1. Chaque seconde de notre vie est un trésor irremplaçable, un cadeau du temps qui ne demande qu’à être déballé avec conscience, savouré avec intensité, et rempli de sens et d’amour.
2. Le secret du bonheur n’est pas dans la poursuite effrénée de ce que nous n’avons pas, mais dans la reconnaissance émerveillée de tout ce que la vie nous offre déjà à chaque instant.
3. La véritable sagesse n’est pas dans l’accumulation des connaissances, mais dans l’art de se connaître soi-même, d’embrasser ses ombres et ses lumières, et de cultiver chaque jour un peu plus de paix intérieure.
4. Chaque défi sur notre route est une invitation à grandir, chaque échec une leçon pour mieux rebondir, et chaque réussite un tremplin vers de nouveaux horizons.
5. Aimer, c’est choisir chaque jour de cultiver le meilleur en l’autre, de s’émerveiller de sa beauté unique, et de faire de sa joie notre plus grande aventure.
6. L’amour véritable est un dialogue constant entre deux cœurs, où chaque mot est un geste de tendresse, chaque silence une preuve de confiance, et chaque regard une promesse d’éternité.
7. La nature est un livre vivant dont chaque page est un poème, chaque paysage une ode, et chaque créature un mot d’amour du Grand Auteur de l’univers.
8. Chaque matin est une toile vierge que nous avons le privilège de peindre aux couleurs de nos rêves, de notre gratitude et de notre enthousiasme.
9. Le bonheur est une graine qui, lorsqu’on la cultive avec amour et patience, fleurit en un jardin intérieur qui embaume chaque instant de vie.
10.  L’intelligence humaine, dans sa plus haute expression, doit transcender le simple intérêt de l’Homme pour embrasser une vision plus large, une responsabilité universelle envers tout ce qui constitue son monde.
11.  Ni tout à l’un, ni tout à tous, le juste chemin est entre les deux.
12.  L’homme, en tant qu’être de culture, a le devoir moral de cultiver et de sauvegarder la pudeur, ce trait distinctif qui le sépare de la pure nature instinctive de l’animal.
13.  C’est seulement lorsque les vagues de la vie le submergent que l’homme aspire au répit des eaux calmes et apaisées.
14.  L’essence même du temps réside dans son extension, dans le fait qu’il s’écoule et persiste, car un temps sans durée serait un temps inexistant.
15.  Les limites cognitives de l’espèce humaine l’empêchent de saisir pleinement la nature de la vie, mais tous les objets et phénomènes de l’univers, en tant que produits de l’évolution cosmique, présentent des propriétés émergentes assimilables à une forme de vie.
16.  Le zéro, dans sa présence même, révèle et circonscrit l’absence, donnant ainsi une forme tangible au néant.
17.  Dans l’univers des nombres, l’unité est la source de tous les autres entiers, qui en sont les multiples, mais aucune combinaison de ces multiples ne peut recréer l’unité, qui leur est ontologiquement antérieure.
18.  Qui ne sait marcher dans les pas des autres ne peut prétendre les guider sur le chemin.
19.  Qui sème la terreur récolte la révolte
20.  Dans une société démocratique, la liberté d’expression de chaque citoyen doit être protégée, mais elle ne saurait justifier des discours qui visent à réduire au silence ou à opprimer la liberté d’expression des autres.
21. Nul ne peut échapper à son propre reflet, tantôt flatteur, tantôt moqueur.
22.  Toute appréciation porte en elle-même le miroir de son contraire, qui lui renvoie tantôt l’image flatteuse de sa propre excellence, tantôt le reflet dépréciatif de ses limites et de ses manques.
23. Mieux vaut avoir une vue partielle mais sûre, qu’une perspective étendue mais dangereuse ; l’arbre qui obstrue notre champ de vision est préférable à la forêt qui dissimule les périls.
24. La quête de la vérité et de la justesse exige de ne céder ni aux sirènes de la facilité, ni aux mirages de l’extrémisme, mais de maintenir résolument le cap de l’équilibre et de la droiture.
25. Si tu veux marcher droit, évite de zigzaguer comme un homme politique en campagne !
26. Dans une société qui a tendance à idolâtrer ses figures publiques, il est crucial de faire la part entre les véritables héros, dignes de l’admiration, et ceux qui usurpent ce statut sans en avoir l’étoffe, et qui ne sont en réalité que des individus médiocres et indignes de respect.
27. Si les mères tenaient les rênes du monde, Leur amour, comme une vague profonde, Submergerait les velléités guerrières, Et ferait taire les armes meurtrières.
28. Fauve jadis redouté, De proies il s’est repu, Mais le voilà dévoré, Sous nos yeux éperdus. Devant ce triste sort, Qui ne serait ému ?
29. L’intelligence de Dieu illumine l’Homme, l’intelligence de l’Homme peut le consumer.
30. Jusqu’à l’adolescence, l’enfant marche avec ses propres jambes, mais avec les pieds de ses parents.
31. Il n’est pas de tunnel si long qu’il n’ait son issue.
32. C’est dans le prisme déformant de la contradiction que se révèlent les vrais visages de l’ami et de l’ennemi : l’un, miroir fidèle de nos actes, l’autre, miroir inversé de nos intentions.
33. Ô Homme, éternel serviteur du Temps, regarde comme ton corps se plie à la magie des jours, se transformant en un nouveau toi-même à chaque instant, sans que tu ne perçoives le sortilège.
34. Ô nobles bêtes aux fronts couronnés, vos royales ramures ne sont que de vains atours face aux crocs acérés de vos implacables poursuivants.
35.  Le leadership véritable, art de la clairvoyance empathique, exige du dirigeant qu’il explore les consciences, qu’il ressente les destinées entremêlées, pour insuffler à ses actes la sagesse du bien commun.
36.  La Nature, dans sa puissance d’évocation et de fascination, s’impose comme le miroir sublime de l’âme humaine, réveillant en elle le sentiment d’une secrète correspondance avec l’infini.
37.  L’été, saison des épanouissements, où le soleil règne en maître, invitant les corps et les âmes à se gorger de lumière.
38.  Le printemps, saison des renaissances, où la vie explose en myriades de couleurs et de parfums, ivre de sa propre exubérance.
39.  L’automne, saison des nostalgies, où la nature se pare d’or et de pourpre pour mieux nous enivrer de sa mélancolie crépusculaire.
40.  L’hiver, saison des intériorités, où le monde se recueille sous un manteau de silence et de glace, propice aux rêveries solitaires.
41.  Qu’attendez-vous d’une âme humaine, sinon une lutte incessante entre ses penchants bénéfiques et maléfiques, avec pour seul arbitre la force de sa volonté ?
42. L’Intelligence Artificielle est une création algorithmique complexe qui simule certaines capacités cognitives humaines mais est dépourvue de conscience, de sensibilité, d’intentionnalité et d’une réelle compréhension du monde et d’elle-même.
43. Les réseaux sociaux, révolution ambivalente de notre temps, élargissent nos horizons autant qu’ils nous enferment dans nos bulles, nous relient autant qu’ils nous isolent et libèrent nos paroles autant qu’ils les uniformisent.
44. Chaque aube porte en elle la promesse d’un jour nouveau, riche de découvertes, de joies et de dépassements.
45. Le bonheur est une grâce fugitive qui se révèle à celui qui cultive la paix intérieure et embrasse la beauté de l’instant présent avec un cœur ouvert et reconnaissant.
46. Le racisme est une insulte à la dignité et à la diversité humaines proférée par des esprits étroits qui ignorent la réalité profonde de ceux qu’ils discriminent.
47. Mai, doux mois des fleurs, où la nature s’éveille et enchante nos cœurs de ses parfums printaniers et ses couleurs.
48. Le véritable miroir de l’âme humaine est l’examen de conscience sincère et régulier, seul capable de révéler à l’homme sa valeur profonde et son potentiel de perfectionnement.
49. Ne te fie pas à tes sens pour discerner le vrai du faux, car ils ne sont que les messagers imparfaits d’une réalité qui les dépasse.
50. Face au fauve dévorant sa proie sans défense, l’homme, partagé entre compassion et amertume, contemple cette violence primordiale qui dit la dure loi de la vie : tuer pour survivre.
51. Tel le marteau qui enfonce le clou, la volonté forge le destin en donnant forme aux rêves les plus hardis.
52. La vie est une goutte de temps dans l’océan infini de l’éternité.
53. Dans un monde où les valeurs se perdent, l’honneur, autrefois boussole morale, peine à guider l’Homme égaré.
54. La vie de l’homme est un cheminement linéaire fini au sein des cycles récurrents infinis de l’univers.
55. La vie est un pari permanent d’aujourd’hui sur demain.
56. Beaucoup de gens s’efforcent d’accéder à la grandeur, mais rares sont ceux qui parviennent à la préserver.
57. Sous la terre froide gît l’unique fraternité, celle de ceux qui ont fui les affrontements de ce monde.
58. Philosopher, c’est trouver un havre de paix où se mettre à l’abri des radeaux d’imbécillités charriés par les flots tumultueux de ce monde.
59. L’Histoire se complaît à me faire revivre ma tristesse.
60. De la solitude naît, fréquemment, la nostalgie, cette fille des souvenirs qui nimbe le présent de ses brumes rêveuses.
61. Le regret est, souvent, l’enfant d’une décision hâtive.
62. Pauvre enfant dont la mère fut une ombre furtive, effleurée à peine avant que la vie ne l’arrache à ses bras, laissant une plaie béante que ni les années ni les sourires n’ont jamais pu panser.
63. Chaque citation raconte une histoire et chaque histoire a le pouvoir de changer une vie.
64. La seule réalité que posséde, vraiment, l’homme est celle de l’instant vécu. C’est dans sa capacité à l’habiter pleinement que réside, peut-être, le secret d’une existence authentique et sereine.
65. Emporté et à demi-endormi J’entends, au loin, le cri du fennec Mêlé au sirocco qui le tient en échec Pour me réveiller, soudain, par une fourmi.
66. L’arbre, ancrage tellurique et élévation vers la lumière, est le symbole vivant des cycles de la Nature.
67. Qu’importe le vent, je saurai orienter mes voiles.
68. La vie, exprimée à travers le corps et l’âme, nous enseigne ce qu’est le corps sans l’âme mais ignore l’âme sans le corps.
69. J’ai, tellement, hâte de connaître la fin que je n’ose pas commencer.
70. Des fois, pour atteindre le bien, il faut passer par le mal.
71. La beauté de l’univers est construite sur la symétrie.
72. La raison se réfère, souvent, à la culture, sa première jurisprudence.
73. La paix, par l’épée, n’est jamais durable.
74. Que vous le dites ou pas, que je le dise ou pas ; vous êtes ce que vous êtes et je suis ce que je suis, Dieu merci.
75. La vie de l’homme commence par une inspiration et finit par une expiration, le souffle assurant la transition temporelle.
76. Ils se suivent, toujours, comme inspirer et expirer.
77. Fâché contre la conscience, l’inconscient s’est juré de ne jamais la rencontrer.
78. L’intelligence humaine est à l’intelligence artificielle ce que le carburant est au moteur.
79. Après la gloire viendra, inéluctablement, le déclin. Mieux vaut être en déclin et voir la gloire se profiler à l’horizon.
80. Pour certains humains, leur conscience s’est accaparée du mal, laissant le bien à leur inconscient.
81. Chers tous, faites ce que je vous dis et je fais ce que je ne vous dis pas.
82. L’arithmétique, avec ses quatre opérations, fait le bonheur et le malheur du Monde.
83. Cher Humain, sache que ta vie est éphémère et qu’il est peu probable qu’elle dépasse les trente mille jours.
84. En temps de guerre, le mensonge prolifère.
85. Pour plaire à l’ennemi, il faut payer le prix.
86. Avant Satan, le mal n’existait pas.
87. C’est sur un lit d’hôpital que la mort tend la main à l’âme humaine.
88. L’Homme naît pour aimer sa Terre.
89. La Vie est un rêve dans le Sommeil Eternel.
90. L’Homme s’accroche, durablement, à la Vie jusqu’au jour où il cède devant la menace de la mort
91. La patience, c’est la conscience qui temporise.
92. Accomplir sa mission, au terme d’un parcours sinueux, procure un sentiment de plénitude, de sérénité et d’accomplissement personnel que seul connaît celui qui est allé jusqu’au bout de son rêve.
93. La vie est un chemin parsemé d’embûches mais jalonné de bonheurs fugaces.
94. Le bonheur aime se poser, doucement, sur les épaules de ceux qui savent l’apprivoiser avec patience et bienveillance.
95. Le savoir de l’humanité n’est qu’une infime partie du Savoir absolu de Dieu
96. La lune, confidente nocturne, nous observe avec bienveillance, diffusant une douce clarté qui apaise les âmes solitaires en quête de rêverie.
97. Tel un rayon de soleil qui filtre à travers les nuages sombres de nos pensées, la citation illumine le chemin vers le bonheur qu’on oublie, parfois, d’emprunter
98. Libre et insaisissable, la pensée parcourt l’immensité de l’imagination pour combler l’âme, assoiffée de connaissance.
99. Le printemps est la promesse tenue de la nature, qui revêt ses plus belles couleurs pour célébrer le renouveau de la vie.
100. Ô Sahara, océan de dunes et de mystères, tes étendues infinies bercent le voyageur d’une douce torpeur, l’invitant au recueillement et à l’écoute des murmures de l’âme.
101. Le soleil est le peintre de nos jours, colorant nos vies de mille nuances avec ses pinceaux de lumière.
102. L’homme quitte, vraiment, sa jeunesse quand la flamme de l’enthousiasme ne brûle plus en lui.
103. La misère, la vraie, est dans une âme sans rêves.
104. L’Intelligence artificielle (IA) est un atout précieux dans l’arsenal technologique de l’humanité, capable d’être utilisée pour le progrès ou la destruction.
105. S’ils ne sont pas manipulés, les peuples ont, toujours, été justes.
106. Dans un océan de tristesse et de chagrin, une blessure profonde et une douleur vive, seul celui qui a perdu sa mère peut ressentir son absence.
107. La grandeur n’est qu’une question de temps : ce qui est grand a d’abord été petit, et le redeviendra un jour.
108. Dans la vie, la mère, éternelle compagne, résiste, avec entrain, au temps qui fuit et laisse son empreinte indélébile d’un amour inébranlable pour son enfant.
109. Le devoir universel de l’homme est d’aimer et de respecter toutes formes de vie.
110. La magie de l’instant est que j’en suis conscient.
111. La jalousie est une maladie ardante qui consume celui qui en souffre.
112. Pour voir la vie en rose, il faut trouver la rose de sa vie.
113. La vieillesse prolonge la vie, il faut l’assumer avec force et résilience.
114. La politique et l’argent roulent avec le même carburant, l’intérêt.
115. La plus grande des faveurs que Dieu accorde à l’homme est de croire en Lui.
116. Il me sied que ma particularité est de ne pas en avoir une.
117. Dans la vie, le bonheur se construit, toujours, entre deux instants.
118. La vie est faite de hauts et de bas et le bonheur ne peut exister sans une certaine résilience face aux défis et aux obstacles.
119. L’homme doit, constamment, créer, se surpasser et s’élever pour exprimer sa fierté.
120. C’est dans l’action consciente et délibérée que se trouve l’expression, la plus aboutie, de notre existence.
121. Le bédouin, mystérieux, insaisissable, imprégné de tradition et d’honneur, grand et fier au visage patiné, est né pour la liberté que seul le désert peut apporter.
