nous-mêmes de ce qu’on a fait de nous.
L’intuition est la sagesse instantanée.
Malgré tous les progrès scientifiques et technologiques, l’homme reste un mystère pour l’homme.
Méfiez-vous des gens qui ne rient jamais, ils sont dangereux.
Mieux vaut allumer une bougie que maudire l’obscurité.
Mieux vaut être seul que mal accompagné.
Mieux vaut prévenir que guérir.
Mieux vaut rater sa vie que de ne pas la tenter.
Mieux vaut une vérité qui fait mal qu’un mensonge qui fait plaisir.
Miroir de l’expérience vécue, la vieillesse contemple, avec sagesse, le monde qui l’entoure pour reconnaître la fragilité de chaque instant et voir la beauté là où d’autres la négligent.
N’accuse pas le puits d’être trop profond quand ta corde est trop courte.
Ne craignez pas d’avancer lentement, craignez seulement de rester sur place.
Ne vous souciez pas d’être sans emploi ; souciez-vous plutôt d’être digne d’un emploi.
Nul n’est plus dupe que celui qui se complait à se tromper lui-même.
Nul n’est plus sot que celui qui ne veut point comprendre.
On a souvent besoin d’un plus petit que soi.
On ne juge pas un homme sur le nombre de fois qu’il tombe, mais sur le nombre de fois qu’il se relève.
On ne peut atteindre l’aube qu’en passant par le chemin de la nuit.
On ne peut pas toujours tirer le diable par la queue, parfois il faut le regarder en face.
On ne saurait voir la vérité par les yeux d’autrui.
On peut aussi bâtir quelque chose de beau avec les pierres qui entravent le chemin.
On peut mesurer le bonheur d’un homme à la jalousie de ses amis.
On voyage autant pour se retrouver que pour se perdre.
Par la volonté on devient maître et par la sagesse on devient libre.
Pardonner, c’est se libérer du passé et s’ouvrir à l’avenir.
Pensez comme un sage mais communiquez dans le langage du peuple.
Petit à petit, la vieillesse prépare mon lit.
Philosopher c’est apprendre à mourir.
Pleurer: Des fois on ne sait même pas pourquoi.
Pour être heureux, il faut éliminer deux choses : la peur et le désir.
Pour s’orienter vers le futur, il faut connaître son point de départ.
Pour savoir où l’on va, il faut savoir d’où l’on vient.
Pour se faire une opinion d’une chose, il faut l’avoir vue soi-même.
Pour se rendre à l’évidence, il faut s’échapper du doute.
Prendre le recul nécessaire pour juger ses propres actes est le propre du sage.
Quand l’espoir disparaît, la vie n’a plus de sens.
Quand la vie vous donne cent raisons de pleurer, montrez-lui que vous en avez mille de sourire.
Quand on n’a que l’amour pour parler aux canons.
Quand on veut on peut, quand on peut on doit.
Que la force me soit donnée de supporter ce qui ne peut être changé et le courage de changer ce qui peut l’être mais aussi la sagesse de distinguer l’un de l’autre.
Qui cherche la vérité doit être prêt à l’inattendu, car elle est difficile à trouver et déconcertante lorsqu’on la rencontre.
Qui n’ose rien n’a rien.
Qui ne progresse pas chaque jour, recule chaque jour.
Qui ne risque rien n’a rien.
Qui sait être pauvre est riche.
Qui sème le vent récolte la tempête.
Qui vit sans folie n’est pas si sage qu’il croit.
Renoncez à l’idée d’avoir toujours raison ; on n’a raison que par hasard.
Rien n’est jamais perdu tant qu’il reste quelque chose à trouver.
Rien ne sert de courir, il faut partir à point.
S’aimer soi-même est le début d’une histoire d’amour qui durera toute une vie.
Se connaître est le début de toute sagesse.
Seul l’arbre qui a subi les assauts du vent est vraiment vigoureux, car c’est dans cette lutte qu’il a renforcé ses racines.
Seule la vérité blesse.
Si l’ignorance était une bonne chose, les sots seraient bienheureux.
Si nous ne changeons pas, nous ne grandissons pas. Si nous ne grandissons pas, nous ne vivons pas vraiment.
Si tu ne changes pas de direction, tu risques d’arriver là où tu te diriges.
Si tu peux rêver, tu peux le faire.
Si tu veux aller vite, marche seul, mais si tu veux aller loin, marchons ensemble.
Si tu veux la paix, prépare la paix.
Si vous ne pouvez expliquer un concept à un enfant de six ans, c’est que vous ne le comprenez pas complètement.
Si vous pensez que l’aventure est dangereuse, essayez la routine, elle est mortelle.
Si vous pensez que vous êtes trop petit pour avoir de l’impact, essayez d’aller au lit avec un moustique.
Si vous voulez aller de l’avant, il faut savoir d’où vous venez.
Si vous voulez que la vie vous sourie, apportez-lui d’abord votre bonne humeur.
Souvent la peur d’un mal nous conduit dans un pire.
Souvent les petites décisions engendrent des conséquences capitales.
Souviens-toi que le bonheur est une façon de voyager, non une destination.
Soyez le changement que vous voulez voir dans le monde.
Soyez vous-même, tous les autres sont déjà pris.
Toute la sagesse du monde se trouve en soi.
Toute chose a sa beauté mais tout le monde ne la voit pas.
Toute chose est difficile avant d’être simple.
Toute vérité franchit trois étapes. D’abord elle est ridiculisée. Ensuite, elle subit une forte opposition. Puis, elle est considérée comme ayant toujours été une évidence.
Un pessimiste voit la difficulté dans chaque opportunité, un optimiste voit l’opportunité dans chaque difficulté.
Un problème créé ne peut être résolu en réfléchissant de la même manière qu’il a été créé.
Un seul brin de paille peut vous indiquer d’où souffle le vent.
Une fois qu’on a accepté ses limites, on va au-delà.
Une hirondelle ne fait pas le printemps, mais plusieurs oiseaux annoncent bien son arrivée.
Une vie non examinée ne vaut pas la peine d’être vécue.
Vieillir est encore le seul moyen qu’on ait trouvé de vivre longtemps.
Vieillir, c’est comme escalader une montagne ; on se fatigue mais la vue est de plus en plus belle.
Vivre ne veut pas seulement dire voir la lumière, mais être la lumière.
Vivre, c’est prendre conscience du non-Moi.
Vogue ma galère, vogue au gré des vents, dans l’océan de la Vie où un jour tu sombreras !
Vous devez être le changement que vous voulez voir dans ce monde.
Vous ne pouvez choisir ni comment mourir, ni quand. Mais vous pouvez décider de comment vous allez vivre. Maintenant.

 

La spiritualité et la transcendance (83 citations) :

A la fin de ce Monde ne peut venir que par sa déshumanisation.
Appartenir à tout le monde, c’est n’appartenir à personne.
Au royaume des Faux, le Vrai peine à vivre.
Au terme de son existence, l’Homme doit conforter qu’il n’est venu sur cette Terre que pour adorer Dieu, son Créateur.
Avant Satan, le mal n’existait pas.
Ce Monde est un fleuve tumultueux où chaque peuple est un affluent qui y déverse sa culture, ses rêves et ses luttes, participant ainsi au grand voyage commun de l’Humanité vers son delta incertain.
Ce que le Bon Dieu a bien voulu que je sois, voilà ce que je suis et que j’accepte.
Cher égo, toujours égaux, mais des fois amis des fois ennemis, au gré de la vie.
Dans ce désert éternel où règne la désespérance, les grains de sable éphémères crient leur triste existence.
Dans ce Monde, chaque grain de poussière témoigne de son éternité.
Dans cet Univers infini, tout ce qui existe est fini.
Dans cette Vie, aucune attente n’est perpétuelle.
Dans cette Vie, chaque Humain se construit son immeuble sur les fondations de son passé avec la certitude de ne jamais l’achever.
Dans cette Vie, il n’y a que l’amour de Dieu pour Ses Créatures qui dépasse celui d’une mère pour ses petits.
Dans cette Vie, le corps, matière, vient du Néant et y retourne. Immatérielle, l’âme l’abandonne pour rejoindre l’Eternité.
Devant la brièveté de la vie, on est tenté de croire qu’on meurt pour vivre l’Eternité.
Dieu crée ce qu’Il veut et autant qu’Il veut. Deux de Ses Créations concernent le règne des vivants : La Vie et la Mort.
Dieu ne conçoit que de belles choses, l’Homme peut-il seulement envisager qu’Il puisse faire laid ?
Dieu, l’Un suprême, est la source de toute la création dans sa diversité, mais cette diversité ne peut, par elle-même, faire émerger l’unité divine, qui est le principe premier et incréé.
Durant la Vie, l’âme de l’Homme utilise les pleines capacités de son corps pour l’affirmation de sa propre perfection. Avec l’âge et en faiblissant, elle le quitte, malheureusement.
Ephémère et fini me commande ma pleine soumission à l’Eternel et Infini.
Et dire que, de cette Eternité, je n’aurais vécu qu’une fraction de dénominateur infini, le Temps faisant défaut.
Et quand vient la nuit, la vue se perd et l’oreille s’accroche au moindre bruit.
Eternelle, la Vie est une succession de problèmes ; éphémère, ma vie est une succession de solutions.
Face à la Beauté divine de la Nature, l’Homme oscille entre participation active et contemplation passive, entre immersion créatrice et distanciation esthétique.
Glorifions Dieu, Le Très-Haut, Qui a créé l’Homme et lui a assigné sur Terre une seule et unique mission de L’adorer.
Il faut être en dehors du Monde pour pouvoir le créer.
Informatiquement, la vie de l’Homme est l’exécution d’un micro-script dans l’Infini et Eternel Programme Divin.
J’atteste qu’il n’y a pas de divinité en dehors de Dieu et j’atteste que Mahomet est le Messager de Dieu.
J’existe, c’est voulu !
Je n’ai et je n’aurai d’autre attitude que de me reconnaître, éternellement, créature devant mon Créateur.
Je n’étais rien, je suis tout, je ne serai rien !
Je suis comme une goutte d’eau dans l’océan du non-être, un grain de poussière dans le désert du rien.
Je suis un Néantois, venu du Néant et devant y retourner, ce n’est qu’une question de Temps !
Je suis une Créature de Dieu et toutes les Créatures de Dieu sont belles donc je suis beau.
Je viens du Néant et je dois y retourner !
L’âme est belle, par essence. Elle s’interdit de se découvrir, autrement, que dans la beauté du corps, du cœur et de l’esprit.
L’Au-Delà intrigue pour sa destination : le Néant ou l’Eternité ?
L’Au-delà ? On y va à la vitesse de la lumière, il suffit que le cœur s’arrête.
L’Au-delà ? On y va tous sans que personne ne connaisse son verdict.
L’être humain tire sa dignité et son importance au sein de la société des principes éthiques et des idéaux qu’il incarne et met en pratique dans sa vie.
L’existence, parenthèse éphémère dans l’infini du Néant, manifeste la volonté démiurgique de révéler la toute-puissance créatrice divine.
L’Eternité se plaît à s’afficher, souvent, en arc-en-ciel avec ses six couleurs invariables et dans le même ordre de l’intérieur vers l’extérieur.
L’Homme est embarqué dans la Vie, ce véhicule en pilote automatique, dont il ne peut voir, à travers la lunette arrière, que ce qu’il a dépassé.
L’Homme n’a pas la capacité de saisir la définition de la vie mais tout ce qui existe dans l’Univers, objet de la Création, vit.
L’Homme ne perçoit le Monde qu’au moyen de ses capacités physiques et mentales limitées.
L’Homme perçoit la Création par la recherche et la projection des lignes médianes et des symétries résultantes de tout ce qu’il observe.
L’Homme se suffit d’être sans raison, n’est-ce-pas sa raison d’être !
L’Humanité a, de tout temps, blâmé le destin pour les aléas de l’existence, alors même que l’univers demeure immuable et indifférent à nos tourments, tel un astre impassible brillant d’une lumière éternelle.
L’infiniment petit et l’infiniment grand sont inaccessibles pour l’Homme.
L’Ordre Suprême gère tous les désordres de l’Univers.
L’origine de la fugacité existentielle demeure insaisissable, à l’inverse du fleuve dont on peut remonter le cours.
L’unique et noble mission que Dieu a assignée à l’Homme sur cette Terre est de L’adorer.
L’unique miracle de la vie, c’est la mort.
L’Univers ne peut être que parfait et l’Homme, imparfait, s’y intègre dans un ordre parfait.
La conscience humaine, par sa capacité à appréhender ce qui échappe aux sens, témoigne de l’existence d’une réalité qui transcende le perceptible.
La Création, c’est du perceptible et de l’imperceptible aussi.
La création de l’Univers atteste de la Puissance de Dieu.
La foi en Dieu délivre l’Homme de toutes ses peurs : telle est la Puissance Divine.
La foi repose sur la conscience de la mort.
La matière se meut en fonction du temps et de l’espace.
La Vie ? Il suffit d’y être pour être sûr de repartir !
La Vie est une embarcation qui vogue au gré des vents et des courants, heureux celui qui la mènera à bon port.
La vie n’est qu’un transit pour l’Homme qui sort du Néant pour être citoyen du Royaume des Poussières.
Le Bon Dieu est le Maître de l’Espace et du Temps.
Le Bon Dieu nous a assignés sur cette Terre et c’est sur elle que nous rendrons nos comptes au Jour Dernier.
Le calendrier divin entame le compte à rebours dès le jour de naissance.
Le Néant est absolu. L’Eternité est absolue. En créant ce Monde éphémère, Dieu l’a doté de la relativité du Temps.
Le roi est mort, le Bon Dieu non !
Le savoir de l’humanité n’est qu’une infime partie du Savoir absolu de Dieu
Le seul mystère de la Vie émane de ses deux extrémités.
Mère, par la volonté divine, tes enfants te vouent une reconnaissance éternelle pour leur avoir donné naissance.
Mère, tu n’es plus là pour le constater, mais ton rêve, par la Grâce Divine, se réalise !
Mon Dieu, Créateur de ce Monde parfait, donne-moi la capacité de le comprendre.
Nul n’est prophète au pays de la jalousie.
Par la Volonté du Créateur, la créature n’a pas la capacité de saisir la définition de la vie mais tout ce qui existe dans l’Univers, objet de la Création, vit.
Père, par la volonté divine, tes enfants te vouent une reconnaissance éternelle pour avoir été notre protecteur durant toute ta vie.
Pour être entière, la beauté physique doit s’accomplir dans les trois dimensions de l’Espace.
Pour tout être, mourir c’est la vie qui lui tourne le dos ; pour tout mort c’est la vie d’en face.
Quel privilège que d’être un individu parmi les 7 milliards d’humains à l’image du Bon Dieu dans cet Univers où des milliards d’étoiles scintillent sur des milliards de galaxies !
Que vous le dites ou pas, que je le dise ou pas ; vous êtes ce que vous êtes et je suis ce que je suis, Dieu merci.
S’il vous plaît, l’Eternité c’est par où ? C’est au prochain arrêt du cœur !
Si le fini explique l’Infini, je serai l’imbécile le plus effarant de la Vie.
Si tu cherches Dieu, tu Le trouveras dans la prière.
Tout ce qui est sur la Terre, un jour et pour toujours, doit se taire.
Tout Humain commence sa vie par je suis et la termine par il est.
Venant du Néant, l’Homme peut se vanter d’avoir existé pour répandre sa poussière sur la Terre..
Vivre, c’est mourir.
Vous cherchez l’Absolu ? C’est Dieu !