122. Le désert, un poème où le silence s’exprime, l’éternité se rencontre avec le présent et la vie se cache sous les dunes.
123. Exposé au soleil, le désert, sans fin, immobilise le temps et fait danser la chaleur sur le sable brûlant.
124. Tout ce qui avance peut reculer, sauf le Temps.
125. Si l’Homme n’a pas le défaut de son semblable, c’est, déjà, une qualité.
126. Dans la vie, rien ne débute et qui ne soit achevé.
127. La raison ne peut jamais, totalement, éradiquer ou maîtriser l’irrationnel. Elle doit composer avec lui dans un jeu de miroir sans fin, où chaque avancée de l’une est aussi une confirmation de l’autre.
128. Il tremble de froid dans le vent glacial, Frôlant la mort qui le hante chaque jour, Il mendie aux passants sans signe vital, Le pauvre, ignoré de tous, sans amour.
129. En pleine détresse, on trouve refuge dans les souvenirs d’un temps meilleur.
130. Lorsque la débilité se préfère à l’intelligence, la décadence se profile à l’horizon.
131. A l’extrême, la Vie nous offre ses trois misères : •Le manque de moyens de subsistance. •Le manque d’espace. •Et le manque de temps.
132. L’idée peut se faire taire mais pas écraser.
133. La Vie, c’est chacun son tour.
134. Semez le bonheur chez l’autre et récoltez-le chez vous.
135. Massacrer ses semblables ne peut être l’œuvre, sensée, d’un être humain ; si ce n’est démentielle ou démoniaque.
136. A choisir entre le printemps et l’automne mon choix, autonome, est l’automne monotone.
137. « La guerre est un théâtre tragique où :1/ Les puissants orchestrent le conflit, rarement exposés à ses horreurs, motivés par l’ambition politique et les intérêts économiques.2/ Les combattants, hommes et femmes, risquent leur vie, certains par idéal, d’autres par devoir ou nécessité, et tous en ressortent marqués à jamais.3/ Les civils, véritables victimes, endurent destruction, famine, et traumatismes, payant le prix le plus lourd d’une violence qu’ils n’ont pas choisie.Chaque vie perdue est un échec de notre humanité. Notre devoir est de chercher inlassablement des voies de paix et de compréhension mutuelle.
138. Le Titanic, majestueux navire, de sa grandeur si fier, A fini au fond de l’océan, dévoré par les flots délétères. Souviens-toi, rien n’est grand dans ce monde, Les titans sont les proches de Satan et leur destin funeste les inonde.
139. L’avenir de l’Homme est tracé dès sa naissance et rien ne peut aller à son encontre.
140. Le Temps fait et défait l’habitude.
141. Ce n’est pas le fou le plus à redouter, c’est l’homme sensé qui tend à le devenir.
142. La vérité unit les peuples, le mensonge les divise.
143. A un ami ivre, on retire les clés de la voiture.
144. Dans ce monde matérialiste où tout s’achète, la valeur d’un être est, souvent, mesurée par sa réussite, son argent ou sa silhouette, alors qu’au final, seul le cœur mérite qu’on s’y arrête.
145. Parmi les humains, certains excellent dans le bien et d’autres dans le mal. L’Histoire ne vénère, cependant, que les bienfaisants.
146. Vivre, c’est la magie de l’instant.
147. Chaque homme possède, en lui, la clé qui ouvre la porte du bonheur.
148. Miroir de l’expérience vécue, la vieillesse contemple, avec sagesse, le monde qui l’entoure pour reconnaître la fragilité de chaque instant et voir la beauté là où d’autres la négligent.
149. À défaut de santé, source de vitalité, d’énergie et de félicité, l’existence est bien fade, les plaisirs s’estompent et la joie se barricade.
150. L’artificiel ne peut, jamais, être intelligent.
151. Le bonheur naît dans le cœur, pas dans la poche.
152. Chaque jour, le soleil, artiste éternel, peint le ciel en mille couleurs, du rouge flamboyant au bleu enchanteur et transforme les paysages en œuvres d’art, donnant à chaque instant une histoire.
153. Au-delà des épreuves, il y a toujours un espoir qui s’endort dans les souvenirs passés et les rêves à venir.
154. L’argent ne fait pas le bonheur, mais peut contribuer à construire un monde meilleur.
155. A l’endormissement, l’âme aime se remémorer toutes les bonnes actions qu’elle a entreprises.
156. Il n’y a pas de richesse dans l’argent, Mais dans la force de l’âme et de la volonté, En se découvrant lui-même et son environnement, Le pauvre mérite d’être aimé et respecté.
157. Derrière ses yeux emplis de tristesse, Se cache un feu ardent, une flamme qui brûle, Défiant le temps et sans prouesses, Le pauvre tient à combattre la vie qui l’accule,
158. En pleine solitude, il trouve refuge Dans les souvenirs d’un temps meilleur Quand l’espoir était présent sans subterfuge, Le pauvre se réveille pour crier son malheur.
159. De nos jours, qui, mieux qu’une relation inversement proportionnelle, pourrait lier l’intelligence à la puissance ?
160. Merci mon entourage, ton silence m’encourage !
161. Ses vêtements usés racontent sa détresse, Sous les lourds nuages, il erre sans but, Son regard perdu, sans aucune liesse, Le pauvre, abandonné, continue sa lutte.
162. Dans les rues sombres d’une ville oubliée, Vit un homme au destin malheureux, Une âme triste que la vie a rejetée, Le pauvre, esseulé, au cœur douloureux.
163. La quête du savoir ne doit pas être celle de l’avoir.
164. Bon Dieu, protège-nous de devenir des auteurs de tort envers nos semblables.
165. Dans la vie, faire le mal, c’est inscrire une dette envers l’avenir.
166. L’humanisme ne fait pas de différence entre les humains.
167. Il ne faut, jamais, défier le Temps car il finit, toujours, par prendre sa revanche.
168. Le bien, seule la morale peut en donner les moyens.
169. Dans ce monde en perte de valeurs, la morale crie son malheur.
170. Ce n’est pas facile de guérir du mal dont on ne parle pas.
171. Si on ne peut douter de la séparation du langage et de la pensée, on se résigne à admettre que notre perception du monde est incomplète, le langage étant œuvre humaine.
172. L’Homme ne peut observer l’Univers que de l’intérieur, lui-même en faisant partie. L’extérieur ne lui est pas accessible.
173. La sincérité se découvre dans les actes, au-delà des mots prononcés, des masques et des rôles joués.
174. Dans les tréfonds obscurs d’une âme maléfique, se cache, toujours, un démon vengeur qui se délecte de la souffrance des humains.
175. Nul n’est plus stupide que celui qui ne retient rien des leçons de l’histoire et de la vie.
176. Peut-on rêver d’une politique transparente, où la vérité et la justice sont apparentes, l’intérêt général prime sur les égos et les promesses ne sont pas que des mots.
177. Terre de sable et de pierre, étendue aride, brûlante et lumineuse, le désert offre un paysage unique et envoûtant avec ses dunes majestueuses, sculptées par le vent.
178. La politique est un jeu de pouvoir, où les passions se mêlent à l’argent, les idéaux deviennent illusoires et le bien commun se perd au vent.
179. Intelligence sans conscience et l’inconnu s’annonce.
180. Les connaissances, sans éthique, dissimulent leur vraie nature, aveuglées par la quête de pouvoir et de stature.
181. Dans ce monde complexe et vaste, l’Homme se retrouve seul, perdu dans ses pensées, errant à la recherche de son destin.
182. Le désert, mer de sable infinie, havre de tranquillité majestueux et mystique, ne cesse d’appeler à se perdre en soi, dans cette immensité épique.
183. Le soleil, astre divin, se lève, chaque matin, pour apporter chaleur et joie à notre destin.
184. C’est dans l’écoulement incessant du temps que se trouve la beauté de l’instant.
185. Laissez le moral s’épanouir, Dans les histoires qu’il aime construire, Car face à la morale qui veut le soumettre, Il élève ses paroles pour mieux renaître.
186. Pour déjouer la morale, le moral s’accommode de l’oral, sans choral.
187. Créer ou résoudre des problèmes, telle est la vocation du Temps.
188. La sagesse est un savoir profond qui fait renaître quand il ne reste plus rien à espérer et qu’il faut accepter la vie telle qu’elle est.
189. Pour voir la vie en rose, en merveille, Il faut trouver cette rose qui émerveille. Celle qui chasse nos peines, nos batailles Et nous transporte dans un monde sans pareil.
190. Dans un monde parfois morose où la tristesse impose sa prose, il faut chercher, sans nulle pause, la rose qui enivre et qui transpose.
191. Quand la vie n’a plus de secrets à donner, la sagesse se révèle, éclairée.
192. La clé du bonheur de l’Homme réside dans la recherche constante d’un équilibre entre sa paix intérieure et les autres aspects qui nourrissent sa joie de vivre.
193. Le destin de l’Homme réside dans sa liberté.
194. Le monde qui m’entoure n’est plus le même, je ne peux le cautionner, il me fait peine.
195. Toute la Création est, divinement, belle. Mais la beauté se relativise par l’évaluation de l’Homme dont les capacités sont, intrinsèquement, limitées.
196. Mon lycée, sache que l’espace et le temps n’ont pas eu raison d’une nostalgie patente difficile à calmer, de mes amis d’enfance et des belles saisons et que je t’aimais pour te quitter à jamais.
197. Mon lycée, ce temple de connaissance où des générations d’élèves ont forgé leurs armes pour affronter la vie, pour un futur meilleur, pour affiner leurs rêves et envisager une carrière dont ils avaient envie.
198. Cher décembre, nous te saluons avec gratitude, pour tes moments précieux et ta quiétude. Que ton héritage de paix et d’amour perdure et que chaque année nouvelle nous enchante et nous rassure.
199. Merouana, mon lieu de naissance, mon village de référence où j’ai vu la lumière pour la première fois, tu es, à jamais, inscrite dans ma vie.
200. Lorsque deux coeurs se parlent, le silence est de mise.
201. Dans la valse où se mêlent les temps, l’Homme danse avec grâce, devient son propre chant. Il embrasse la Vie et vers l’horizon il s’achemine, pour trouver, en chaque temps, sa raison d’être et sa mine.
202. Louons ces mères, guerrières au cœur tendre. Leur amour infini, impossible à comprendre. Don divin de Dieu, source de notre vie, une mère est un trésor qu’on chérit à l’infini.
203. Gardons à l’esprit que tout ce qui est grand peut faillir, que la puissance terrestre n’est qu’un fragile empire. Dans la simplicité et la foi, nous trouvons la vraie grandeur, celle qui résiste au temps et illumine nos cœurs.
204. Les enfants, innocents et purs, offrent leur tendresse à tous les souffrants. Leur innocence enivre et rassure, dans ce monde en manque de bienfaisants.
205. Dans ce Monde en perte d’humanisme, gouverné par le mensonge et l’affairisme, l’innocence s’offre, sans calcul, aux personnes sans honneur ni scrupules.
206. Dans ce désert éternel où règne la désespérance, les grains de sable éphémères crient leur triste existence.
207. Dans la vie, en chaque jour qui se lève, réside une espérance.
208. Le temps qui passe peut être dur à supporter, mais chaque jour apporte une chance de se réinventer.
209. Au bout de mon âge, qu’aurais-je trouvé ? Que la Vie n’est qu’un passage vers l’éternité, retrouvée.
210. L’espace et le temps n’ont pas eu raison, *D’une nostalgie patente, difficile à calmer, *De mes amis d’enfance et des belles saisons, *De cette adolescence que j’ai quittée à jamais.
211. Se complaire à dire la chose et son contraire, moi, je dirai, plutôt, le contraire. C’est clair, non ?
212. Penser c’est bien, raisonner c’est mieux.
213. L’homme qui n’est pas en paix avec lui-même, ne peut pas l’être avec autrui.
214. Au comble de la liberté, les mœurs sont piétinées.
215. Au summum de la puissance, s’entame la décadence.
216. Le bonheur n’aime pas la précipitation, il faut y aller à petits pas.
217. La Terre appartient à tout le monde, donc à personne.
218. C’est, toujours, douloureux de voir une créature mourir.
219. La vie, c’est, toujours, BMBM : Bon-Moins Bon-Mauvais.
220. Avec leurs rires cristallins et leur joie de vivre contagieuse, les enfants nous rappellent la beauté précaire de l’instant présent, comme un écho de notre innocence perdue qu’il nous faut chérir.
221. L’argent aime se multiplier : Plus on en a, plus on en veut, c’est épuisant.
222. La fierté d’être ce que l’on est, peut pousser les gens à vouloir l’annihiler par la force, jalousie oblige !
223. La guerre est décidée par le politique, menée par le militaire et subie par le civil.
224. La force donne et abandonne.
225. La « démoncratie  n’aime pas s’afficher avec son   n  : pure métaphore de l’érosion de la démocratie et de son éloignement de ses principes fondamentaux.
226. Lorsque la honte fait fausse route, la bestialité prend l’autoroute.
227. De la collision jaillit l’éclair
228. L’Homme est, tellement, compliqué qu’il doit se gérer simplement.
229. Les hommes meurent, les peuples, Non !
230. Devant l’impossible, l’arme est, souvent, une larme.
231. La Vie, chacun la chante à son rythme jusqu’à ce que la mort l’annihile.
232. L’Homme est une œuvre d’art sculptée dans la matière périssable que le Temps enlaidit lamentablement.
233. Tant qu’il y a la Vie, tout ce qui se détruit se reconstruit.
234. Les animaux, fidèles compagnons de la vie, sont des trésors d’innocence qui savent nous rappeler l’amour pur, le plaisir simple d’un moment partagé et la beauté d’une présence.
235. Dans ce Monde, s’entend, toujours, la voix du plus fort. Mais la voie du plus faible mène, toujours, à bon port.
236. Pour se convaincre d’être fort, l’idiot s’entoure de faux cons.
237. Le Droit excelle en théorie. Sa pratique, relevant de la conscience humaine, ne saurait être authentique.
238. Tout le malheur du Monde se retrouve dans la souffrance d’un enfant.
239. Heureux, celui que la vieillesse fait gagner en sagesse.
240. Se vêtir de la penderie de l’autre ne couvre pas la nudité.
241. Qui, mieux que mon pays, pourrait m’enrichir ?
242. Puissance sans conscience n’est que monstruosité.
243. Lorsque la force impose sa justice, le droit conclut l’armistice.
244. Mieux vaut endurer la vérité de l’injustice du Juste que l’hypocrisie de la justice de l’Injuste.
245. La monstruosité de l’homme est à la hauteur de sa capacité à anéantir sa propre espèce.
246. Si le fou est conscient de ce qu’il est, c’est qu’il ne l’est pas.
247. A pauvre d’esprit, entourage décide.
248. L’espoir est à l’homme, ce que le soleil est à l’univers.
249. La force gagne aujourd’hui mais perdra, inéluctablement, demain.
250. J’ai, tellement, envie de me critiquer que je ne trouve point les mots pour le faire.
251. Dans ce Monde, la valeur est inversement proportionnelle au prix : Pour élever son prix, l’homme est appelé à réduire sa valeur.
252. Nul n’est plus dupe que celui qui se complait à se tromper lui-même.
253. Le ridicule ne tue pas mais agace.
254. L’intelligence artificielle (IA) travaille au profit de ses maîtres et œuvrera à la destruction du Monde.
255. La raison voudrait que l’opprimé ne soit pas réprimé.
256. Il n’y pas plus mauvais élève que celui qui ne retient rien des leçons de la Vie.
257. Les droits de l’Homme ne peuvent être garantis que par des Hommes de Droit.
258. C’est trop faux pour être vrai.
259. La Nature fait bien les choses : L’Est et l’Ouest se sont, toujours, diamétralement opposés.
260. Il faut donner raison à la raison.
261. Le mal finit, toujours, par jeter son homme à la poubelle de l’Histoire.
262. Force est de constater que, dans la vie, certaines personnes semblent si intelligentes qu’elles frôlent l’idiotie.
263. La politique et l’honneur ne font pas, toujours, bon ménage.
264. J’ai faim, je vais mourir ! -Patiente, tu vas aller au paradis !
265. Pousser le désespoir à sa limite et le sursaut surgira.
266. Plutôt que de vous affliger avec ce que vous n’avez pas et que les autres ont, mieux vaut vous égayer avec ce que vous avez et que les autres n’ont pas.
267. Le mal devance, toujours, le bien dans la surenchère.
268. Lorsque la gouvernance mature, l’alternance rassure.
269. La paix, j’ai, toujours, recherché le contraire de son contraire.
270. Quelle que soit la durée du triomphe, viendra le jour de la défaite.
271. Tous les nuages naissent d’une mer.
272. En se dérobant à son intelligence, l’Homme ne fait qu’entériner sa servitude.
273. L’Homme est une œuvre d’art que le Temps dessine, variablement, depuis la naissance pour la terminer au dernier soupir.
274. La vie est une école où chaque individu reste maître et élève à la fois.
275. Une main tendue attend, toujours, son dû.
276. Le meilleur existe en tout mais l’Ultime, inaccessible, est Unique.
277. Au Royaume des Poussières, il n’y a que le Paradis et l’Enfer.
278. Dans ce Monde, chaque grain de poussière témoigne de son éternité.
279. Le rond est prisé par l’Univers dont la forme ultime ne peut être autrement.
280. Lorsque le Temps arrête de courir, l’Eternité s’invite.
281. Il arrive que l’homme doute de son père mais jamais de sa mère.
282. Au royaume des poussières, j’élirai domicile.
283. Dans cette vie, plus j’apprends, plus je réalise que je ne sais rien.
284. Si le bonheur ne se donne pas, donner procure du bonheur.
285. L’hypocrisie s’exprime, toujours, anonymement.
286. Tout s’accomplit dans le destin, y compris le hasard.
287. Le hasard crée le doute.
288. La démocratie c’est avoir le privilège de déposer son bulletin de vote dans une urne sans fond financée par les fonds, ramassés par les fans des candidats, en pays profond.
289. Le Temps tient, tant, à hausser le ton que je tends, souvent, à m’incliner autant.
290. Le déploiement de l’intellect humain doit viser non seulement le bien de l’humanité, mais aussi celui de l’ensemble du cosmos dans lequel elle s’inscrit.
291. Tout problème naît d’une solution.
292. Dans cette Vie, toute œuvre de l’Homme, création parfaite, est imparfaite.
293. L’engagement politique authentique exige une conscience critique et une volonté de naviguer entre les écueils, plutôt qu’une adhésion aveugle à un système ou à un autre.
294. Au secours, Monsieur! je me noie … – Attendez que je vous prenne en photo !
295. Au final, toute création ne peut être que l’œuvre d’un seul créateur.
296. Lorsque le pouvoir vire au dérisoire, il ne reste que partir à entrevoir.
297. Et quand vient la nuit, la vue se perd et l’oreille s’accroche au moindre bruit.
298. Qui veut vivre doit rester sur le qui-vive.
299. Parmi les quatre vérités, il y a trois mensonges.
300. La vérité est une, tout le reste est mensonge.
301. Dans la nuit, tout silence est un bruit.
302. Tout ce que découvre et crée l’Homme, n’est qu’un agencement et une combinaison de substrats de cette Vie créée par Dieu.
303. Dans ce Monde, tout est réglé dans les moindres détails et tout est détaillé dans les moindres règles.
304. L’hypocrisie se cache, souvent, derrière l’unanimité.
305. Faire le mal consciemment est l’apanage de l’Homme, il est sanctionné dans cette Vie et dans l’Au-Delà.
306. Eternelle, la Vie est une succession de problèmes ; éphémère, ma vie est une succession de solutions.
307. Il est, toujours, temps de se reprendre avant qu’il ne soit trop tard.
308. Le pouvoir est un tout, doit-on mettre tout sur le pouvoir ?
309. L’être humain tire sa dignité et son importance au sein de la société des principes éthiques et des idéaux qu’il incarne et met en pratique dans sa vie.
310. Il vaut mieux être riche de sa pauvreté que pauvre de sa richesse.
311. J’aime tellement rester pauvre que j’en deviens riche.
312. Telle une étoile filante, la vie de l’Homme sur cette Terre se résume à : Naître pour être et paraître puis disparaître.
313. A contrario de l’intelligence humaine, continue et infinie, l’intelligence artificielle est discontinue et finie.
314. L’Homme qui tient à livrer bataille à autrui a, préalablement, perdu celle qu’il a livrée à lui-même.
315. L’intelligence humaine (IH) devance, toujours, l’intelligence artificielle (IA) : il n’y a pas d’IA s’il n’y a pas d’IH.
316. Dans la vie de l’Homme, il y a, toujours, un jour sans veille et un autre sans lendemain.
317. Pour dominer le Monde, il faut un monde de Dominés.
318. La pauvreté est source vive d’amitié sincère.
319. Derrière le voile du silence se dissimulent parfois des vérités troublantes ou des menaces latentes, qu’il convient d’appréhender avec prudence et discernement.
320. Dans la vie, gagner et perdre se relaient souvent.
321. Le libre-arbitre, de l’Homme, agit entre le bien et le mal.
322. Ce qu’il y a de constant chez un idiot, c’est qu’il ne peut, jamais, s’en cacher.
323. Si je me bats pour le plaisir des autres où trouverais-je le mien ?
324. La beauté absolue relevant des attributs de Dieu, l’image d’un sujet ou d’un objet est une onde visuelle qui, si elle s’harmonise avec un ou plusieurs référentiels intrinsèques de l’observateur, la perçoit comme une beauté relative.
325. Si le Temps court pour l’Homme, sa patience saura s’en défaire.
326. Jouissant du Temps et sa ténacité, l’Histoire ne fait que se répéter.
327. Ce n’est qu’en vie que naît l’envie.
328. On n’aurait pas apprécié les bonnes âmes, s’il n’y avait pas les mauvaises.
329. Informatiquement, la vie de l’Homme est l’exécution d’un micro-script dans l’Infini et Eternel Programme Divin.
330. L’argent, soit on le domestique soit on en devient esclave.
331. Si on pouvait remonter le temps, on n’irait pas au-delà de son jour de naissance.
332. C’est par la pudeur, cette retenue qui voile ses instincts primaires, que l’être humain s’élève au-dessus de l’animalité et affirme sa spécificité culturelle, qu’il se doit de préserver.
333. Si tout le monde attend, beaucoup, de toi c’est que tu n’attends, rien, de personne.
334. La conscience de la nécessité d’un changement n’émerge que lorsque la situation présente atteint un point critique, un paroxysme insoutenable.
335. Lorsque le génie de l’esprit cède devant la performance du corps, la décadence humaine se profile en dernier ressort.
336. Dans ce Monde à l’envers, on prie plus qu’on espère !
337. Etre dans le besoin éloigne du besoin d’être.
338. La matière se meut en fonction du temps et de l’espace.
339. La Nature ? C’est, naturellement, beau !
340. Œuvre de l’Homme, un jour, l’intelligence artificielle aura raison de son extinction, non pas tant qu’elle l’aurait voulue mais qu’elle se serait trompée.
341. Il m’a fallu toute ma vie pour que je sois là, aujourd’hui !
342. On vous fout la guerre, foutez-nous la paix !
343. Le hasard n’existe que dans la tête de l’Homme. Sinon, l’Univers est synchronisé dans toute sa plénitude.
344. L’âme est belle, par essence. Elle s’interdit de se découvrir, autrement, que dans la beauté du corps, du cœur et de l’esprit.
345. La science de l’Homme est à la Science Divine ce que l’Homme est à la Création.
346. La jalousie opère un renversement pervers des valeurs dans l’esprit de celui qui en est affecté : les actions positives de l’autre sont perçues comme des affronts, tandis que ses échecs sont vécus comme des triomphes.
347. La Création, c’est du perceptible et de l’imperceptible aussi.
348. L’Ordre Suprême gère tous les désordres de l’Univers.
349. Si je suis entré dans cette Vie sans ma volonté, c’est qu’il y a une Autre qui en a décidé.
350. La conscience humaine, par sa capacité à appréhender ce qui échappe aux sens, témoigne de l’existence d’une réalité qui transcende le perceptible.
351. Tout ce qui s’unit, se sépare un jour.
352. Ce qu’il y a de triste dans la vie, c’est qu’elle nous offre, toujours, une fin.
353. Le temps n’existe que par sa durée.
354. Monsieur le Temps, vous ne faites que courir, depuis la nuit des temps : Ne pouvez-vous, donc, vous arrêter quelque temps ?
355. Tout ce qui échappe à l’œil, alimente l’imagination.
356. Le souvenir est un rêve conscient.
357. L’argent n’aime pas circuler au grand jour.
358. Dans cette vie, on a, tous, été fous par moment.
359. On n’invente que par moment de folie.
360. Pour gagner, à tous les coups, il faut mettre le sort de son côté.
361. Dans cet Univers infini, tout ce qui existe est fini.
362. C’est aussi parfait que la courbe d’un arc-en-ciel.
363. Nul n’est plus terne que celui qui veut briller aux dépens d’autrui.
364. Les folies se manifestent sans préméditation.
365. Le changement nait, toujours, d’une question posée.
366. Tel un fleuve, lorsque le peuple quitte son lit, il emporte tout sur son passage.
367. A défaut de vérité, le faux, avec sa faux, taille dans l’archi-faux pour plaire plus qu’il n’en faut.
368. Il faut savoir se taire lorsque la Vérité le demande.
369. J’ai interrogé la mer : D’où tiens-tu toutes ces eaux et elle m’a répondu : Le ciel !
370. L’humble : Tout ce que je sais, c’est que je ne sais rien. Le stupide : Je ne sais rien, c’est que je sais tout.
371. L’humilité se vit, d’abord, avec soi-même.
372. Vivre, c’est attendre.
373. Par la Volonté du Créateur, la créature n’a pas la capacité de saisir la définition de la vie mais tout ce qui existe dans l’Univers, objet de la Création, vit.
374. A force d’entendre le cri du corbeau, on finit par croasser.
375. Tout ce qui bouge vit et interroge.
376. L’imperfection est la première qualité de l’Homme.
377. L’univers est régi par la loi immuable du cycle de la vie, où la naissance et la mort se succèdent inéluctablement, et seul un renversement de cet ordre pourrait signifier la fin de ce cycle éternel.
378. On ne découvre que ce qui existe.
379. Si les choses de ce Monde finissent dans l’oubli, comment pourrais-je oublier ma Terre de naissance ?
380. Le zéro, dans sa présence même, révèle et circonscrit l’absence, donnant ainsi une forme tangible au néant.
381. Intelligence sans conscience ou l’apocalypse promise par la science.
382. Dieu, l’Un suprême, est la source de toute la création dans sa diversité, mais cette diversité ne peut, par elle-même, faire émerger l’unité divine, qui est le principe premier et incréé.
383. Dans l’univers des nombres, les couples se créent par l’union de deux entités, et le zéro, aussi solitaire soit-il, n’échappe pas à cette règle en formant un couple avec lui-même.
384. La symétrie, en tant que principe d’ordre et d’équilibre, ne peut se reconnaître dans la nullité du zéro, mais s’épanouit dans la juste proportion des nombres pairs, reflets de sa perfection.
385. Toute création témoigne de l’existence de son créateur.
386. En la Vie comme en la jungle, qui ne s’affirme point se fait dévorer.
387. Qui ne s’aime point ne saurait aimer longtemps.
388. Sur la trajectoire du Temps, regarder vers l’arrière contraint de cesser d’avancer.
389. La symétrie est à la beauté ce que le Soleil est à l’Univers.
390. Il est moralement irrecevable de prétendre guider ses semblables sans faire l’effort de comprendre leur réalité, leurs aspirations et leurs difficultés. Seule l’empathie fonde la légitimité du leadership.
391. La création, l’ordre et la synchronisation de cet Univers ne peuvent être fortuits : l’Ephémère s’incline devant l’Eternel !
392. Le hasard n’a pas de place dans un Monde de vérité.
393. La sincérité est le seul véhicule de la vérité.
394. Toute la Vie se résume à un seul problème, c’est elle-même !
395. L’existence se déploie dans la trame du travail et du temps, ces deux dimensions consubstantielles qui façonnent l’expérience humaine et confèrent à la Vie sa texture et sa profondeur.
396. Au secours, ils ont introduit un recours auprès de la Haute Cour. Il faut que je cours vers la cour, en passant par la basse-cour, pour prendre mes cours et changer mon pull trop court en espérant gagner le concours et faire mon discours devant la Haute-Cour.
397. Il vaut mieux aimer sans raison qu’avoir raison de ne pas aimer.
398. Et si la femme était une flemme sans ailes ?
399. Si tous les problèmes posés ont une solution, on se complait, des fois, à créer des problèmes pour des solutions données.
400. S’il m’est impossible de comprendre ce Monde, comment pourrai-je percevoir l’Autre ?
401. L’existence oscille entre la lucidité de la conscience et les brumes de l’inconscience. La mort, quant à elle, nous libère de cette dualité, nous entraînant dans un territoire inconnu, où la conscience s’évanouit.
402. Le cœur bat pour la vie jusqu’à ce que la mort l’arrête.
403. L’amitié peut vivre de distance, Internet en est le véhicule. Immobiles, les montagnes ne se rencontrent jamais Les bonnes âmes, par contre, et sans aucun calcul Défient le temps et l’espace et peuvent s’aimer.
404. Pour qu’il y ait des droits de l’Homme, il faut qu’il y ait des hommes de Droit.
405. Il faut être en dehors du Monde pour pouvoir le créer.
406. Faire tourner l’horloge en sens inverse ne fait pas reculer le temps.
407. Pour l’Homme, la Vie se conjugue en trois temps : il est, il sera et il était.
408. La cruauté est une réalité de la vie, je n’ai pas le courage de l’admettre.
409. Parfaite et honnête, la cadette, de ses parents, toujours s’inquiète.
410. Le Temps n’arrête pas de courir, il ne s’essouffle jamais.
411. A l’Eternité, tout le monde est convié.
412. Dans cette Vie, le corps, matière, vient du Néant et y retourne. Immatérielle, l’âme l’abandonne pour rejoindre l’Eternité.
413. L’existence humaine est une vaste toile de possibilités infinies, une succession d’expériences et d’éventualités que notre imagination peut concevoir, mais dont le déroulement réel demeure foncièrement incertain et imprévisible.