 

L’amour et les relations humaines (78 citations) :

A dépit de faire le bien, s’abstenir de faire le mal.
A l’image du serpent, plus on rase la terre et plus on est venimeux.
Aimer peut s’accommoder, quelquefois, avec trahir.
Aimer peut, des fois, être tellement intense qu’il se prolonge en haine.
Aussi lourd qu’on se croit, on ne dépasse jamais son poids et n’eût été l’attraction terrestre, on flotterait.
Avec les yeux de l’amour, on voit des fleurs partout.
Avec un ami, on a toujours raison, même quand on a tort ; avec un ennemi, on a toujours tort, même quand on a raison !
Bien voler au secours des gens que voler leurs biens.
Choisissez bien votre partenaire de jeux : il sera le partenaire de votre vie.
Dans chaque ami, sommeille un ennemi latent.
Deux paupières suffisent pour s’empêcher de voir, mais il faut deux mains pour s’empêcher d’entendre.
Donner doit être agréable pour celui qui reçoit et non de le faire se sentir petit.
Embrasser la violence du monde ou cultiver la paix intérieure.
En dépit de corps distincts, s’aimer c’est rapprocher deux âmes.
Entre amis, les vrais sont ceux qui reprennent l’initiative du contact après une brouille.
Entre humains, la revanche la plus déroutante est de répondre au mal par le bien.
Entre voler et voler ou voler et voler, que choisirez-vous ?
Etre sincère avec autrui commence par l’être avec soi-même.
Faute avouée est à moitié pardonnée.
Il faut être irréprochable envers sa famille pour espérer l’être envers autrui.
Il vaut mieux ne pas agir devant le silence de l’absent.
Il vaut mieux se rapprocher du riche qui s’appauvrit que du pauvre qui s’enrichit.
J’ai, toujours, eu peur de ne pas avoir peur.
J’aime ceux qui n’aiment pas les gens qui ne m’aiment pas.
J’aime tant laisser mon amour très fort pour ma mère à toutes les Baya du monde.
J’aime tellement rester pauvre que j’en deviens riche.
Je déteste me mettre en face du soleil, de peur que mon ombre, derrière moi, me trahisse.
Je n’ai et je n’aurai d’autre attitude que de me reconnaître, éternellement, créature devant mon Créateur.
Je suis ton ombre, à toi de comprendre !
Je veux bien vous faire confiance ; encore faudrait-il que j’eusse eu confiance en moi.
L’accolade n’est pas, toujours, signe d’amitié. Le fauve aime, bien, en faire à sa victime.
L’ami c’est ce qui reste quand on a tout perdu.
L’ami n’a, jamais, été un frère.
L’amitié par correspondance se tisse sur des doutes en abondance.
L’amour fait tourner le monde, mais l’argent fait tourner la tête.
L’amour véritable est un dialogue constant entre deux cœurs, où chaque mot est un geste de tendresse, chaque silence une preuve de confiance, et chaque regard une promesse d’éternité.
L’amour vrai ne se mesure pas, il se ressent.
L’amour, c’est l’infini mis à la portée des caniches.
L’empathie, boussole de l’action juste, nous invite à éprouver le monde depuis l’altérité, pour mieux mesurer la portée de nos gestes et en prévenir les ondes de choc.
L’essence féminine, bois nourricier, s’embrase au souffle ardent de l’homme, se consumant avec grâce pour qu’il resplendisse de mille feux, telle une torche éclairant les ténèbres de l’existence.
L’hostilité se recrute dans la famille et l’amitié la plus proche.
La haine, antichambre de la trahison, révèle la noirceur de l’âme qui, consumée par son fiel, sacrifie toute loyauté sur l’autel de sa rancoeur.
La jalousie est une maladie ardante qui consume celui qui en souffre.
La jalousie recrute dans la proximité, les métiers et les professions.
La jalousie vivra jusqu’au jour où il restera un seul homme sur cette Terre.
La mère, démiurge, précipite l’être dans le flux de l’existence.
La plus haute forme d’intelligence humaine est la capacité de pardonner.
La sincérité est à l’amitié ce que le ciment est au mortier
La sincérité est le seul véhicule de la vérité.
La valeur d’un ami fluctue en fonction du temps, des circonstances et des intérêts.
La vie durant, aucune considération. A titre posthume hommages, éloges et distinctions.
Le bonheur s’éprouve lorsqu’on le donne aux autres.
Le coup de foudre suit l’éclair, seule la raison négocie la durabilité.
Le devoir universel de l’homme est d’aimer et de respecter toutes formes de vie.
Le mensonge cherche, souvent, le voisinage de la réalité.
Le moustique, dans son existence toute entière, incarne le triomphe de l’air sur la terre, ses ailes le portant sans cesse, tandis que ses pattes demeurent des vestiges inutiles d’une vie rampante qu’il a transcendée.
Les amis sont des compagnons de voyage, qui nous aident à avancer sur le chemin d’une vie plus heureuse.
Les yeux trahissent, souvent, ce que dit la bouche.
Lorsque le menteur rencontre le sincère, il devient sincère sur le moment.
Ma fille, je suis le premier homme à t’aimer et tu me porteras, toute ta vie, dans ton cœur.
Malades de cœur, les ennemis et les faux-amis se sentent visés par tout ce qu’on écrit et on dit.
Mère, j’oublie, toujours, que je suis mère pour être, d’abord, ta fille
Mère, le respect que je te voue est tellement grand qu’il a associé toutes les femmes du Monde.
Mère, par la volonté divine, tes enfants te vouent une reconnaissance éternelle pour leur avoir donné naissance.
Mère, tu n’es plus là pour le constater, mais ton rêve, par la Grâce Divine, se réalise !
Mon enfant, la vieillesse me rattrape, mais si tu dois m’aimer, sache que mon amour pour toi n’avait et n’a d’égal que celui que tu as pour ton propre enfant.
On n’aime que ce qu’on ne possède pas tout entier.
Père, j’oublie, toujours, que je suis père pour être, d’abord, ton fils.
Père, par la volonté divine, tes enfants te vouent une reconnaissance éternelle pour avoir été notre protecteur durant toute ta vie.
Pour faire le vide autour de soi, il suffit de prêter son argent.
Pour te situer sur le cours du temps, de l’instant présent, projette-toi cent ans en arrière et cent ans en avant.
Pour trouver la rose de sa vie, il faut cueillir la plus belle du jardin et ne plus jamais changer d’avis.
Pour voir la vie en rose, en merveille, Il faut trouver cette rose qui émerveille. Celle qui chasse nos peines, nos batailles Et nous transporte dans un monde sans pareil.
Pour voir la vie en rose, Il faut trouver la rose de sa vie. Pour trouver la rose de sa vie, Au jardin choisir la plus jolie De nature la plus accomplie Et ne plus jamais changer d’avis
Prêter son argent contribue à se faire des ennemis.
Qui, mieux que Dame Nature, fascine autant l’âme humaine ?
Si les mères tenaient les rênes du monde, Leur amour, comme une vague profonde, Submergerait les velléités guerrières, Et ferait taire les armes meurtrières.
Si on devait définir une affection par une intensité, qui pourrait égaler la compassion, la tendresse et le sacrifice d’une mère envers ses petits ?
Si vous ne voulez plus de guerre dans ce Monde, laissez les mères des soldats décider !
Souvent, deux personnes que la Vie a, un certain moment, rapprochées, se repoussent.
Ta beauté n’est palpable qu’avec mon cœur affectif.
Tel un parasite insidieux, l’ingratitude se nourrit de la générosité d’autrui, pervertissant le don en instrument de sa propre prolifération.
Une mère, c’est un don de Dieu.
Vous tendez la main à deux personnes : la vraie vous tend la sienne, la fausse vous mord les doigts.