414. La beauté s’apprécie entre singulière et plurielle.
415. Ce qui est beau est beau, il n’y a rien à dire !
416. Les œuvres grandioses naissent, souvent, de petites causes.
417. Entre la jalousie et l’amour, loge l’indifférence.
418. La solitude offre le meilleur moment pour dialoguer avec sa conscience.
419. Ennemi d’un jour, soupçonné toujours.
420. La vie est une balançoire – Entre bonjour et bonsoir – Sinon blanc ou noir – Et, enfin, bonjour et au revoir
421. La jalousie doit s’inviter dans un couple : peu c’est cocu, trop c’est rompu.
422. Sur cette Terre, la vie c’est l’eau, l’air et la lumière.
423. Les Humains se relaient, sans limite, sur cette Terre et l’Homme est un élément, constitutif, de cet Infini.
424. N’ayez crainte, si vous perdez le Nord, vous serez soit à l’Est soit à l’Ouest !
425. Dans la vie, n’ayant rien à perdre, le pauvre est libre et le riche reste prisonnier de sa richesse.
426. Depuis que j’ai pris le véhicule de la vieillesse, je roule, beaucoup plus, vers l’arrière que vers l’avant.
427. J’ai beau, cherché mon origine, je ne suis qu’un Terrien !
428. Au pays du western, le Colt est Roi.
429. Tout menteur cherche à vivre aux dépens de ceux qui le croient.
430. Un mensonge, maintes fois colporté, finit par faire croire sa vérité à son propre auteur.
431. Le summum du courage n’est pas, uniquement, l’apanage de l’Homme, une mère donne, toujours, sa vie pour son enfant.
432. Dans ce Monde, toute avancée scientifique n’est qu’une étape du cheminement de l’Homme vers sa finitude.
433. L’invendu s’apprécie, contradictoirement, par les uns et par les autres.
434. A défaut de retenue, le trop plein se plaint trop de permettre à une minuscule goutte de faire déborder le vase.
435. Et dire que, de cette Eternité, je n’aurais vécu qu’une fraction de dénominateur infini, le Temps faisant défaut.
436. Dans chaque ami, sommeille un ennemi latent.
437. Le bonheur s’éprouve lorsqu’on le donne aux autres.
438. Paraître est l’habit du traître.
439. La Vie, on l’aime, tous, à en mourir !
440. On doit, toujours, ralentir avant de changer de direction.
441. Devant un miroir, l’homme s’observe et l’animal s’énerve.
442. Si tu ne sais pas danser, contente-toi du pas cadencé.
443. De nos jours les gens sont tellement faux que, dans notre entourage, on les prend, à pile ou face, comme amis ou ennemis.
444. Vouloir le pouvoir pour pouvoir le vouloir.
445. L’Homme est un être humain, de chair aujourd’hui, poussière demain.
446. Les donneurs de leçons ne font que dispenser ce qu’ils ont appris de leurs maîtres.
447. L’Homme s’avère totalement étranger à ce Monde, ne faisant que le transiter.
448. L’Au-Delà intrigue pour sa destination : le Néant ou l’Eternité ?
449. Les gens sont ce qu’ils sont, c’est à prendre ou à laisser.
450. Il n’y a pas plus crédules que les yeux : ils ne savent pas mentir et ne jugent que sur les apparences.
451. Pour larguer la prise, il faut prendre le large.
452. La Vie est tellement généreuse qu’elle offre un voyage gratuit, obligatoire et sans retour, vers l’Au-delà, à tous les vivants de la Terre.
453. La patrie s’hérite mais ne se vend et ne s’échange pas.
454. Le maître finit par se fatiguer de voir son élève chercher à exceller pour le satisfaire.
455. Sur le chemin de la vie, lorsque l’horizon se rétrécit, l’Homme se retourne vers son passé et continue sa marche aveugle jusqu’à trébucher dans le trou de la mort.
456. Dans la vie, tous les départs ont une arrivée sauf le dernier.
457. Pour dégager la route, des fois on avance, des fois on recule.
458. Des fois on tente de se rapprocher de certaines personnes pour mieux s’en éloigner.
459. Pour l’homme, le Temps passe, certes, mais à la vitesse de ses humeurs.
460. Au pays des Femmes, la tendresse est reine.
461. Dans l’obscurité, tous les êtres ont la même couleur.
462. Percevoir la beauté emporte, concomitamment, l’agrément de l’œil, du cœur et de l’esprit.
463. Ce Monde est un fleuve tumultueux où chaque peuple est un affluent qui y déverse sa culture, ses rêves et ses luttes, participant ainsi au grand voyage commun de l’Humanité vers son delta incertain.
464. Se promener dans une tempête de sable, on n’a pas besoin d’effacer ses traces.
465. Les sommets, certains les escaladent et d’autres s’y font parachuter.
466. La meilleure façon de réussir dans la vie est de ne pas s’y perdre.
467. Dans cette Vie et sans ma volonté, je suis venu et j’en repars.
468. L’intelligence se moque, souvent, de la force et du nombre.
469. Être ou ne pas être mais pas les deux à la fois.
470. Cette Vie, j’ai très bien compris que je ne pourrai, jamais, la comprendre.
471. Flanquant sa trouille, la citrouille devient citron.
472. L’excès d’imagination ne verse pas, ouvertement, vers la joie mais plutôt et, souvent, vers la tristesse.
473. La vie opère, quelquefois, un troublant renversement : l’homme, en quête de sa part d’ombre, embrasse sa nature bestiale, tandis que l’animal, aspirant à la lumière, s’élève vers une forme d’humanité.
474. L’horizontalité, plan sacré de l’existence, est à la fois remède aux maux de l’homme, source de ses jouissances, et portail vers l’infini au moment de quitter ce monde.
475. La richesse aveugle, la pauvreté éclaire.
476. La Vie est si éphémère qu’inutile.
477. L’argent et la raison ne font pas, toujours, bon ménage.
478. L’ami n’a, jamais, été un frère.
479. Chez l’Homme, la beauté intérieure est pérenne, celle extérieure s’avilit avec le temps.
480. La Vie, c’est du visible… Et de l’invisible aussi.
481. Pour voir la vie en rose, Il faut trouver la rose de sa vie. Pour trouver la rose de sa vie, Au jardin choisir la plus jolie De nature la plus accomplie Et ne plus jamais changer d’avis
482. Qui veut flotter sur l’eau doit d’abord mourir.
483. La conscience de la nécessité du départ s’accompagne de l’acceptation d’une dissolution de la conscience elle-même.
484. A l’image de l’arbre, trop arrosé, qui finit par dépérir, l’excès mène, toujours, au pire.
485. C’est l’esprit embrouillé qui émet les idées claires.
486. Le coup de foudre suit l’éclair, seule la raison négocie la durabilité.
487. Pour l’Homme, aimer quelqu’un ou aimer quelque chose ne s’exprime pas par les mêmes sentiments.
488. On est, tout le temps, assuré du passage d’un feu puisqu’il laisse toujours ses cendres.
489. On est tous appelés à endurer les épreuves de la vie, un jour ou l’autre.
490. Nous tremblons tous les deux ma Terre, toi de colère et moi de peur.
491. L’aîné, ou l’aînée, est le plus aimé.
492. La politique, on en fait même si on n’en fait pas.
493. En politique, le siège éjectable est une option de série, mais le parachute, c’est du sur-mesure !
494. Lorsqu’on stationne dans la panse d’un anaconda, on éteint le moteur.
495. La domination par la peur est toujours précaire et illusoire, car elle porte en elle les germes de sa propre subversion.
496. Les peuples sont comme le Temps, ils finissent, toujours, par triompher.
497. Le grand problème de l’Humanité est qu’elle se déshumanise.
498. Dans cet Univers, aucune force ne pourra empêcher le Soleil de briller si ce n’est lui-même.
499. Le cœur tente, souvent, de nous amener là où la raison refuse de le faire.
500. L’homme ne quitte jamais, vraiment, sa jeunesse puisque l’enfant, qu’il était, continue, toujours, de sommeiller en lui.
501. Une beauté assortie d’une touche de curiosité ne peut être que sublime.
502. Je suis comme une goutte d’eau dans l’océan du non-être, un grain de poussière dans le désert du rien.
503. Je n’étais rien et je ne serai rien : Qui suis-je ?
504. Pour te situer sur le cours du temps, de l’instant présent, projette-toi cent ans en arrière et cent ans en avant.
505. Les personnes oublient, les peuples non.
506. Gagner s’accompagne, souvent, de soucis et de peur.
507. Désolé de ne pouvoir le dire avec des mots, je laisse mon visage s’en charger.
508. Contente-toi de peu et tu seras, toujours, heureux.
509. L’Homme fait et le Temps défait.
510. Professeur, sans votre contribution décisive, l’édifice de mon savoir serait resté un chantier inachevé. Merci d’avoir été le bâtisseur de ma réussite intellectuelle.
511. Savez-vous ce que vous ne savez pas ?
512. La démocratie, dans le jeu politicien, est souvent réduite à un simple atout rhétorique, agité comme un joker pour justifier des actions qui, sous couvert de la défendre ou de la renforcer, ne font que la vider de sa substance.
513. La vérité libère, le mensonge hante.
514. Le moral et la morale ne font pas, toujours, bon ménage.
515. Se retenir, c’est une forme d’intelligence.
516. Lorsque les progrès scientifiques sont mis au service de la destruction de l’espèce humaine, ils soulèvent la question fondamentale de la raison d’être et de la valeur même de la connaissance.
517. La responsabilité des initiatives de l’homme l’engage bien au-delà de leur simple accomplissement, car elles ont souvent pour conséquence d’appeler une réponse en retour de la part du monde, dont il doit assumer les implications.
518. La plus haute forme d’intelligence humaine est la capacité de pardonner.
519. Le courtisan qui met tout en œuvre pour flatter ses souverains, finit par se discréditer à leurs yeux, perdant ainsi le crédit qu’il cherchait précisément à gagner.
520. Il n’y a que les vrais qui savent rester simples.
521. Qui veut plaire à tout le monde finit par se déplaire à lui-même.
522. Non, Non, on ne peut pas être du même camp !
523. Mes amis, si vous êtes sincères, pourquoi taisez-vous ma dérive ?
524. Le droit à la libre expression de chaque individu est borné par l’obligation de ne pas porter atteinte à la liberté d’expression des autres, dans un équilibre délicat entre autonomie personnelle et respect mutuel.
525. La plus belle clarté n’est pas toujours la plus aveuglante, mais celle qui sait révéler la profondeur cachée de chaque chose en l’éclairant patiemment.
526. En art comme dans la vie, c’est souvent par le jeu des contrastes et des oppositions que se révèle la véritable valeur des choses, leur pouvoir d’émouvoir, de séduire ou de rebuter.
527. Que serait la joie s’il n’y avait pas la tristesse ?
528. Qui ne voit que le blanc de la neige ne saurait voir les couleurs de l’humanité.
529. L’arbre, dans sa grandeur d’âme, est le reflet de la bonté divine : il dispense son ombre salvatrice aux créatures accablées par les tourments de la chaleur, manifestant ainsi la providence du Créateur envers ses créatures.
530. Dieu est dépositaire de Sa science infinie, l’Homme ne fait que la découvrir.
531. Un mal fait, ne se répare jamais.
532. Dans la vie, il n’y a pas de bonheur ultime, il n’y a que le malheur ultime : la mort.
533. Pour l’Homme, avoir deux mères, c’est une chance : la mère biologique et la terre de naissance.
534. Obligé de danser au pas cadencé, il ne fallait pas se lancer.
535. Pour le bal des réseaux sociaux, les pseudos sont annoncés à contrario : recto pour verso
536. Qui veut aller loin ménage sa monture, mais qui veut aller de l’avant libère ses entraves.
537. Aussi haut que l’on s’élève, le ciel reste toujours au-dessus de nos têtes.
538. La Vie nous sépare de nos amis, jusqu’au jour où ils se sépareront de nous.
539. Quand tout le monde est grand, plus personne ne l’est vraiment.
540. Bonnes ou mauvaises, la vie nous arrose, chaque jour, de ses nouvelles.
541. J’atteste qu’il n’y a pas de divinité en dehors de Dieu et j’atteste que Mahomet est le Messager de Dieu.
542. Dans l’océan de la Vie, tous les Mondes feront naufrage.
543. Je suis un Néantois, venu du Néant et devant y retourner, ce n’est qu’une question de Temps !
544. Les grands-parents aiment leurs petits-enfants aussi fort que leurs enfants.
545. Les petits-enfants aiment leurs grands-parents aussi fort que les bonbons.
546. La fille, elle est là, toujours, pour égayer son père, lorsque sa mère oublie de le faire.
547. L’élu du peuple, n’émerge pas, obligatoirement, d’un peuple élu.
548. Un bras qui s’étire, déséquilibre la balance.
549. Tout le monde peut se tromper, les peuples aussi.
550. Dans une société, la justice ou l’injustice ne sont que le corollaire de la force.
551. Le masque obligatoire, c’est un peu le bal costumé : on ne sait plus trop qui est qui, mais on est tous dans le même bateau… ou plutôt dans le même carnaval !
552. Je peux me vanter de ne pas être un vantard.
553. Pour mener à bien un travail ou accomplir une tâche, les seules ressources véritablement indispensables sont l’investissement en temps et en efforts soutenus.
554. Le travail est l’avenir de l’Homme.
555. La médiocrité qui caractérise une personne a tendance à s’ancrer et à se renforcer avec le temps, au lieu de s’estomper
556. On ne rattrape, jamais, le temps perdu ; on ne fait que le prendre du futur.
557. On ne guérit pas de ses défauts, on fait semblant.
558. Une société qui perd ses principes fondamentaux et ses références communes risque, inévitablement, de sombrer dans le chaos et la détérioration généralisée.
559. Qu’importe la manière, pourvu qu’on arrive au but !
560. Les détracteurs peuvent, paradoxalement, être bénéfiques: leur critique, aussi déplaisante soit-elle, permet d’identifier les défauts et les erreurs et l’opportunité de les améliorer.
561. Lorsque l’être humain emprunte la voie du retrait et de la retraite, il s’engage dans un voyage sans retour vers un avenir qui se dérobe, où chaque pas l’éloigne un peu plus des rivages de l’existence.
562. La modestie c’est endiguer tous les excès dont un homme veut se prétendre.
563. Le fou est un grand bébé sans conscience.
564. La Nature est si belle qu’elle m’ensorcelle.
565. Dans l’évaluation des risques et des opportunités, il est souvent plus judicieux de privilégier une option limitée mais maîtrisée, plutôt qu’une perspective étendue mais imprévisible et potentiellement menaçante.
566. Le rusé, usé, ne retient plus son venin perfusé.
567. Sur l’estrade du camarade, les cœurs battent la chamade et les corps se baladent pour égayer la mascarade.
568. Qui s’entoure de loups, ne fera, point, de jaloux.
569. Au sommet de la tour, on s’entoure, souvent de vautours.
570. Si, seulement, l’horizon pouvait être immobilisé pour que je puisse l’atteindre !
571. Vouloir et pouvoir, frères inséparables, mais qui naît en premier ?
572. La folie se libère lorsque l’âme prend congé de sa conscience.
573. Je déteste me mettre en face du soleil, de peur que mon ombre, derrière moi, me trahisse.
574. Avec la Vie, il vaut mieux courir ex aequo.
575. J’existe, c’est voulu !
576. Si le cœur penche vers la gauche, c’est qu’il a ses raisons.
577. Vogue ma galère, vogue au gré des vents, dans l’océan de la Vie où un jour tu sombreras !
578. L’élévation sociale ou hiérarchique ne doit pas faire oublier l’égalité fondamentale qui unit l’élu à ses congénères, et la perspective éthique exige de continuer à les considérer comme des alter ego, quelle que soit la distance qui les sépare.
579. Pour gouverner avec sagesse et équité, il est impératif de ne pas succomber aux dogmes et aux passions des factions opposées, mais de tracer une voie médiane, guidée par la raison et le bien commun.
580. Les nuages se sont, toujours, rebellés contre le Soleil qui les a créés, en s’interposant pour lui cacher la Terre.
581. Mon problème, c’est que je ne sais pas si je sais ou pas !
582. Dans son pèlerinage terrestre, que l’âme humaine s’élève vers la lumière ou s’égare dans les ténèbres, elle ne peut se soustraire à la destinée ultime que le Créateur lui a fixée : le retour à sa source divine.
583. La trahison naît dans la proximité et les engagements pris.
584. Trahir quelqu’un commence par se trahir soi-même.
585. Le cœur s’insurge, souvent, contre la raison qui doit en référer à la conscience.
586. Pour vaincre sa timidité, on a, souvent, besoin d’un brin de folie.
587. La vie de l’Homme est une trajectoire espace-temps du Néant vers le Néant consciemment déroulée.
588. Qui me connaît mieux que moi-même ? Merci Bon Dieu pour ce privilège !
589. L’être humain, en exerçant sa liberté de choix et en déployant pleinement ses facultés intellectuelles et corporelles, peut aspirer à atteindre l’unique vérité universelle : la connaissance intime de sa propre nature.
590. Dans le grand théâtre des héros, certains sont de véritables étoiles qui brillent de mille feux, tandis que d’autres ne sont que des figurants sans éclat, indignes de la scène.
591. Qui sème à tous vents perd sa récolte.
592. Entre le soleil de la gaieté et les ténèbres de la morosité, le cœur se tourne instinctivement vers la lumière.
593. C’est, seulement, lorsqu’il est égaré dans l’aridité de la vie que l’opulent consent à s’abreuver à la source de la simplicité.
594. Qui, de la joie ou de la tristesse, a le monopole des larmes ?
595. Qui mieux que décevoir peut se loger entre aimer et haïr ?
596. On peut reculer, tout en avançant : Si les autres courent plus vite que nous !
597. Qui n’avance pas, recule : Pas nécessairement, s’il veut marquer un point d’arrêt !
598. Dans la vie, on arrive, nécessairement, à l’âge où il faut penser pour panser ses doutes.
599. La paix se paie en sang et en larmes.
600. L’infiniment petit et l’infiniment grand sont inaccessibles pour l’Homme.
601. Entre l’infiniment petit et l’infiniment grand, se trouve notre Univers.
602. Si l’Homme accepte qu’il n’est qu’une flamme vouée à s’éteindre, la raison devrait le pousser à chercher la main qui a allumé le feu de son existence.
603. Alors que la créature, animale et humaine, est tout entière asservie à l’impératif de la reproduction, l’être humain, par le privilège du libre arbitre, est appelé à une destinée supérieure : rendre hommage à son Créateur.
604. Si vous ne voulez plus de guerre dans ce Monde, laissez les mères des soldats décider !
605. Le bon cœur, oublie, toujours, le mal qu’on lui fait.
606. Même le plus féroce des fauves finit en pitance pour d’autres.
607. La pitié, noble sentiment humain, ne germe pas dans tous les cœurs.
608. Dans cette vie, si dure, l’homme est, toujours, en quête de tendresse et de compassion.
609. Le cadeau raffermit, toujours, l’amitié.
610. L’Homme vit le présent et dans son esprit, il revoit le passé et imagine le futur.
611. Les médiocres grattent à la porte de l’Histoire, mais seuls les grands y font leur entrée.
612. Pour garder la montée, il faut monter la garde.
613. Aller trop vite éveille la vigilance des autres.
614. Les gens semblent ne pas m’aimer, il ne me reste qu’à m’aimer moi-même !
615. J’aime tous ceux qui aiment ce que j’aime et ceux qui n’aiment pas ce que je n’aime pas.
616. Dieu, merci ! Le rêve est gratuit !
617. Dans le labyrinthe de nos songes, un rêve qui en abrite un autre est une chambre secrète dont la clé ne nous est que rarement donnée.
618. Le Temps, c’est la Vie.
619. A force de grimper on finit par ne plus respirer.
620. L’Homme n’a pas la force de dominer la Nature mais il a son intelligence.
621. La meilleure arme est celle que l’ennemi n’a pas.
622. L’Homme ne perçoit le Monde qu’au moyen de ses capacités physiques et mentales limitées.
623. Durant la Vie, l’âme de l’Homme utilise les pleines capacités de son corps pour l’affirmation de sa propre perfection. Avec l’âge et en faiblissant, elle le quitte, malheureusement.
624. L’infini ? Il est autour de nous : Depuis que le monde est monde, aucune créature de Dieu n’est identique à une autre !
625. Une année s’en va, une autre commence, -Mon âge se plaint et la vieillesse avance. -L’esprit s’embrouille et même la résistance -Que faire, sinon endurer et s’armer de patience.
626. Le bien et le mal, diamétralement opposés, ont une frontière pour qui le libre-arbitre doit engager la conscience humaine.
627. Dans une cage dorée, l’oiseau peut mourir de faim.
628. L’homme n’aurait pas savouré le bien, s’il n’avait pas enduré le mal.
629. Hier, j’ai rêvé que je gagnais une fortune en argent mais, dommage, c’étaient des faux billets !
630. Tel un bracelet pour traquer un animal, l’homme s’offre son smartphone pour se faire suivre.
631. Si l’ennemi vous loue c’est pour les services que vous lui rendez, consciemment ou inconsciemment.
632. Rêver, c’est un moment où l’imaginaire et l’inconscient se connectent pour se réveiller dans un monde irréel où l’espace et le temps n’ont plus cours.
633. Nous poussons le boutoir avec un bouton poussoir
634. Seule la pensée peut outrepasser le regard.
635. Venant du Néant, l’Homme peut se vanter d’avoir existé pour répandre sa poussière sur la Terre..
636. Le mensonge peut, des fois, être un moindre mal nécessaire pour éviter un désastre irréparable
637. Tous les mouvements ont, chacun, un point de départ et un point d’arrivée.
638. La marée ? C’est lorsque la mer en a marre !
639. L’infini, il suffit d’y penser pour le rendre fini.
640. Au pays des Justes, la faute est involontaire.
641. Les nuages, on peut, toujours, les éviter ; il suffit d’être au-dessus où le ciel est, tout le temps, bleu.
642. L’ami c’est ce qui reste quand on a tout perdu.
643. Si je dois compter les étoiles, où dois-je m’arrêter ?
644. Je continue mon sommeil, Mais au pays des merveilles, Il faut que je me réveille, Pour, toujours, rester en éveil.!
645. Au pays des voyous, les voyelles sont majoritaires.
646. Le plus grand désastre de l’Univers, c’est qu’il sombre sans que l’Homme n’en soit conscient.
647. Les peuples ont leurs drogues, le football en est une.
648. La connaissance n’aime pas s’arrêter : Si on n’avance pas, on recule.
649. C’est un homme véridique et il ment lorsqu’il dit qu’il est menteur.
650. Fermer les yeux, c’est dormir ou laisser faire.
651. On ne chante que si on a la panse pleine.
652. Marcher dans l’obscurité demande à déployer les mains.
653. On peut être heureux, sans être un imbécile !
654. Le soleil n’aime pas qu’on abuse de ses rayons.
655. Sur les quatre saisons, trois hébergent dans la même année et l’hiver dans deux.
656. Le sort de la Terre, développement ou extinction, est lié à l’œuvre, constructive ou destructrice, de l’Homme.
657. Pour que la fortune me court après, il faudrait que je la devance.
658. Pour l’Homme la Vie est une balançoire vers l’avant ou vers l’arrière, bon ou amer jusqu’au jour où la corde cède pour l’envoyer au cimetière.
659. Le bateau de la vie vogue dans l’Univers. Arrivé à bon port, à bâbord ou à tribord, la descente est obligatoire pour les plus vieux d’abord.
660. Descendre l’escalier, demande à le monter d’abord.
661. La montée en puissance attend, toujours, une décadence.
662. Plus l’homme s’éloigne de ses semblables et plus sa liberté s’élargit.
663. L’intelligence humaine, émanation de la perfection divine, contraste avec l’intelligence artificielle, création imparfaite de l’homme qui peut se retourner contre lui et précipiter sa perte.
664. La perfection étant du domaine divin, tout ce qui est créé par l’Homme est imparfait.
665. L’Eternité se plaît à s’afficher, souvent, en arc-en-ciel avec ses six couleurs invariables et dans le même ordre de l’intérieur vers l’extérieur.
666. L’opposition peut, des fois, être constructive : L’arc-en-ciel s’affiche, toujours, dans la direction opposée au soleil.
667. Les mains se serrent, les pieds non.
668. Pour courir vers l’arrière, aussi vite que vers l’avant, il faut faire demi-tour.
669. L’Homme aime, toujours, aller de l’avant sauf dans l’obscurité où il préfère s’arrêter.
670. Qui doit aimer, se prépare aux amertumes.
671. L’évidence ? Ce n’est pas facile c’est évident !
672. Il faut savoir se retirer lorsque la présence devient pesante.
673. A tout seigneur dans le ravage, tout honneur dans le combat.
674. La lumière et l’eau s’accordent pour traverser toute fissure.
675. Que le verre soit à moitié vide ou à moitié plein, c’est le cadet de mes soucis si je ne peux même pas voir ce qu’il y a dedans !
676. Le temps travaille, toujours, contre l’équilibre et la neutralité.
677. L’être en devenir, qu’est l’enfant, se construit dans une dialectique entre l’affirmation progressive de soi et l’appui sur l’altérité fondatrice des figures parentales, jusqu’au seuil de l’adolescence où s’opère la synthèse de son individuation.
678. La présence et l’entente des parents conditionnent l’épanouissement et le bonheur de l’enfant.
679. La première victime d’un homme en colère est lui-même.
680. Homme : Etre vivant de l’Univers de taille insignifiante et d’esprit grandissime.
681. La vie est une succession de tunnels que nous traversons, chaque entrée dans la pénombre étant une promesse de retrouver la clarté.
682. Le principe de l’union, comme source de puissance, trouve son expression dans deux finalités opposées : chez l’animal, dans la quête de subsistance ; chez l’homme, dans l’entreprise de sa propre destruction.
683. Cours et jette ta courgette, on te guette !
684. Dois-je continuer mon sommeil. Epuisé par les soucis de la vie. Et puis, n’ai-je donc pas envie. Alors que ma vieillesse y veille ?
685. Emporté et à demi-endormi J’entends, au loin, le cri du fennec Mêlé au sirocco qui le tient en échec Pour me réveiller, soudain, par une fourmi
686. Allongé sur le sableLes mains sur le cœurJe savoure le bonheurD’une soirée mémorable
687. N’a pas à gémir celui qui s’autoflagelle.
688. La rivière qui se perd finit, toujours, par retrouver son cours.
689. La vie de l’Homme, sur cette Terre, se résume à la survie de l’Espèce pour qu’elle accomplisse sa seule mission d’adorer Dieu, son Créateur.
690. La conscience est au libre arbitre de l’Homme ce que les feux tricolores sont à la circulation routière.
691. Pour prendre le train en marche, il faut courir après.
692. Je rêve tant que je n’arrive plus à me réveiller.
693. Les certitudes de la Vie : un début et une fin. Avant et après attestent, sans conteste, l’existence de Dieu.
694. L’ordinateur ne connaît pas l’hypocrisie : Il marche en Vrai ou Faux uniquement.
695. Aujourd’hui, ce qui est normal, c’est de vivre dans un monde anormal.
696. Dans ce monde d’aujourd’hui, l’homme se fait apprécier beaucoup plus par ses pieds que par sa tête.
697. La vie n’est qu’un transit pour l’Homme qui sort du Néant pour être citoyen du Royaume des Poussières.
698. Au bout de mon âge Qu’aurais-je trouvé ?Des rides plein le visage Et des douleurs ravivées.
699. Sur les terrains verdoyants du destin, les peuples ont semé les graines d’un avenir plus serein, où les clameurs guerrières laisseront place aux chants des supporters enthousiastes.
700. Les mathématiques sont à la science ce que l’acier est au béton.
701. Sans la science, l’Homme n’aurait pas asservi la Nature.
702. Si la peur doit être l’ennemi de l’Homme, elle peut, aussi et souvent, être son amie.
703. Dans la Vie, tout ce qui meurt afflige.
704. Au bout de mon âge Qu’aurais-je trouvé ? Une âme en attente de voyage Et un corps éprouvé
705. Tout ce qui est sur la Terre, un jour et pour toujours, doit se taire.
706. Tous les problèmes de la Vie ont leurs solutions, sauf la Vie elle-même.
707. Tout est beau dans la Création ; l’Homme, avec ses capacités limitées, n’étant pas en mesure d’en apprécier toute l’étendue.
708. Tellement la vie est éphémère qu’elle est belle !
709. La nostalgie ? Comment peut-on faire fi d’une partie de sa vie ?
710. La rivière est trouble, elle peut ne pas l’être depuis sa source.
711. Si je dois classer mes amis, qui peut me prendre la première place ?
712. Si les vices devaient être classés, qui devancerait l’hypocrisie ?
713. Pour ruisseler, la rivière sait choisir ses descentes.
714. L’Homme est d’une complexité déconcertante qu’il frôle la simplicité !
715. Il faut respecter son semblable pour qu’il vous respecte.
716. Pris de colère tel un volcan qui se réveille et bâille tout son soûl !
717. Tous les fleuves de la Terre, ne font pas déborder les mers.
718. La vie de l’Homme sur Terre : Il vaut mieux taire l’avis !
719. L’Homme est embarqué dans la Vie, ce véhicule en pilote automatique, dont il ne peut voir, à travers la lunette arrière, que ce qu’il a dépassé.
720. L’esprit hautain marche avec des béquilles.
721. Semer et s’aimer attendent, toujours, une récolte.
722. Avec un ami, on a toujours raison, même quand on a tort ; avec un ennemi, on a toujours tort, même quand on a raison !
723. Vaquez à votre vie, nous vaquons à la nôtre.
724. La pensée s’appuie sur la conscience pour réfléchir, observer et interroger.
725. Je me fatigue à me répéter qu’il ne faut pas trop penser.
726. Tout le monde tient à la Vie malgré que la Vie ne tient à personne.
727. Beau temps qui dure, la vie est dure : Vivement la pluie !
728. La liberté aveugle annihile la raison de l’Homme et le renvoie vers le monde animal.
729. La Vie coure derrière certains Humains et d’autres lui courent après.
730. Je n’étais rien, je suis tout, je ne serai rien !
731. Chers concitoyens, faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais !
732. Lorsque la compétence fait défaut, l’extravagance s’affirme.
733. Pour affronter la vie, l’homme fort puise ses forces dans son for intérieur.
734. Plus fort que l’amour, la foi !
735. Si la chance te sourit c’est qu’elle t’a tiré au sort.
736. On ne marche sous la pluie qu’en l’absence de refuge.
737. Le bonheur ne s’offre pas, il est en chacun de nous.
738. Sous la contrainte, le respect dure le temps qu’elle disparaisse.
739. A l’image du serpent, plus on rase la terre et plus on est venimeux.
740. L’arbre ne bouge que sous l’effet du vent.
741. Les individus peuvent se tromper et les peuples aussi.
742. Heureux dans la vie, celui qui a, toujours, su rester en paix avec sa conscience.
743. La sagesse c’est un esprit positif qui interagit avec le Monde.
744. Dans la vie, il faut réfléchir, décider et agir pour échouer ou réussir.
745. Les parents, entre être et mourir, les enfants n’ont pas eu le temps de compter les années.
746. Les enfants, entre naître et grandir, les parents n’ont pas eu le temps de compter les années.
747. Condamné à subir la tyrannie du Temps, l’être humain se voit dépossédé de son propre corps, transformé malgré lui par cette puissance invisible qui le façonne sans qu’il ne puisse en saisir le mouvement.