 

La beauté et l’art (52 citations) :

A défaut de sublimer la beauté, on camoufle les défauts.
Arrêter la musique, je continue à danser au rythme de mon extase.
Au sommet de la tour, on s’entoure, souvent de vautours.
Au-delà des épreuves, il y a toujours un espoir qui s’endort dans les souvenirs passés et les rêves à venir.
C’est aussi parfait que la courbe d’un arc-en-ciel.
C’est dans la rencontre avec l’altérité féminine que l’homme trouve le catalyseur de sa propre transformation, s’élevant ainsi à une forme plus accomplie de lui-même.
Chaque jour, le soleil, artiste éternel, peint le ciel en mille couleurs, du rouge flamboyant au bleu enchanteur et transforme les paysages en œuvres d’art, donnant à chaque instant une histoire.
De tout temps, les nuages ont dessiné des formes uniques sans qu’aucune ne ressemble à l’autre.
Dois-je me délecter du beau ou m’abandonner à la beauté ? Je ne peux me résoudre.
Face à la Beauté divine de la Nature, l’Homme oscille entre participation active et contemplation passive, entre immersion créatrice et distanciation esthétique.
Il n’y a que l’imagination qui peut dépasser la réalité.
L’âme est belle, par essence. Elle s’interbit de se découvrir, autrement, que dans la beauté du corps, du cœur et de l’esprit.
L’art d’être heureux c’est d’aimer son destin.
L’art n’est pas un miroir pour refléter la réalité mais un marteau pour lui donner forme.
L’essence féminine, bois nourricier, s’embrase au souffle ardent de l’homme, se consumant avec grâce pour qu’il resplendisse de mille feux, telle une torche éclairant les ténèbres de l’existence.
La beauté absolue relevant des attributs de Dieu, l’image d’un sujet ou d’un objet est une onde visuelle qui, si elle s’harmonise avec un ou plusieurs référentiels intrinsèques de l’observateur, la perçoit comme une beauté relative.
La beauté c’est dans les yeux de celui qui regarde.
La beauté de l’univers est construite sur la symétrie.
La beauté est dans les yeux de celui qui regarde.
La beauté est toujours sauvage.
La beauté est une promesse de bonheur.
La beauté il faut l’admirer d’en-bas !
La beauté s’apprécie entre singulière et plurielle.
La beauté se trouve à l’intérieur.
La contemplation du Beau, dans ses manifestations infinies, élève l’âme vers l’absolu et lui permet d’entrevoir, au-delà des apparences éphémères, l’essence divine qui nimbe le monde d’un éclat intemporel.
La danse est une poésie dont chaque mouvement est un mot.
La danse ne peut s’exprimer qu’au rythme de la musique.
La modestie permet de rassurer celui qui est sensible à la beauté.
La musique commence là où s’arrête le pouvoir des mots.
La Nature est si belle parce que il n’y a pas de parce que.
La Nature est si belle qu’elle m’ensorcelle.
La noblesse de l’âme doit pousser l’Homme à briller de l’intérieur et non de l’extérieur.
La plus belle clarté n’est pas toujours la plus aveuglante, mais celle qui sait révéler la profondeur cachée de chaque chose en l’éclairant patiemment.
La poésie est au cœur ce que le printemps est aux fleurs.
La symétrie est à la beauté ce que le Soleil est à l’Univers.
La symétrie, en tant que principe d’ordre et d’équilibre, ne peut se reconnaître dans la nullité du zéro, mais s’épanouit dans la juste proportion des nombres pairs, reflets de sa perfection.
Le miroir, reflet trompeur de la réalité, inverse l’ordre apparent des choses, révélant ainsi l’illusion de notre perception et la relativité de toute vérité.
Le soleil n’aime pas qu’on abuse de ses rayons.
Les très belles choses perdent leur charme si l’on y insiste.
Liberté, muse des poètes et des rêveurs, tu danses sur nos lèvres et dans nos cœurs, nous invitant à briser nos chaînes et à déployer nos ailes.
Libre et insaisissable, la pensée parcourt l’immensité de l’imagination pour combler l’âme, assoiffée de connaissance.
L’Eternité se plaît à s’afficher, souvent, en arc-en-ciel avec ses six couleurs invariables et dans le même ordre de l’intérieur vers l’extérieur.
L’existence d’un symbole ou d’une institution ne présuppose pas l’adhésion universelle aux valeurs qu’ils représentent.
L’Homme est une œuvre d’art que le Temps dessine, variablement, depuis la naissance pour la terminer au dernier soupir.
L’Homme est une œuvre d’art sculptée dans la matière périssable que le Temps enlaidit lamentablement.
L’Homme perçoit la beauté de la Nature par la recherche et la projection des lignes médianes et des symétries résultantes de tout ce qu’il observe.
Miroir, révèle-moi la vérité de mon être. Dois-je me soumettre à l’emprise du temps qui marque mon corps, ou embrasser l’éternelle jeunesse de mon âme pour transcender ma condition éphémère ?
Nul ne possède la beauté, elle n’appartient qu’à elle-même.
On ne voit bien qu’avec le cœur. L’essentiel est invisible pour les yeux.
Pour être entière, la beauté physique doit s’accomplir dans les trois dimensions de l’Espace.
Quel bonheur d’écouter la tristesse chanter !
Quelle beauté que cette brise légère, Qui caresse mon visage et mon cœur, Me transportant dans une douce rêverie, Où s’entremêlent joie et bonheur.
Quelquefois, on admire la beauté comme si elle était faite d’une matière éternelle. Puis le temps passe et l’on voit alors ce qu’il en advient en réalité.
Tout ce qui est beau est beau, il n’y a rien à dire !
Toute la Création est, divinement, belle. Mais la beauté se relativise par l’évaluation de l’Homme dont les capacités sont, intrinsèquement, limitées.
Un élan poétique emporte mon âme Au-delà des horizons infinis, Où les mots dansent et s’enflamment, Pour célébrer la beauté de la vie.
Une beauté assortie d’une touche de curiosité ne peut être que sublime.
Une beauté sans imperfection n’est jamais parfaite.
Vous cherchez la beauté ? C’est toute la Création !

 

La société et la politique (121 citations) :