748. Une main seule ne peut nourrir le monde, mais des millions de mains unies peuvent mettre fin à la faim.
749. De nos jours, le monde appartient à ceux qui se couchent tard.
750. L’Homme, être de privilège par essence, se voit assigner, dès le berceau, une inégalité de traitement entre ses membres, condamné à cultiver, jusqu’à son dernier souffle, une hiérarchie immuable entre ses mains et ses pieds.
751. Mon ombre infidèle, tu attends que le soleil se cache pour me faire fausse route
752. Dans une société, lorsque le matériel prime sur l’immatériel, sa décadence est latente.
753. Si la peur et le courage ont leur paroxysme, chez l’Homme c’est la mort.
754. La vie de l’Homme se décline en trois phases : La jeunesse insouciante, la vieillesse fléchissante et entre les deux l’adulte à l’avidité patente.
755. Les cinq sens de l’Homme n’ont pas l’exclusivité de l’exactitude de leur perception.
756. Au terme de son existence, l’Homme doit conforter ou confirmer qu’il n’est venu sur cette Terre que pour adorer Dieu, son Créateur.
757. Les cornes font le bœuf majestueux, mais c’est la ruse du lion qui fait le roi de la jungle.
758. La raison doit commander à l’Homme de n’entrevoir d’autre refuge de Dieu qu’auprès de Lui.
759. Ô vie, énigme insondable, à quelle source mystérieuse s’abreuve notre soif d’exister, dans ce désert d’incertitude ?
760. L’unique et noble mission que Dieu a assignée à l’Homme sur cette Terre est de L’adorer.
761. Par son imperfection, l’homme s’intègre dans la perfection de l’Univers.
762. Dieu crée ce qu’Il veut et autant qu’Il veut. Deux de Ses Créations concernent le règne des vivants : La Vie et la Mort.
763. Le présent est la jonction entre le passé et le futur qui marque l’instant zéro d’une évolution.
764. Rien qu’à l’idée d’élever la poule de chair me donne la chair de poule.
765. La vie ne s’arrête jamais et courir après n’est que chimère et peine perdue.
766. J’aime ceux qui n’aiment pas les gens qui ne m’aiment pas.
767. Le bonheur, c’est lorsque la Vie cesse de nous tracasser.
768. La paix est tributaire de son monde.
769. L’attente est la patience latente.
770. Qui court après la vérité sans regarder où il met les pieds, risque de se cogner le nez sur le mur de sa propre ignorance.
771. Tel un grain de sable sans domicile fixe, le bonheur est là aujourd’hui, demain il sera ailleurs.
772. Le Temps a, toujours, le dernier mot.
773. Créer le buzz ne doit pas être le fruit d’une intention trompeuse.
774. Lorsque le Soleil chasse la nuit, la Terre reprend vie.
775. Mon Dieu, Créateur de ce Monde parfait, donne-moi la capacité de le comprendre.
776. Lorsque la facilité est primée, l’intelligence est opprimée.
777. Autant la couleur a ses variantes, autant la douleur en a les siennes.
778. Lorsque le pouvoir manque au devoir, le chaos est à prévoir.
779. Le pragmatique amasse et le profane s’agace.
780. Vivre, c’est prendre conscience du non-Moi.
781. L’Homme meurt et se réveille autant de jours qu’il vit, sauf le dernier.
782. Pour se consolider, l’amitié est astreinte à surmonter les épreuves de la vie sans jamais pour autant atteindre le parfait équilibre entre deux personnes.
783. Pour trouver la rose de sa vie, il faut cueillir la plus belle du jardin et ne plus jamais changer d’avis.
784. La finitude de l’être, qu’il en ait une claire conscience ou qu’il la refoule dans les tréfonds de son esprit, demeure la source primordiale de sa détresse existentielle.
785. La Vie ? Il suffit d’y être pour être sûr de repartir !
786. Pour être entière, la beauté physique doit s’accomplir dans les trois dimensions de l’Espace.
787. Le lion derrière et le crocodile en face, il ne reste plus qu’à prier pour se réincarner en oiseau !
788. Au nom de Dieu, le Clément, le Miséricordieux.
789.      Dieu est Un, tout le reste est pluriel.
790.      Vous cherchez l’Absolu ? C’est Dieu !
791.      Dieu est tout ce qu’on ne peut imaginer.
792. Dans la vie, plus on partage et on abandonne ses idées, plus elles vivent et se bonifient dans l’esprit des autres.
793.      N’ayant pas de passé, la mort est le futur de la vie.
794.      Pauvre Humain, dès sa naissance la Vie le condamne à mort
795.      Il y a beaucoup dans une simple phrase.
796.      La sagesse se construit sur un corps qui prend conscience de ses limites.
797.      N’être qu’un être, tel un hêtre, aurait-il fallu naître ?
798.      Le bonheur a toujours été fugitif ; il n’a jamais élu domicile.
799.      La réalité se conforte, souvent, dans l’absurde : apprécier les qualités des uns par les défauts des autres.
800.      Dans le rapport des êtres au Monde, autant l’immobilité est source de paix et de concorde, autant le mouvement est à l’origine de tous les conflits et luttes de survie.
801.      Si vous n’avez rien à donner, offrez votre sourire.
802.      Pour certaines personnes, se lever le matin et trouver la maison du voisin d’en face au même endroit est une preuve que la Terre ne tourne pas.
803.      Faire fausse route au mal conduit à semer le bien.
804.      Plus fort que la haine : l’indifférence.
805.      A défaut de sublimer la beauté, on camoufle les défauts.
806.      Etre ou ne pas être, tel est le dilemme des instants de vie que l’hypocrite n’ose pas trancher, faisant semblant.
807.      Le cœur et la raison divorcent, quelquefois, sans raison.
808.      L’intelligence repose sur la conscience.
809.      Les apparences peuvent tromper : l’eau claire et limpide n’est pas forcément aseptique.
810.      Pour vivre heureux, il faut faire mille lieues et trouver un lieu à l’abri des yeux.
811.      En dépit de corps distincts, s’aimer c’est rapprocher deux âmes.
812.      Rien qu’un amas de questions sans réponses, telle est la philosophie de la Vie.
813.      Si vous voulez aller vers l’Infini, suivez, sans détour, deux droites parallèles.
814.      Petit à petit, la vieillesse prépare mon lit.
815.      Chaque jour qui se lève est une nouvelle page du livre de la Vie.
816.      Une absence se constate, toujours, par un déplacement, sauf la dernière de la vie.
817.      Dans cette Vie, aucune attente n’est perpétuelle.
818.      A raison, le temps donne, toujours, raison.
819.      Les gens doutent, certainement, de vos projets mais se convainquent, inévitablement, de vos réalisations.
820.      L’Homme est astreint aux trois étapes de la vie : faiblesse, force et faiblesse.
821. Le leader qui aspire à instaurer la paix dans la cité doit, avant toute chose, avoir su pacifier les tensions qui agitent son propre esprit.
822.      L’emballage sert à préserver et présenter les marchandises, il sert, aussi, à faire passer les mensonges.
823.      Arrêter la musique, je continue à danser au rythme de mon extase.
824.      Tout plaisir n’est complet qu’assorti d’un brin de mélancolie.
825.      Le monde est devenu un théâtre universel où chacun joue sa comédie.
826.      L’accent est à l’homme ce qu’il est à la lettre : il les différencie.
827. L’existence d’un symbole ou d’une institution ne présuppose pas l’adhésion universelle aux valeurs qu’ils représentent.
828.      Dans la vie, tout homme se construit une identité, le sol natal en est un principal composant.
829.      Je suis ce que j’aurais dû être.
830.      Si on ne connaît pas sa valeur, c’est qu’on n’en a pas.
831. L’évaluation éthique des actions d’autrui ne peut se faire à l’aune de leurs propres critères, mais doit s’ancrer dans les principes moraux que nous avons choisis comme boussole pour notre propre conduite.
832.      La vie est un livre que son auteur oublie, toujours, de clôturer.
833.      Etre en paix avec sa conscience, n’est-ce-pas le plus grand bonheur du monde ?
834.      Le cœur n’est qu’une chair où montent en chaire les êtres qui nous sont chers.
835.      Les mathématiques, c’est la philosophie des chiffres.
836.      Dans ce Monde il y a un peu de tout, mais dans un peu de tout il y a tout un monde.
837. Chez les uns et par leur absence, les défauts des autres sont appréciés comme qualités.
838.      Appartenir à tout le monde, c’est n’appartenir à personne.
839.      A contrario d’une course de durée où l’on part pour arriver, la vie est une course de compétition où l’on arrive pour partir.
840.      Au royaume des Vrais, le Faux est roi.
841.      Serrer, demande, quelquefois, de préciser le sens.
842.      Aimer peut s’accommoder, quelquefois, avec trahir.
843.      La colère trahit, souvent, la face cachée des gens.
844.      Cette illusion du temps qui passe, n’est autre que l’avancée de l’Homme vers le futur, sa fin.
845.      La meilleure des considérations est celle qu’on porte à soi-même.
846.      Mère, par la volonté divine, tes enfants te vouent une reconnaissance éternelle pour leur avoir donné naissance.
847.      Le cœur est habité soit par le bien soit par le mal mais jamais les deux à la fois.
848.      Quand le soleil disparaît, il charge la lune de nous refléter sa lumière.
849.      Accélérer le rythme, fait perdre le pas.
850.      Ne sort de son lit qu’une rivière en crue.
851.      L’innovation commence par la curiosité.
852.      Il faut faire du chemin pour prétendre le rebrousser.
853.      Mentir, c’est se manquer de respect.
854.      En mineur ou en majeur, la rivière aime balancer sur son lit.
855.      On ne fredonne que ce qu’on a déjà entendu.
856.      Le plus grand malheur de l’Homme est son libre arbitre.
857.      Le danseur et le musicien, une connivence affichée.
858.      Dans cette vie, nombreux sont les miracles, à commencer par moi-même.
859.      Entre voler et voler ou voler et voler, que choisirez-vous ?
860.      Merci Bon Dieu de me le rappeler, tout en moi témoigne de ma précarité.
861.      Cueillir quelques fruits sur un arbre renvoie au labeur de quelques mois.
862.      On a tendance à assimiler le noir à l’obscurité. Et pourtant sur le blanc on voit le noir et sur le noir on voit le blanc ; mais dans l’obscurité on ne voit ni le blanc ni le noir.
863.      Tous les Humains naissent d’un père et d’une mère, sauf Adam et Eve.
864.      Merci mes faux amis de me donner le courage et la patience de continuer.
865.      Qui regarde l’ennemi dans les yeux garde le dessus, qui se retourne vers lui court à sa perte.
866.      Si vous ne changez pas, le temps vous changera.
867.      Père, par la volonté divine, tes enfants te vouent une reconnaissance éternelle pour avoir été notre protecteur durant toute ta vie.
868.      Nul n’est plus sot que celui qui ne veut point comprendre.
869.      Le mal de mère pour l’absence d’une mère et le mal de mer pour la présence d’une mer.
870.      C’est aussi rare que la pluie sans nuages.
871.      Vivre sa vieillesse est une chance qui n’est pas donnée à tout le monde.
872.      Trop pardonner, c’est comme trop donner : ils se terminent, toujours, par un épuisement.
873.      La tendresse est à la mère, ce que la brise est à la mer.
874.      Quelle belle métaphore que de rapprocher l’unicité de la mère et la pluralité des enfants avec l’unicité de Dieu et la pluralité des créatures.
875.      En quittant la vie, on emporte, toujours, avec soi quelques questions sans réponses.
876.      De nos jours, même l’amitié se fait coter en bourse : la valeur d’un ami fluctue en fonction du temps, des circonstances et des intérêts.
877.      Vieillesse et Temps se donnent la main et gambadent, tranquillement, vers l’Eternité.
878.      Sans présent, il ne peut y avoir ni passé ni futur.
879.      Traverser mes champs pour écouter mes chants, n’est-ce-pas méchant ?
880.      Tant que la terre tourne, il y aura du temps.
881. Le moustique, dans son existence toute entière, incarne le triomphe de l’air sur la terre, ses ailes le portant sans cesse, tandis que ses pattes demeurent des vestiges inutiles d’une vie rampante qu’il a transcendée.
882.      Il faut se munir d’un parachute si on aime prendre de la hauteur.
883.      La vie n’est qu’un transit entre deux ventres : celui de la Mère et celui de la Terre.
884.      Pour le passé, le présent est son futur. Pour le futur, le présent est son passé.
885.      Courir après son imagination n’est que chimères et peine perdue. Il n’y a que la réalité qui, tôt ou tard, arrêtera la course.
886.      La vérité absolue est du domaine divin. Celle, relative, est restituée par la conscience humaine.
887. Telle une danse rythmée, les jours de labeur s’enchaînent sur le tempo du ‘di’ final, jusqu’à ce que le dimanche, tel un danseur étoile, exécute son pas de deux inversé.
888.      Grimper à une échelle, c’est encourir des risques latents de chute.
889.      Le présent assure l’éternelle jonction et vogue entre le passé et le futur, jusqu’au jour où le Bon Dieu décidera de replier l’Univers.
890.      Quand les gens mentent, ils restent proches de la réalité.
891.      Dites-moi Monsieur le Loup, quel est votre pseudo sur les réseaux sociaux ? – Agneau.
892.      Trois hommes ont toujours émergé dans la vie d’une femme : le père, l’époux et le fils.
893.      Ah le temps, je n’ai pas le temps de le définir !
894.      Le temps veille toujours à ce que chaque rivière reste dans son lit.
895.      Tout compte fait, que suis-je venu faire dans cette vie ?
896.      Vivre pour mourir ou mourir pour vivre : devant la brièveté de la vie, on est tenté de croire qu’on meurt pour vivre l’Eternité.
897.      Qui, mieux que la roue, pouvait pousser aussi loin le progrès scientifique et technique de l’Humanité ?
898.      Trois femmes ont toujours émergé dans la vie d’un homme : la mère, l’épouse et la fille.
899.      Dans ce monde, l’intelligent est celui qui est conscient qu’il ne l’est pas et qu’il doit, toujours, se surpasser pour s’en rapprocher.
900.      Qui sème la politesse, récolte la considération.
901.      Si vous cherchez le bonheur, n’allez pas trop loin, il est juste autour de vous.
902.      Quiconque s’évertue à donner des leçons à autrui doit commencer par se les appliquer.
903. Ô Rose éphémère, ta beauté s’est étiolée dans les bras de l’infini, tes pétales emportés par le souffle impitoyable du temps, retournant à la poussière originelle.
904.      Le rêve fait, souvent, fausse route à la volonté.
905.      La couleur vair d’un ver dans un verre ne peut virer vers le vert.
906.      Il suffirait de presque rien, d’un petit clic ou d’un petit lien, pour qu’en ligne, je te dise : « mon ami .
907.      Ne pas connaître son père, c’est manquer un mot à son lexique : papa.
908. Juger autrui de fou, c’est prendre le risque d’être soi-même taxé de raison.
909.      A tous les pères, la vieillesse vous accorde une faveur : vous serez tous des beaux… pères.
910. Une âme authentique est comme une eau pure qui apaise notre soif de confiance, sans que nous ayons à quémander les preuves de sa limpidité.
911.      L’expression faciale est la plus sincère des communications de l’Humain.
912.      Une vie sans mère est une mer sans vie.
913. Face à la Beauté divine de la Nature, l’Homme oscille entre participation active et contemplation passive, entre immersion créatrice et distanciation esthétique.
914.      Jurisprudence humaine, le mal est, souvent, prédisposé à l’emporter devant le bien.
915.      Tout ce qui est faux ne produit point : les faux rires des réseaux sociaux ne donnent guère les fous rires.
916. La vie, on y arrive avec pleurs et cris et on en part, calmement, en rendant le dernier soupir.
917.  La meilleure façon de riposter, c’est de ne pas riposter.
918. Bien loin la douceur du son du mur que la déflagration du mur du son.
919. Nul ne peut forcer son corps à vivre en-dessous de son âge.
920. Semez le bien, même si vous ne récoltez rien.
921. La jalousie vivra jusqu’au jour où il restera un seul homme sur cette Terre.
922. L’opposition n’est pas, de nature, contre-productive : l’avion décolle et atterrit, toujours, face au vent.
923. Les projets divins se réalisent au présent, ni avance ni retard.
924. La pomme d’Adam, visible chez les hommes, invisible chez les femmes, discrimination, dites-vous ?
925. C’est dans le silence qu’on se dit certaines vérités.
926. Vous tendez la main à deux personnes : la vraie vous tend la sienne, la fausse vous mord les doigts.
927. L’argent ne fait pas le bonheur mais fait la différence.
928. Faut-il démontrer que l’écho ne s’est pas interverti ?
929. La conscience n’aime pas le bruit, elle se réveille dans le silence.
930. J’aurais baigné dans le bonheur si les doigts de mes mains avaient la même longueur.
931. Plus fort que l’absence d’une mère, c’est ne pas la connaître.
932. Rien ne sert de courir si on ne sait pas où aller.
933. Le soleil n’aime pas qu’on le fixe des yeux.
934. Donner doit être agréable pour celui qui reçoit et non de le faire se sentir petit.
935. On ne donne que de ce qu’on a de meilleur.
936. Le Monde bouge, mais… dans le mauvais sens
937. L’attraction entre deux êtres, force mystérieuse et implacable, semble obéir à des lois aussi rigoureuses et universelles que celles qui régissent la danse des astres dans le ballet cosmique de la gravitation.
938. Miroir et obstacle, dispensateurs d’images et d’échos, sont-ils les messagers fidèles de la réalité, ou les artifices trompeurs qui voilent la vérité de l’être derrière leurs reflets illusoires ?
939. La ruelle est propre, nul doute que tous les riverains ont dû nettoyer devant chez eux.
940. A force de s’abaisser, on finit par avoir le dos voûté.
941. Ne pas connaître sa mère, c’est manquer un mot à son lexique : maman.
942. Le rire, miroir de la condition humaine, ne jaillit que lorsque l’être se dévoile dans sa nudité existentielle, offrant à l’autre le reflet de sa propre absurdité.
943. Continuer à errer vers l’inconnu si les leçons de la vie ne sont pas apprises.
944. Pourquoi faire le tour de la Terre pour se retrouver au même endroit ?
945. Si l’Homme est éphémère, c’est que le Monde, dans lequel il vit, l’est aussi.
946. Pour la Terre les nuages sont, toujours, un dilemme : amener la pluie ou masquer le soleil.
947. La haine, antichambre de la trahison, révèle la noirceur de l’âme qui, consumée par son fiel, sacrifie toute loyauté sur l’autel de sa rancoeur.
948. Pour se repentir, tous les chemins mènent à La Mecque.
949. La paix existe toujours, même entre le marteau et l’enclume, si personne ne soulève le marteau.
950. La Terre ne se fait pas de soucis : vous pouvez monter ou descendre, vous reviendrez, toujours, à sa surface.
951. Face à l’absurdité apparente du Monde, le philosophe, étonné, s’interroge : est-ce la folie de l’Être qui se révèle, ou la sienne propre qui s’abîme dans l’incompréhension du réel ?
952. Trop mûrir, finit par tomber.
953. Telle une proie convoitée, le pouvoir attise l’instinct de domination de l’homme politique, qui s’en saisit avec l’avidité d’un prédateur assouvissant sa faim.
954. La Vie est un éternel recommencement ; ma vie est un éphémère recommencement.
955. Un ami proche est plus utile qu’un frère éloigné.
956. L’empathie, boussole de l’action juste, nous invite à éprouver le monde depuis l’altérité, pour mieux mesurer la portée de nos gestes et en prévenir les ondes de choc.
957. Je n’ai vécu que par la volonté divine et je ne partirai que par Elle. La vie est, des fois, sublime mais des fois elle est cruelle.
958. Le Néant est absolu. L’Eternité est absolue. En créant ce Monde éphémère, Dieu l’a doté de la relativité du Temps.
959. Semez l’amour pour vos parents et récoltez-le de vos enfants.
960. Les ennemis restent attentifs à nos activités plus que les amis.
961. A contre-courant de chaque rivière, se trouve sa source.
962. Ne pas se fier aux apparences : autant l’eau est limpide et neutre, autant l’acide est limpide et corrosif.
963. Entrez dans un tunnel et le soleil vous attend à son bout.
964. Une faute est commise pour être endossée.
965. L’hypocrite aime se dépenser à concilier le feu et l’eau.
966. La folie se décline par longue durée ou par intermittence.
967. Ne pas avoir de vertiges, demande de ne pas monter trop haut.
968. Douter de l’évidence ne retourne qu’un affront.
969. La lune joue, toujours, à double face : éclairée ou obscure.
970. L’intelligence s’accommode peu avec la belle écriture.
971. Il faut être irréprochable envers sa famille pour espérer l’être envers autrui.
972. En dehors de la maladie, quelle belle relation de confiance entre deux humains lorsqu’on offre sa tête au coiffeur pour couper… les cheveux.
973. Dame Nature a la chance de revivre son printemps. Quant au mien, il fut un temps.
974. On perçoit les images du monde qui nous entoure avec les yeux. Reste à se demander comment nous arrivons à lire les images issues de notre mémoire ?
975. Tenir ! Il faut tenir contre les forces du mal !
976. Toute défaite prépare la victoire.
977. L’ambitieux sait s’abaisser pour mieux gravir les marches du succès.
978. Le secret a toujours été condamné à être gardé sans que personne ne le défende.
979. A contrario d’une vieille machine qu’on peut retaper à neuf, le corps humain n’accepte pas le changement d’organes et tombe en décrépitude.
980. La raison voudrait que l’ami de l’ennemi soit un ennemi.
981. La vie, on court toujours après. Sage et heureux celui qui saura s’arrêter.
982. Tout a une fin, plus fort aujourd’hui plus faible demain.
983. Fier pour un cœur qui bat et se bat pour ne jamais s’abattre.
984. Le mal se complaît, souvent, à se déguiser en bien pour duper les inconscients, les insouciants et les crédules.
985. Derrière chaque grand homme se cache une mère.
986. Il faut savoir quitter la piste lorsque les jambes ne supportent plus.
987. La guerre n’est jamais concomitante, elle est toujours déclenchée par une des parties antagonistes.
988. Merci vieillesse amie de m’accompagner jusqu’à mon dernier soupir.
989. Autant l’Homme est maître de son espace naturel, avec ses trois dimensions, autant la seule et unique dimension du temps lui échappe complètement.
990. Interné et heureux ou libre et malheureux, c’est le un avant le deux.
991. En voulant imiter le canari, le corbeau a fini par croasser.
992. L’obscurité est la négation de la lumière, la lumière est la vie.
993. Les mains ne servent pas uniquement à tenir, mais aussi à guider.
994. A force de risquer sa vie, on finit par la perdre.
995. On n’apprend pas à nager sans se mouiller.
996. La danse ne peut s’exprimer qu’au rythme de la musique.
997. Le rêve a toujours eu peur de la réalité, il se cache dans le sommeil.
998. Le bonheur n’aime pas l’argent.
999. L’ombre ne se manifeste que lorsque le soleil est entravé.
1000. Chez l’homme, exhiber sa force n’est que le réveil d’un instinct animal inné.
1001. Philosopher c’est disserter sur le facile pour le rendre difficile et le difficile pour le rendre facile.
1002. La mélancolie est le contrepoint nécessaire du bonheur, l’ombre qui en rehausse la lumière, tout comme l’épice est l’accent qui sublime la cuisine.
1003. La guerre, certains la décident et d’autres la subissent.
1004. Ne peut sentir l’absence d’une mère que celui qui l’a perdue.
1005. L’Humanité est si fragile que son destin se joue à portée de main.
1006. Mon enfant, la vieillesse me rattrape, mais si tu dois m’aimer, sache que mon amour pour toi n’avait et n’a d’égal que celui que tu as pour ton propre enfant.
1007. En doutant du doute, je fais l’expérience de ma liberté absolue et de l’absurdité fondamentale de l’existence.
1008. Lorsque le sort de l’Humanité se négocie entre quelques fous, il faut s’attendre à tout.
1009. Creuser des puits finit, souvent, par tomber dans l’un d’eux.
1010. Tu cherches l’évidence ? Je pense qu’elle a pris ce chemin !
1011. J’ai toujours fui le pays où j’avais tout sauf ma dignité pour celui où je n’ai rien sauf ma dignité.
1012. Mes rêves et mes cauchemars, je n’y suis pour rien.
1013. Pour flotter sur l’eau il faut apprendre à nager.
1014. Il faut toujours un point d’arrêt pour avancer ou reculer.
1015. La raison ne doit pas, toujours, avoir raison.
1016. Ce Monde repose sur un équilibre de rapports de forces.
1017. Lorsque les yeux manquent à voir, les mains prennent la relève.
1018. Cher égo, toujours égaux, mais des fois amis des fois ennemis, au gré de la vie.
1019. Tous les chemins mènent à Rome, mais l’un d’eux permet d’y être rapidement.
1020. Au réveil de chaque matin, je suis vivant, j’ouvre les yeux et c’est mon      premier bonheur du jour.
1021. La guerre, on aime et aimerait toujours la faire,–Avec épées, lances, chars ou nucléaire,–A portées réduites, localisées ou toute la Terre,– Pour le grand bonheur de quelques détraqués militaires.
1022. Du virus au nucléus, doit-on descendre au terminus ?
1023. Tout le monde tombe, mais peu se relèvent.
1024. Désolé maître de m’être emporté car il fallait mettre le mètre ruban dans son boitier.
1025. L’Homme vogue sur le cours du temps, sa vie est un segment de droite dont une extrémité est fixe et l’autre mobile. Il ne peut, cependant, jamais en connaître la longueur.
1026. L’ombre renseigne toujours sur la position du soleil.
1027. Le silence est le premier message du jaloux.
1028. La raison du plus grand nombre n’est pas toujours la meilleure.
1029. Chaque matin, la vieillesse ne cesse de rappeler que la vie reste suspendue à un seul jour sans lendemain.
1030. Le bleu ciel n’est pas toujours l’apanage du ciel.
1031. Sortir de la misère maintient, souvent, l’esprit misérable.
1032. L’espoir est l’horizon du pauvre.
1033. Aussi haut qu’on se voit, on ne dépasse jamais sa taille.
1034. Qu’importe le flacon, pourvu qu’on étanche sa soif.
1035. Entre naître et renaître n’y a-t-il que mourir ?
1036. Le sort de notre civilisation, comme toutes les devancières, est scellé par un suicide latent.
1037. Courir après la vie, stimule l’envie.
1038. L’espoir et le désespoir se rejettent mutuellement.
1039. L’homme, navigateur précaire entre Bien et Mal dans un monde relatif, verra sa raison faillible causer sa propre perte ; son savoir limité, source d’erreurs fatales, scellera son inexorable extinction.
1040. Il n’a fallu que le saut d’un sot pour renverser le seau et briser le sceau.
1041. L’extension de notre existence, loin d’être une bénédiction, pourrait se révéler un fardeau, nous confrontant à l’épuisement inéluctable de notre désir et de notre élan vital.
1042. La politesse et la simplicité se sont, toujours, données la main.
1043. L’égoïsme et la jalousie naissent dans la proximité.
1044. Au bout des doigts, l’écran tactile, tellement utile, emporte intelligent et débile vers le pertinent et le futile.
1045. Pour être beau, Monsieur du Corbeau voudrait bien changer de manteau.
1046. Bien et Justice, complices éthiques, se concertent sporadiquement pour élire ceux qui, par leurs actes, graveront leur humanité exceptionnelle dans le marbre de l’Histoire.
1047. Le simple glissement d’un doigt sur l’écran d’un smartphone, ouvrant les portes infinies d’Internet, peut suffire à nous faire sombrer dans un abrutissement numérique, où notre esprit se perd dans les méandres d’une virtualité envahissante.
1048. Qu’auraient fait les dictateurs s’il n’y avait pas la mort ?
1049. Deux paupières suffisent pour s’empêcher de voir, mais il faut deux mains pour s’empêcher d’entendre.
1050. L’âme habite le corps sans avoir la bienveillance de lui signifier ses dates d’arrivée et de départ.
1051. L’exagération mène toujours au ridicule.
1052. La vie nous donne les amis et les ennemis qu’on mérite.
1053. Le silence est la première manifestation de la jalousie.
1054. Aussi raide que soit la montée, mon thé se doit d’être monté.
1055. Notre Terre nous attire et nous aime tellement qu’elle ne veut point nous laisser flotter.
1056. Qui, mieux que Dame Nature, fascine autant l’âme humaine ?
1057. La vie est un éternel recommencement, sauf que le temps, lui, ne recommence pas et fuit.
1058. La solitude et la tristesse engendrent, souvent, l’inspiration.
1059. Ma foi, la perfection divine, on la voit, chaque instant, à travers la Création. On la vit et on la sent, même, en nous, dans notre corps, où tout est parfait ! Gloire à Dieu !
1060. Non ! Le fini ne peut pas expliquer l’Infini.
1061. Le bonheur me cherche et ne me trouve pas.
1062. Le temps, implacable adversaire de l’existence humaine, érodant inexorablement l’être, exige une vigilance constante pour ne pas succomber à son emprise dévorante.
1063. La vie est un voyage avec obligation de l’aller et du retour et gratuité des billets.
1064. A force de persister à vouloir le tout petit peu, on risque d’y laisser le tout.
1065. La vie est une embarcation qui vogue au gré des vents et des courants, heureux celui qui la mènera à bon port.
1066. L’au-delà ? On y va à la vitesse de la lumière, il suffit que le cœur s’arrête.
1067. Aussi lourd qu’on se croit, on ne pourra jamais dépasser son poids et n’eût été l’attraction terrestre, on flotterait.
1068. Elle fait réagir le corps aux événements du passé, l’âme humaine remonte le Temps.
1069. Naître pour mourir, valait-il la peine ?
1070. La paix, horizon inaccessible pour l’humanité déchirée, ne trouve-t-elle sa réalisation ultime que dans l’étreinte silencieuse et égalisatrice de la mort ?