A l’image d’un général sans armée, un éloquent sans auditoire est un arc sans flèche.
Avec le pouvoir, on ne partage pas.
Avec le temps, sagesse, philosophie et folie finissent par habiter à la même enseigne.
Bien loin la douceur du son du mur que la déflagration du mur du son.
Bon Dieu, protège-nous de devenir des auteurs de tort envers nos semblables.
C’est parce que tu es mon ami que je suis ton ennemi.
Ce Monde repose sur un équilibre de rapports de forces.
Ce n’est pas par ma volonté que je suis venu à la vie et ce n’est par elle que j’en repartirai.
Chers concitoyens, faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais !
Comme un funambule sur son fil, le dirigeant politique doit savoir garder l’équilibre entre fermeté et souplesse, audace et prudence, pour mener à bien sa mission.
Dans la jungle de la politique, seuls les plus malins et les plus résistants parviennent au sommet, quitte à laisser quelques plumes en chemin.
Dans la politique, les convictions sont souvent des otages que l’on sacrifie sur l’autel de l’ambition personnelle.
Dans la société d’aujourd’hui, le risque est de voir la connaissance devenir un produit comme un autre, dépendant des lois du marché et perdant sa valeur intrinsèque.
Dans la vie sociale, le poids d’une entente entre deux parties est, toujours, supporté différemment par l’une et par l’autre.
Dans un monde parfois morose où la tristesse impose sa prose, il faut chercher, sans nulle pause, la rose qui enivre et qui transpose.
Dans un monde qui a perdu ses repères, la tentation est grande de céder à la facilité du cynisme et du désengagement. Il faut, au contraire, trouver le courage de croire en ses valeurs et de les défendre.
Dans une démocratie, le rôle des médias n’est pas de plaire au pouvoir mais de servir la vérité, au risque de déplaire.
Dans une société démocratique, la liberté d’expression de chaque citoyen doit être protégée, mais elle ne saurait justifier des discours qui visent à réduire au silence ou à opprimer la liberté d’expression des autres.
Dans une société qui a tendance à idolâtrer ses figures publiques, il est crucial de faire la part entre les véritables héros, dignes de l’admiration, et ceux qui usurpent ce statut sans en avoir l’étoffe, et qui ne sont en réalité que des individus médiocres et indignes de respect.
Dans une société qui perd ses principes fondamentaux et ses références communes risque, inévitablement, de sombrer dans le chaos et la détérioration généralisée.
Des fois, pour atteindre le bien, il faut passer par le mal.
Devant l’impossible, l’arme est, souvent, une larme.
Devenu riche, le pauvre restera, toujours, simple d’esprit.
Du virus au nucléus, doit-on descendre au terminus ?
En politique, le siège éjectable est une option de série, mais le parachute, c’est du sur-mesure !
Entre le marteau et l’enclume, il y a toujours un espace pour respirer.
Entre voler et voler ou voler et voler, que choisirez-vous ?
Face à la guerre, les jeux d’alliance deviennent des jeux de dupes, où chacun essaie de tirer son épingle du jeu.
Faire le bien pour le terminer par le mal ou faire le mal pour le terminer par le bien, votre choix ?
Faire tourner l’horloge en sens inverse ne fait pas reculer le temps.
Heureux dans la vie, celui qui a, toujours, su rester en paix avec sa conscience.
Il arrive que l’homme doute de son père mais jamais de sa mère.
Il faut être en dehors du Monde pour pouvoir le créer.
Il n’est pas donné à tout le monde de briller.
Il n’y a qu’un pas entre la civilisation et la barbarie, et ce pas s’appelle l’éducation.
Il n’y pas plus mauvais élève que celui qui ne retient rien des leçons de la Vie.
L’argent ne fait pas le bonheur mais fait la différence.
L’élévation sociale ou hiérarchique ne doit pas faire oublier l’égalité fondamentale qui unit l’élu à ses congénères, et la perspective éthique exige de continuer à les considérer comme des alter ego, quelle que soit la distance qui les sépare.
L’élu du peuple, n’émerge pas, obligatoirement, d’un peuple élu.
L’engagement politique authentique exige une conscience critique et une volonté de naviguer entre les écueils, plutôt qu’une adhésion aveugle à un système ou à l’autre.
L’enseignant est tenu de transmettre à ses élèves, non seulement le savoir, mais aussi le savoir-être et le savoir-faire.
L’Homme fait et le Temps défait.
L’homme politique s’arrange, souvent, pour détenir la solution d’un problème qu’il se complaira à créer.
L’homme quitte, vraiment, sa jeunesse quand la flamme de l’enthousiasme ne brûle plus en lui.
L’innocence reconnue n’est souvent qu’un manque de preuves.
L’intelligence artificielle est une création algorithmique complexe qui simule certaines capacités cognitives humaines mais est dépourvue de conscience, de sensibilité, d’intentionnalité et d’une réelle compréhension du monde et d’elle-même.
L’isoloir est à la démocratie ce que la cabine d’essayage est à la mode.
L’opacité des systèmes de pouvoir engendre inévitablement la suspicion et la défiance des citoyens.
L’or achète le silence des uns et la parole des autres.
L’une des pires choses dans ce monde est de réussir à convaincre les gens qu’ils sont libres.
La bourde a dit, ne jamais abandonner l’absurde.
La colère du sage est plus dangereuse que la menace du fou.
La confiance des citoyens envers leurs dirigeants est le ciment invisible qui maintient la cohésion d’une société.
La connaissance est une arme qui peut servir le meilleur comme le pire, selon la main qui la porte et l’intention qui la guide.
La corruption est un cancer qui ronge le corps politique et social, détruisant la confiance et la cohésion nécessaires à toute vie en commun.
La démocratie c’est avoir le privilège de déposer son bulletin de vote dans une urne sans fond financée par les fonds, ramassés par les fans des candidats, en pays profond.
La démocratie, dans le jeu politicien, est souvent réduite à un simple atout rhétorique, agité comme un joker pour justifier des actions qui, sous couvert de la défendre ou de la renforcer, ne font que la vider de sa substance.
La dictature c’est « ferme ta gueule », la démocratie c’est « cause toujours ».
La faiblesse des hommes politiques vient surtout de leur dépendance à ceux qui les ont fait élire.
La force gagne aujourd’hui mais perdra, inéluctablement, demain.
La guerre est décidée par le politique, menée par le militaire et subie par le civil.
La guerre est : -Décidée par ceux qui s’assurent de rester en vie pour, politiquement, dérouler une belle carrière. -Menée par ceux qui sont morts pour mériter le Paradis et les vivants qui peuvent émarger à la médaille militaire. -Subie par ceux qui endurent, civilement, la destruction, la maladie, la détresse, la misère et ceux qui reposent au cimetière.
La guerre n’est jamais concomitante, elle est toujours déclenchée par une des parties antagonistes.
La guerre, certains la décident et d’autres la subissent.
La guerre, on aime et aimerait toujours la faire,–Avec épées, lances, chars ou nucléaire,–A portées réduites, localisées ou toute la Terre,– Pour le grand bonheur de quelques détraqués militaires.
La guerre, on n’aime guère !
La liberté a un prix que les peuples en esclavage ignorent et que les tyrans redoutent.
La liberté aveugle annihile la raison de l’Homme et le renvoie vers le monde animal.
La liberté est un privilège fragile qu’il faut reconquérir chaque jour, face aux forces qui cherchent à la museler.
La liberté est un trésor qui ne se monnaie pas, mais qui se conquiert par la vigilance et le courage.
La liberté est une clé à double tranchant : outil d’émancipation pour les uns, instrument de domination pour les autres.
La liberté ne s’évalue que par sa restriction.
La masse a toujours admiré les apparences brillantes et méprisé ce qui est simple et modeste.
La médiocrité d’un politicien se mesure à la quantité de promesses non tenues.
La noirceur du cœur humain se cache souvent derrière le masque du pouvoir.
La paix est tributaire de son monde.
La paix est un équilibre fragile qui ne tient qu’à un fil, celui de la volonté humaine.
La paix, par l’épée, n’est jamais durable.
La politique est comme un iceberg, on ne voit que la partie émergée, mais c’est la partie immergée qui est la plus importante et la plus dangereuse.
La politique est l’art de créer des problèmes, de trouver des solutions inadéquates, puis d’appliquer de manière incompétente les mauvaises solutions.
La politique est un jeu de pouvoir, où les passions se mêlent à l’argent, les idéaux deviennent illusoires et le bien commun se perd au vent.
La politique et l’argent roulent avec le même carburant, l’intérêt.
La politique et l’honneur ne font pas, toujours, bon ménage.
La politique n’a ni cœur ni mémoire.
La politique n’est pas la guerre, mais un peu de guerre ne nuit pas à la politique.
La politique, on en fait même si on n’en fait pas.
La puissance d’un pays ne se mesure pas à sa capacité de faire la guerre, mais à sa détermination à préserver la paix.
La quête du pouvoir ressemble souvent à une partie d’échecs, où chaque pion est sacrifié pour protéger le roi.
La raison du plus grand nombre n’est pas toujours la meilleure.
La révolte est un feu qui couve sous la cendre de la résignation, et qui n’attend qu’une étincelle pour embraser la plaine.
La tolérance est la vertu des faibles et l’arme des forts.
La tyrannie puise sa force dans la soumission volontaire de ceux qui la subissent.
La valeur d’un bien se mesure aux sacrifices que l’on est prêt à faire pour le préserver.
La vérité est la première victime de la guerre.
La vie publique est un théâtre où se jouent des tragédies, des comédies et des farces.
La violence est l’arme des faibles, le dialogue est la force des sages.
La violence est le dernier refuge de l’incompétence.
Le bon révolutionnaire est celui qui sait quand il faut arrêter la révolution.
Le bonheur est une denrée périssable, soumise, comme sur le marché boursier, aux fluctuations de l’offre et de la demande.
Le capitalisme sans faillite, c’est comme le christianisme sans enfer.
Le chaos est un ordre que nous ne comprenons pas.
Le despotisme est un long sommeil, la liberté est un beau réveil difficile.
Le droit à la libre expression de chaque individu est borné par l’obligation de ne pas porter atteinte à la liberté d’expression des autres, dans un équilibre délicat entre autonomie personnelle et respect mutuel.
Le jour où le peuple voudra vivre, le destin se doit de répondre.
Le leader qui aspire à instaurer la paix dans la cité doit, avant toute chose, avoir su pacifier les tensions qui agitent son propre esprit.
Le mal devance, toujours, le bien dans la surenchère.
Le mal finit, toujours, par jeter son homme à la poubelle de l’Histoire.
Le mensonge court toujours plus vite que la vérité, car il connaît des raccourcis qu’elle ignore.
Le mot impossible n’est pas français.
Le peuple se tait, mais il n’est pas sourd.
Le pire des maux est celui qu’on fait aux innocents.
Le plus beau des voyages est celui qu’on n’a pas encore fait.
Le plus grand voyageur n’est pas celui qui a fait dix fois le tour du monde, mais celui qui a fait une seule fois le tour de lui-même.
Le politicien est un acrobate qui esquive les questions et jongle avec les promesses.
Le pouvoir absolu corrompt absolument.
Le pouvoir corrompt. Le pouvoir absolu corrompt absolument.
Le pouvoir est d’une essence corrosive qui dissout lentement mais sûrement les scrupules et les principes.
Le pouvoir est une drogue qui monte vite à la tête.
Le pouvoir, lorsqu’il subit une pression excessive, se brise net comme du verre plutôt que de plier comme du métal.
Le problème avec les politiciens qui changent d’avis, c’est qu’on ne sait jamais s’ils évoluent ou s’ils tournent en rond.
Le progrès social n’est pas un long fleuve tranquille, mais une succession de rapides et de cascades qu’il faut sans cesse franchir.
Le riche tient les ficelles et le pauvre tient la chandelle.
Le roi est mort, vive le roi !
Le seul moyen d’atténuer les effets de la bêtise humaine est d’en rire avec sagesse et de ne jamais se lasser de l’expliquer.
Le silence des peuples est la leçon des rois.
Le sommeil du peuple enfante des monstres.
Le trône n’adoucit pas toujours l’agonie.
Les chaînes de l’esclavage ne sont jamais aussi solides que lorsque l’esclave pense être libre.
Les démocraties ne sont pas à l’abri des démagogues et des tyrans d’occasion.
Les despotes craignent les livres et les stylos plus que les bombes et les fusils.
Les dictateurs passent, les peuples restent.
Les faibles subissent ce qu’ils doivent, les forts obtiennent ce qu’ils peuvent.
Les frontières sont des cicatrices sur le visage de la Terre.
Les gardiens de la paix sont parfois les artisans de la guerre.
Les grandes puissances jouent aux échecs, les petits pays servent de pions.
Les idées se propagent non par leur justesse mais par leur simplicité.
Les lois des hommes changent, mais la nature humaine demeure.
Les meilleures lois naissent des pires mœurs.
Les peuples finiront un jour par étrangler, avec les boyaux du dernier capitaliste, le dernier bureaucrate.
Les peuples qui vivent dans l’ignorance vivent dans la peur, le courage naît de la compréhension.
Les politiciens et les couches-culottes ont une chose en commun : ils doivent être changés souvent et pour les mêmes raisons.
Les politiciens promettent des ponts même là où il n’y a pas de rivières.
Les promesses des politiciens sont comme les étoiles, plus elles brillent, plus elles sont lointaines.
Les promesses électorales n’engagent que ceux qui y croient.
Les révolutions sont comme les étoiles, nous ne les voyons qu’après leur mort.
Les révolutions sont toujours faites au nom de la liberté, mais elles s’achèvent souvent par la dictature.
Malheureux les peuples qui ont besoin de héros.
Massacrer ses semblables ne peut être l’œuvre, sensée, d’un être humain ; si ce n’est démentielle ou démoniaque.

 

La morale et les valeurs (132 citations) :

A choisir entre le printemps et l’automne mon choix, autonome, est l’automne monotone.
A contrario d’une qualité qui se perd souvent, un vice perdure toujours.
A défaut de faire le bien, s’abstenir de faire le mal.
Au pays des Justes, la faute est involontaire.
Au pays des Vrais, le Faux est roi.
Avant de boire, il faut, toujours, s’assurer de la potabilité de l’eau.
Avant de plonger, il faut, toujours, s’assurer de sa profondeur.
Avant de sauter, il faut, toujours, s’assurer de son point de chute.
Bien et Justice, complices éthiques, se concertent sporadiquement pour élire ceux qui, par leurs actes, graveront leur humanité exceptionnelle dans le marbre de l’Histoire.
Brader sa dignité, c’est ne plus en avoir !
Ce n’est qu’une utopie de croire que ce qui a toujours été, finit par il ne l’est plus.
Chaque jour, il faut résister au mal et continuer à faire le bien.
Contente-toi de peu et tu seras, toujours, heureux.
Dieu ne conçoit que de belles choses, l’Homme peut-il seulement envisager qu’Il puisse faire laid ?
Etre se cache, souvent, derrière Paraître, pour certains hommes.
Faire le bien pour le terminer par le mal ou faire le mal pour le terminer par le bien, votre choix ?
Faire le mal consciemment est l’apanage de l’Homme, il est sanctionné dans cette Vie et dans l’Au-Delà.
Haïr, c’est vouloir du mal, n’est-ce-pas ?
Heureux dans la vie, celui qui a, toujours, su rester en paix avec sa conscience.
Il faut donner raison à la raison.
Il faut faire du chemin pour prétendre le rebrousser.
Il faut respecter son semblable pour qu’il vous respecte.
Il faut savoir quitter la piste lorsque les jambes ne supportent plus.
Il faut savoir se retirer lorsque la présence devient pesante.
Il faut savoir se taire lorsque la Vérité le demande.
Il faut se méfier de l’eau qui dort, c’est de là que peut jaillir la mort.
Il n’y pas plus mauvais élève que celui qui ne retient rien des leçons de la Vie.
Il n’y a pas de fumée sans feu et de feu sans étincelle.
Il vaut mieux être riche de sa pauvreté que pauvre de sa richesse.
Il y a beaucoup dans une simple phrase.
Je n’ai et je n’aurai d’autre attitude que de me reconnaître, éternellement, créature devant mon Créateur.
Je prédis qu’on ne va jamais nous entendre ! Et moi aussi, Monsieur ; vous voyez qu’on peut, des fois, nous entendre.
Je veux bien vous faire confiance ; encore faudrait-il que j’eusse eu confiance en moi.
L’argent et la raison ne font pas, toujours, bon ménage.
L’être humain tire sa dignité et son importance au sein de la société des principes éthiques et des idéaux qu’il incarne et met en pratique dans sa vie.
L’éthique doit être une boussole intérieure qui oriente nos actions au quotidien, et non un vernis superficiel que l’on revêt pour se donner bonne conscience.
L’évaluation éthique des actions d’autrui ne peut se faire à l’aune de leurs propres critères, mais doit s’ancrer dans les principes moraux que nous avons choisis comme boussole pour notre propre conduite.
L’exagération mène, toujours, au ridicule.
L’homme n’aurait pas savouré le bien, s’il n’avait pas enduré le mal.
L’Homme se doit, quelquefois, de résoudre le dilemme éthique : Respecter ses ennemis pour leur sincérité ou bafouer ses amis pour leur hypocrisie.
L’honnêteté est la pierre angulaire d’une relation saine, le socle sur lequel se bâtit la confiance mutuelle.
L’hypocrisie et la sincérité, étranges compagnes, se côtoient souvent sans jamais vraiment se rencontrer.
L’hypocrisie s’exprime, toujours, anonymement.
L’hypocrisie se cache, souvent, derrière l’unanimité.
L’inculte croit que la culture est un culte.
L’indifférence.
La bassesse n’est pas innée, elle s’acquiert.
La beauté intérieure est à la beauté extérieure ce que l’éternité est à l’éphémère.
La connaissance n’aime pas s’arrêter : Si on n’avance pas, on recule.
La conscience est au libre arbitre de l’Homme ce que les feux tricolores sont à la circulation routière.
La force peut parfois sembler s’opposer à la justice, mais à terme, c’est toujours la justice qui triomphe.
La grandeur de l’homme s’accomplit dans sa petitesse.
La guerre est : -Décidée par ceux qui s’assurent de rester en vie pour, politiquement, dérouler une belle carrière. -Menée par ceux qui sont morts pour mériter le Paradis et les vivants qui peuvent émarger à la médaille militaire. -Subie par ceux qui endurent, civilement, la destruction, la maladie, la détresse, la misère et ceux qui reposent au cimetière.
La haine, antichambre de la trahison, révèle la noirceur de l’âme qui, consumée par son fiel, sacrifie toute loyauté sur l’autel de sa rancoeur.
La jalousie est une maladie ardante qui consume celui qui en souffre.
La médiocrité qui caractérise une personne a tendance à s’ancrer et à se renforcer avec le temps, au lieu de s’estomper
La modestie c’est endiguer tous les excès dont un homme veut se prétendre.
La morale, c’est savoir distinguer ce qui est juste de ce qui est facile.
La noblesse de l’âme doit pousser l’Homme à briller de l’intérieur et non de l’extérieur.
La plus haute forme d’intelligence humaine est la capacité de pardonner.
La pureté et l’impureté sont, toujours, ensemble, quelles que soient les proportions.
La raison voudrait que l’opprimé ne soit pas réprimé.
La sagesse c’est un esprit positif qui interagit avec le Monde.
La sagesse de l’Homme mûrit avec son âge.
La sagesse est de savoir se plier et non de tout plier devant soi.
La sincérité est à l’amitié ce que le ciment est au mortier
La sincérité est le seul véhicule de la vérité.
La valeur d’un bien se mesure aux sacrifices que l’on est prêt à faire pour le préserver.
La vérité est une, tout le reste est mensonge.
La vie, c’est, toujours, BMBM : Bon-Moins Bon-Mauvais.
Le bien et le mal, diamétralement opposés, ont une frontière pour qui le libre-arbitre doit engager la conscience humaine.
Le bien peut enfanter le mal et le mal peut enfanter le bien.
Le bonheur n’aime pas l’argent.
Le Cœur et la Raison divorcent, quelquefois, sans raison.
Le cœur s’insurge, souvent, contre la raison qui doit en référer à la conscience.
Le comble de l’ignorance est de croire faire mal aux gens alors qu’on leur fait du bien.
Le juste milieu peut exister en toute chose, sauf entre le bien et le mal.
Le libre-arbitre, de l’Homme, agit entre le bien et le mal.
Le mal a dit, ne jamais abandonner la maladie.
Le mal devance, toujours, le bien dans la surenchère.
Le mal finit, toujours, par jeter son homme à la poubelle de l’Histoire.
Le meilleur moment pour se taire, c’est lorsqu’on est en colère.
Le mensonge cherche, souvent, le voisinage de la réalité.
Le moral et la morale ne font pas, toujours, bon ménage.
Le paradis est dans nos cœurs, pas dans nos poches.
Le pouvoir et l’argent sont les deux faces d’une même pièce, le choix est entre les mains de celui qui la détient.
Le vice est une maladie chronique inguérissable.
Les gens sont ce qu’ils sont, c’est à prendre ou à laisser.
Les larmes, c’est toujours un cri du cœur qui ne peut pas sortir par la bouche.
Lorsque la facilité est primée, l’intelligence est opprimée.
Lorsque la force impose sa justice, le droit conclut l’armistice.
Lorsque le mal manque au bien, l’ange déploie ses ailes.
Lorsque le mensonge prend l’ascenseur, la vérité prend l’escalier.
Lorsque le mensonge prétend détenir la vérité, il ne fait que masquer son imposture.
Mentir, c’est se manquer de respect.
Mieux vaut endurer la vérité de l’injustice du Juste que l’hypocrisie de la justice de l’Injuste.
Mon seul bonheur, lorsque je m’adresse à moi-même, c’est que je n’ai pas besoin de jurer.
Ne peuvent être amis, ceux qui ne s’aiment qu’avec hypocrisie.
Nul n’est plus dupe que celui qui se complait à se tromper lui-même.
On ne donne que de ce qu’on a de meilleur.
Ô nobles bêtes aux fronts couronnés, vos royales ramures ne sont que de vains atours face aux crocs acérés de vos implacables poursuivants.
Parce que polluants, les ragots et les mégots ne doivent se retrouver qu’à la décharge.
Paraître est l’habit du traître.
Parmi les humains, certains excellent dans le bien et d’autres dans le mal. L’Histoire ne vénère, cependant, que les bienfaisants.
Parmi les quatre vérités, il y a trois mensonges.
Perdre un vrai ami est une déchirure, perdre un faux ami est un soulagement.
Pleurer: Des fois on ne sait même pas pourquoi.
Pour certaines personnes, lorsque la morale est piétinée, le moral est à son comble.
Pour déjouer la morale, le moral s’accommode de l’oral, sans choral.
Pour larguer la prise, il faut prendre le large.
Prodiguer la morale à autrui, encore faudrait-il jouir de la meilleure exemplarité.
Quel bonheur d’écouter la tristesse chanter !
Que le verre soit à moitié vide ou à moitié plein, c’est le cadet de mes soucis si je ne peux même pas voir ce qu’il y a dedans !
Qui sème la politesse, récolte la considération.
Qui veut grimper un arbre, commence par l’enlacer.
Quiconque s’évertue à donner des leçons à autrui doit commencer par se les appliquer.
Rendre hommage à son Créateur.
Rien ne sert de courir si on ne sait pas où aller.
S’il vous plaît, l’Eternité c’est par où ? C’est au prochain arrêt du cœur !
Se retenir, c’est une forme d’intelligence.
Semez l’amour pour vos parents et récoltez-le de vos enfants.
Seul le miroir semble dire la vérité sans qu’il ne soit astreint à jurer.
Si des fois il faut parler pour ne rien dire, il faut souvent se taire pour tout dire.
Si je suis entré dans cette Vie sans ma volonté, c’est qu’il y a une Autre qui en a décidé.
Si la honte ne vous hante pas, faites ce que bon vous semble.
Si la peur et le courage ont leur paroxysme, chez l’Homme c’est la mort.
Si les vices devaient être classés, qui devancerait l’hypocrisie ?
Si on devait définir une affection par une intensité, qui pourrait égaler la compassion, la tendresse et le sacrifice d’une mère envers ses petits ?
Si on n’a plus de quoi rêver, c’est que la Vie nous a tourné le dos.
Si tu veux marcher droit, évite de zigzaguer comme un homme politique en campagne !
Tel un fleuve, lorsque le peuple quitte son lit, il emporte tout sur son passage.
Tel un serpent perfide, le mensonge s’insinue dans les esprits, distillant son venin de discorde et de confusion.
Toute brûlure peut venir du chaud, comme elle peut, aussi, venir du froid.
Toute la Création est, divinement, belle. Mais la beauté se relativise par l’évaluation de l’Homme dont les capacités sont, intrinsèquement, limitées.
Toute défaite prépare la victoire.
Tout est relatif dans ce monde créé par l’Absolu.
Tout le monde habite l’immeuble de l’intelligence, mais à des étages différents.
Tout mal finit par être dévoilé, car le vice porte en lui les germes de sa propre destruction.
Trahir quelqu’un commence par se trahir soi-même.
Un mensonge, maintes fois colporté, finit par faire croire sa vérité à son propre auteur.
Une faute est commise pour être endossée.
Vérité dans l’action, mensonge dans l’intention.
Vous tendez la main à deux personnes : la vraie vous tend la sienne, la fausse vous mord les doigts.

 

La nature et l’environnement (51 citations) :

A défaut de s’y jeter à l’eau, il faut savoir apprécier le bord de mer.
A l’image de la chenille, pour aller plus vite il faut doubler le pas.
Avant de boire, il faut, toujours, s’assurer de la potabilité de l’eau.
Avant de plonger, il faut, toujours, s’assurer de sa profondeur.
Avec le soleil, l’oiseau tient à se coucher triste et se lever gai.
Bien loin la douceur du son du mur que la déflagration du mur du son.
Chaque jour, le soleil, artiste éternel, peint le ciel en mille couleurs, du rouge flamboyant au bleu enchanteur et transforme les paysages en œuvres d’art, donnant à chaque instant une histoire.
Cueillir quelques fruits sur un arbre renvoie au labeur de quelques mois.
Dame Nature a la chance de revivre son printemps. Quant au mien, il fut un temps.
Dans ce désert éternel où règne la désespérance, les grains de sable éphémères crient leur triste existence.
Dans la nature humaine, les aspects positifs et négatifs, loin de s’opposer irréductiblement, coexistent et s’entremêlent en une danse complexe et paradoxale.
Dans la nuit, tout silence est un bruit.
De nos jours, les applaudissements ne font pas la différence entre les vrais amis et le reste de l’auditoire.
De tout temps, les nuages ont dessiné des formes uniques sans qu’aucune ne ressemble à l’autre.
Descendre les pentes, tel est le pouvoir de l’eau.
Face à la Beauté divine de la Nature, l’Homme oscille entre participation active et contemplation passive, entre immersion créatrice et distanciation esthétique.
Il faut se lever pour avancer.
L’arbre ne bouge que sous l’effet du vent.
L’arbre, ancrage tellurique et élévation vers la lumière, est le symbole vivant des cycles de la Nature.
L’été, saison des épanouissements, où le soleil règne en maître, invitant les corps et les âmes à se gorger de lumière.
L’hiver, saison des intériorités, où le monde se recueille sous un manteau de silence et de glace, propice aux rêveries solitaires.
L’Homme doit, toujours, faire face à deux adversaires de taille : le Temps et son semblable.
L’Homme ne peut être qu’utile dans un champ fertile.
L’Homme perçoit la beauté de la Nature par la recherche et la projection des lignes médianes et des symétries résultantes de tout ce qu’il observe.
L’oiseau vole pour jouir de sa liberté et l’homme vole pour s’en faire priver.
L’orage se fâche et gronde en déversant ses averses pour faire sortir la rivière de son lit.
L’univers est régi par la loi immuable du cycle de la vie, où la naissance et la mort se succèdent inéluctablement, et seul un renversement de cet ordre pourrait signifier la fin de ce cycle éternel.
La beauté de l’univers est construite sur la symétrie.
La Création, c’est du perceptible et de l’imperceptible aussi.
La mer, sans la mère, n’est qu’amère.
La Nature ? C’est, naturellement, beau !
La Nature est si belle parce que il n’y a pas de parce que.
La Nature est si belle qu’elle m’ensorcelle.
La Nature fait bien les choses : L’Est et l’Ouest se sont, toujours, diamétralement opposés.
La Nature, dans sa puissance d’évocation et de fascination, s’impose comme le miroir sublime de l’âme humaine, réveillant en elle le sentiment d’une secrète correspondance avec l’infini.
La nature est un livre vivant dont chaque page est un poème, chaque paysage une ode, et chaque créature un mot d’amour du Grand Auteur de l’univers.
La perfection étant du domaine divin, toute créature imparfaite est parfaite.
La rivière qui se perd finit, toujours, par retrouver son cours.
La solitude et la tristesse engendrent, souvent, l’inspiration.
La Terre n’aime pas qu’on s’éloigne, à contre-sens, de sa pesanteur.
La Terre ne se fait pas de soucis : vous pouvez monter ou descendre, vous reviendrez, toujours, à sa surface.
Le bleu ciel n’est pas toujours l’apanage du ciel.
Le désert, un poème où le silence s’exprime, l’éternité se rencontre avec le présent et la vie se cache sous les dunes.
Le printemps est la promesse tenue de la nature, qui revêt ses plus belles couleurs pour célébrer le renouveau de la vie.
Le printemps, saison des renaissances, où la vie explose en myriades de couleurs et de parfums, ivre de sa propre exubérance.
Le soleil est le peintre de nos jours, colorant nos vies de mille nuances avec ses pinceaux de lumière.
Lorsque le Soleil chasse la nuit, la Terre reprend vie.
Manteau blanc d’hiver couve tapis du printemps vert.
Merci ma Terre de me faire tourner avec Toi et ne pas m’abandonner à l’apesanteur !
Nous tremblons tous les deux ma Terre, toi de colère et moi de peur.
Ô Sahara, océan de dunes et de mystères, tes étendues infinies bercent le voyageur d’une douce torpeur, l’invitant au recueillement et à l’écoute des murmures de l’âme.
Quels beaux spectacles, sans pareils, lorsque Dame Nature et le Soleil s’endorment et s’éveillent !
Seul l’arbre qui a subi les assauts du vent est vraiment vigoureux, car c’est dans cette lutte qu’il a renforcé ses racines.
Tout compte fait, que suis-je venu faire dans cette vie ?
Tout succès attend un échec !
Tout échec porte en lui un succès : c’est d’avoir essayé !

 

Autres citations (45 citations) :

Accélérer le rythme, fait perdre le pas.
Arrêter la musique, je continue à danser au rythme de mon extase.
Au bout de mon âge Qu’aurais-je trouvé ? Une âme en attente de voyage Et un corps éprouvé
Au secours, Monsieur! je me noie … — Attendez que je vous prenne en photo !
Au secours, ils ont introduit un recours auprès de la Haute Cour. Il faut que je cours vers la cour, en passant par la basse-cour, pour prendre mes cours et changer mon pull trop court en espérant gagner le concours et faire mon discours devant la Haute-Cour.
Aussi haut qu’on se voit, on ne dépasse jamais sa taille.
Bien loin la douceur du son du mur que la déflagration du mur du son.
Bouger attire le danger !
Cours et jette ta courgette, on te guette !
Derrière ses yeux emplis de tristesse, Se cache un feu ardent, une flamme qui brûle, Défiant le temps et sans prouesses, Le pauvre tient à combattre la vie qui l’accule,
Désolé maître de m’être emporté car il fallait mettre le mètre ruban dans son boitier.
Dois-je continuer mon sommeil. Epuisé par les soucis de la vie. Et puis, n’ai-je donc pas envie. Alors que ma vieillesse y veille ?
En pleine détresse, on trouve refuge dans les souvenirs d’un temps meilleur.
Entre l’infiniment petit et l’infiniment grand, se trouve notre Univers.
Il n’y a pas de richesse dans l’argent, Mais dans la force de l’âme et de la volonté, En se découvrant lui-même et son environnement, Le pauvre mérite d’être aimé et respecté.
Il tremble de froid dans le vent glacial, Frôlant la mort qui le hante chaque jour, Il mendie aux passants sans signe vital, Le pauvre, ignoré de tous, sans amour.
J’ai faim, je vais mourir ! -Patiente, tu vas aller au paradis !
J’aime bien être que paraître.
L’Au-delà ? On y va à la vitesse de la lumière, il suffit que le cœur s’arrête.
L’au-delà ? On y va tous sans que personne ne connaisse son verdict.
L’ennui, cette maladie de l’âme, naît de l’uniformité et se nourrit de la routine. Il ne cède qu’à la variété des impressions et à l’intensité des émotions.
L’espace et le temps n’ont pas eu raison, *D’une nostalgie patente, difficile à calmer, *De mes amis d’enfance et des belles saisons, *De cette adolescence que j’ai quittée à jamais.
L’invendu s’apprécie, contradictoirement, par les uns et par les autres.
La couleur vair d’un ver dans un verre ne peut virer vers le vert.
La danse ne peut s’exprimer qu’au rythme de la musique.
La guerre, on n’aime guère !
La pomme d’Adam, visible chez les hommes, invisible chez les femmes, discrimination, dites-vous ?
Le roi Charles n’est pas de Charleroi.
Le vol du mobile est le mobile du vol, la victime confuse et immobile.
Les mathématiques sont à la science ce que l’acier est au béton.
Les mathématiques, c’est la philosophie des chiffres.
Mes rêves et mes cauchemars, je n’y suis pour rien.
Monsieur du Corbeau voudrait bien changer de manteau.
Monsieur le Loup, quel est votre pseudo sur les réseaux sociaux ? — Agneau.
Nous poussons le boutoir avec un bouton poussoir
Ohé ! Ohé ! Le bonheur est en vente. Faites vos chaînes, payez le prix et sachez qu’il est périssable.
Pousser la porte avec le pied, c’est que les mains sont occupées.
Pousser ou tirer une charge, le choix est à vous !
Que le verre soit à moitié vide ou à moitié plein, c’est le cadet de mes soucis si je ne peux même pas voir ce qu’il y a dedans !
Rien qu’à l’idée d’élever la poule de chair me donne la chair de poule.
Si je dois compter les étoiles, où dois-je m’arrêter ?
Sur le long chemin de la vie, mon destin se promène.
Tout ce qui sent bon présage un bon goût, question de bon sens, non ?
Une ombre peut en cacher plusieurs autres.
venare, lavari, ludere, ridere.- chasser, se baigner, jouer, rire.
Vivement la pluie !