1071. La vie, on y entre comme on en sort, les mains vides.
1072. La bassesse n’est pas innée, elle s’acquiert.
1073. La grandeur de l’homme s’accomplit dans sa petitesse.
1074. L’être humain, dans sa condition existentielle, est toujours à la fois riche et pauvre, possédant et manquant, dans une dialectique sans fin.
1075. Le fini ne pourrait jamais engendrer l’Infini.
1076. Entre amis, les vrais sont ceux qui reprennent l’initiative du contact après une brouille.
1077. Une mère, c’est un don de Dieu.
1078. Perfection et imperfection, indissociables dans leur quête ontologique, forment un dilemme insoluble au cœur même de l’être.
1079. Se rappeler, ce n’est autre qu’oublier d’oublier.
1080. Au fait, ne suis-je pas éternel, avec une première vie parmi les vivants et une deuxième parmi les morts ?
1081. Le calendrier divin entame le compte à rebours dès le jour de naissance.
1082. Dans l’inexorable danse de l’existence, le bien et le mal, loin d’être des absolus immuables, s’entrelacent et se renforcent mutuellement, tels des adversaires intimes dont l’opposition même est garante de leur vitalité.
1083. On ne vit que pour mourir.
1084. En solitaire, on est toujours à deux ; Soit avec soi-même, soit avec le Bon Dieu.
1085. Vieillir et le Temps doit achever sa besogne.
1086. Pour se brouiller l’esprit, il faut essayer de comprendre ce Monde.
1087. Une affirmation peut être vraie si on démontre que son contraire est faux ; c’est logique, non ?
1088. Manteau blanc d’hiver couve tapis du printemps vert.
1089. Les infinis peuvent, des fois, s’affronter et la victoire n’est pas toujours du côté auquel on s’attend.
1090. Avec des peines qui durent, la vie n’est que dure.
1091. Plus l’individu s’élève dans la hiérarchie sociale, plus il se trouve écrasé sous le poids des attentes et des responsabilités, inversement à la loi physique qui veut que la pression diminue avec l’altitude.
1092. Dans la vie, il y a trop de pourquoi qui n’ont pas de réponses.
1093. Toute brûlure peut venir du chaud, comme elle peut, aussi, venir du froid.
1094. Dans la nature humaine, les aspects positifs et négatifs, loin de s’opposer irréductiblement, coexistent et s’entremêlent en une danse complexe et paradoxale.
1095. La sagesse de l’Homme mûrit avec son âge.
1096. Tous les instants de vie nous appartiennent, sauf celui du retour vers l’Eternité.
1097. Premier et dernier, duo indissociable dans la danse de l’existence, s’unissent en une harmonie complémentaire pour embrasser la totalité du cycle vital, de l’inachevé à l’accompli.
1098. Bien voler au secours des gens que voler leurs biens.
1099. Mieux vaut se rapprocher du riche qui s’appauvrit que du pauvre qui s’enrichit.
1100. Le miroir, reflet trompeur de la réalité, inverse l’ordre apparent des choses, révélant ainsi l’illusion de notre perception et la relativité de toute vérité.
1101. L’avènement de l’être, fusion sacrée du maternel, du temporel et du spatial, scelle à jamais l’amour unique qui l’unit à ces trois matrices originelles.
1102. Quelle que soit la force, le nombre peut en venir à bout.
1103. Dans la vie sociale, le poids d’une entente entre deux parties est, toujours, supporté différemment par l’une et par l’autre.
1104. Les lois de la nature s’accordent, toujours, à rompre un équilibre établi.
1105. La vieillesse est la tranche de vie où les verbes se conjuguent beaucoup plus au passé et très peu au présent, le futur étant réservé pour la tranche de l’au-delà.
1106. Le meilleur moment pour se taire, c’est lorsqu’on est en colère.
1107. Tout est relatif dans ce monde créé par l’Absolu.
1108. Les yeux trahissent, souvent, ce que dit la bouche.
1109. J’aime tant laisser mon amour très fort pour ma mère à toutes les Baya du monde.
1110. Je prédis qu’on ne va jamais nous entendre ! Et moi aussi, Monsieur ; vous voyez qu’on peut, des fois, nous entendre.
1111. La perfection appartenant au Créateur, toute créature imparfaite est parfaite.
1112. Ephémère et fini me commande ma pleine soumission à l’Eternel et Infini.
1113. L’immobilité, essence du règne végétal, enfante une harmonie sereine ; la mobilité, apanage de l’Homme et de l’Animal, engendre le tumulte existentiel qui les tourmente.
1114. L’Eternité ? Tous les chemins y mènent, sans retour.
1115. La Vie, on y arrive et on en repart lorsque nous sommes les seuls à discerner et répondre à une voix céleste qui ne fait que répéter : au suivant !
1116. L’exclusivité d’une réflexion est le prélude à toute innovation.
1117. L’être humain reste perfectible mais pour être parfait c’est impossible.
1118. On ne meurt que si on a vécu.
1119. Les nuages ne nous sont jamais tombés sur la tête.
1120. Tel un rouage dans la mécanique implacable du vivant, l’Homme, asservi à l’instinct primordial, perpétue l’espèce, ultime finalité de son existence.
1121. Chaque jour, le réveil dans le monde des vivants, est un premier bonheur.
1122. Le père à son fils : « Je te lègue l’amour d’un père pour son fils, sois en garant !
1123. Tout ce qui sent bon présage un bon goût, question de bon sens, non ?
1124. Ma fille, je suis le premier homme à t’aimer et tu me porteras, toute ta vie, dans ton cœur.
1125. La vie n’est pas tellement belle dès lors qu’il faut endurer ses inévitables aléas.
1126. La foi repose sur la conscience de la mort.
1127. Le prestige ne va pas sans acrophobie.
1128. La finitude de l’Homme l’interpelle, à chaque instant, sur son Créateur Eternel.
1129. Naître ou ne pas naître, telle est la question !
1130. L’harmonie des esprits, idéal éphémère, se heurte inexorablement aux dissonances inhérentes à la condition humaine.
1131. Le cœur, souverain capricieux, règne en tyran sur les élans de l’être ; seule la raison, humble servante, peut tempérer ses ardeurs despotiques.
1132. Je viens du Néant et je dois y retourner !
1133. L’Inconnu ? C’est là où toutes les extrêmes se rejoignent.
1134. L’union fait la force, mais la force peut défaire l’union.
1135. L’oiseau vole pour jouir de sa liberté et l’homme vole pour s’en faire priver.
1136. Dans la vie, nous enchaînons, de notre volonté, les rendez-vous. Ponctuels pour les uns, en retard ou en avance pour les autres. Un seul et unique nous échappe : l’ultime rendez-vous avec la mort.
1137. La meilleure façon d’avancer est de ne pas reculer.
1138. Tel un parasite insidieux, l’ingratitude se nourrit de la générosité d’autrui, pervertissant le don en instrument de sa propre prolifération.
1139. Pour prétendre au respect des gens, il faut se respecter soi-même.
1140. Le bonheur ne se trompe jamais d’adresse.
1141. La dualité de la Nature, où s’affrontent le règne brutal de l’instinct et le refuge serein du végétal, reflète le choix existentiel qui s’offre à l’Homme : embrasser la violence du monde ou cultiver la paix intérieure.
1142. C’est dans la rencontre avec l’altérité féminine que l’homme trouve le catalyseur de sa propre transformation, s’élevant ainsi à une forme plus accomplie de lui-même.
1143. L’existence, suspendue à l’incertitude de chaque instant, s’interroge inlassablement sur sa propre pérennité, énigme insoluble qui laisse l’âme dans un éternel questionnement.
1144. Ce qui fait tourner la Terre, m’a toujours fait tourner la tête.
1145. Le juste milieu peut exister en toute chose, sauf entre le bien et le mal.
1146. Si on devait définir une affection par une intensité, qui pourrait égaler la compassion, la tendresse et le sacrifice d’une mère envers ses petits ?
1147. L’unique miracle de la vie, c’est la mort.
1148. Seul le miroir semble dire la vérité sans qu’il ne soit astreint à jurer.
1149. L’amitié, sanctuaire de l’âme, exige prudence et discernement : toute porte entrouverte, sans vigilance, expose au péril d’une confiance trahie.
1150. Sortir du troupeau attire les prédateurs.
1151. Se terrer et se taire pour une vie paisible que rien n’altère.
1152. L’essence féminine, bois nourricier, s’embrase au souffle ardent de l’homme, se consumant avec grâce pour qu’il resplendisse de mille feux, telle une torche éclairant les ténèbres de l’existence.
1153. L’insatiable appétit du prédateur, indifférent à l’essence de sa proie, révèle la nature aveugle et mécanique du désir.
1154. L’orgueil, illusion de grandeur, se heurte à la loi implacable de la Nature : plus l’âme s’élève, plus elle s’expose à l’asphyxie de sa propre vanité et à la chute inexorable vers l’humilité.
1155. Celui qui cultive la haine se condamne à une souffrance inévitable, en s’enfermant dans une prison mentale dont il est le propre geôlier.
1156. Une ombre peut en cacher plusieurs autres.
1157. Ainsi l’Homme s’inquiète sur ce qui l’attend après la mort et ne se demande pas où il était avant de naître.
1158. Le mensonge cherche, souvent, le voisinage de la réalité.
1159. Lorsqu’on n’a plus rien à attendre de la vie, la sagesse surgit.
1160. Au fil du temps, le Temps file.
1161. La jalousie recrute dans la proximité, les métiers et les professions.
1162. Qui n’est pas fier de soi-même, se sous-estime.
1163. L’existence, parenthèse éphémère dans l’infini du Néant, manifeste la volonté démiurgique de révéler la toute-puissance créatrice divine.
1164. A trop faire de calculs, on finit par se tromper.
1165. L’origine de la fugacité existentielle demeure insaisissable, à l’inverse du fleuve dont on peut remonter le cours.
1166. Au fait, c’est quoi un ami ?
1167. Pleurer: Des fois on ne sait même pas pourquoi.
1168. L’inspiration s’agite dans la rencontre de l’autre.
1169. Une parenthèse ouverte attend une parenthèse fermée.
1170. Si vous mettez un genou à terre, le deuxième suivra forcément.
1171. C’est au sommet de la gloire qu’il faut se retirer, sinon le temps vous rabaissera un jour.
1172. Toute œuvre humaine porte en elle sa rétribution.
1173. Toute question posée attend une réponse sauf celles qu’on se pose à soi-même.
1174. Tout le monde habite l’immeuble de l’intelligence, mais à des étages différents.
1175. De grâce Vieillesse, cessez de m’affaiblir, je ne pourrai vous contenir.
1176. La maternité est une manifestation de l’éternel féminin, un principe vital qui triomphe de la finitude et affirme la primauté de la vie sur la mort.
1177. Entre humains, la revanche la plus déroutante est de répondre au mal par le bien.
1178. Ce que le Bon Dieu a bien voulu que je sois, voilà ce que je suis et que j’accepte.
1179. L’enfantement, acte sacré, inaugure le temps humain : la mère, démiurge, précipite l’être dans le flux de l’existence.
1180. Au fait, c’est quoi un ennemi ?
1181. Toujours debout pour avancer.
1182. La Vie n’est qu’une brève interruption du Néant.
1183. Le bonheur, en fragments infinis, est en nous. Il suffit que la conscience affleure l’un d’eux pour qu’on le vive.
1184. Seul le silence offre à chaque interlocuteur le secret et la liberté de son interprétation.
1185. Le miroir réfléchit sans réfléchir.
1186. Je veux bien vous faire confiance ; encore faudrait-il que j’eusse eu confiance en moi.
1187. Mimer n’est pas propre au singe ; les humains en abusent.
1188. Sur le chemin de la vie, certaines personnes nous croisent juste pour qu’on corrige le nôtre.
1189. Prêter son argent contribue à se faire des ennemis.
1190. Le comble de l’ignorance est de croire faire mal aux gens alors qu’on leur fait du bien.
1191. Ô mortels, le Temps vous enjoint au détachement. Votre finitude est loi d’airain, nulle trahison en son abandon : embrassez votre condition d’éphémères, et transcendez l’illusion de permanence.
1192. La plus haute distinction terrestre ne peut venir que du Ciel.
1193. Si la honte ne vous hante pas, faites ce que bon vous semble.
1194. Miroir, révèle-moi la vérité de mon être. Dois-je me soumettre à l’emprise du temps qui marque mon corps, ou embrasser l’éternelle jeunesse de mon âme pour transcender ma condition éphémère ?
1195. Prendre le même ascenseur ne signifie pas aller vers la même destination.
1196. Le meilleur repos vient d’un effort.
1197. C’est pour aller de l’avant que l’Homme développe sa plus grande vitesse.
1198. Qui veut aller droit, se fixe une cible.
1199. Avec le temps, sagesse, philosophie et folie finissent par habiter à la même enseigne.
1200. Prodiguer la morale à autrui, encore faudrait-il jouir de la meilleure exemplarité.
1201. Des fois, la critique ou le blâme d’un ennemi nous rassure qu’on suit le bon chemin.
1202. Le Vieux termine sa vie,   Au théâtre de vie,    Sur un banc public,    Devant le grand public.
1203. L’existence humaine, dans sa fugacité, est un voyage entre deux rives éternelles : celle de la joie, qui accueille notre venue au monde comme une promesse d’épanouissement, et celle de la tristesse, qui nimbe notre départ d’une ombre mélancolique, reflet de l’empreinte éphémère que nous laissons sur ceux qui ont croisé notre route.
1204. Pour descendre une côte, il faut d’abord la grimper.
1205. Ah la vie ! Ce n’est autre que naître, devenir et mourir.
1206. La contemplation du Beau, dans ses manifestations infinies, élève l’âme vers l’absolu et lui permet d’entrevoir, au-delà des apparences éphémères, l’essence divine qui nimbe le monde d’un éclat intemporel.
1207. Qui veut grimper un arbre, commence par l’enlacer.
1208. La solution vient, toujours, après le problème.
1209. Le misérable ne perçoit le Monde qu’à travers sa misère.
1210. A toutes les mères, Vieillesse vous accorde une faveur : vous serez toutes des belles… mères.
1211. Le sage, à l’instar de l’arbre, accueille avec bienveillance la lumière de la vérité, tout en préservant une part d’ombre et de mystère, car il sait que la connaissance absolue est une chimère qui consume celui qui s’y abandonne entièrement.
1212. Au royaume des Faux, le Vrai peine à vivre.
1213. Dans l’absence de vos mots se loge l’essence de votre adhésion. Votre retenue, chers confidents, est le catalyseur invisible de mon élan.
1214. Où trouver la fontaine de la Chance, j’aimerais bien m’y abreuver ?
1215. Le mal a dit, ne jamais abandonner la maladie.
1216. A défaut de rire vrai, rions faux avec les réseaux sociaux.
1217. Pouvoir et vouloir ou vouloir et pouvoir, cela reste à trancher.
1218. Autant le chant des sirènes envoûte autant le son des sirènes effraie.
1219. La vieillesse persiste tant à fragiliser le corps humain que, par instant et pour délivrance, l’âme est acculée à l’abandonner.
1220. La science est à l’homme ce que la balle est au fusil.
1221. L’humanité a, de tout temps, blâmé le destin pour les aléas de l’existence, alors même que l’univers demeure immuable et indifférent à nos tourments, tel un astre impassible brillant d’une lumière éternelle.
1222. Quand une société place la culture au-dessus de toute autre considération, elle amorce inexorablement son propre déclin.
1223. L’hérédité n’est pas sélective : le bien peut enfanter le mal et le mal peut enfanter le bien.
1224. Comment faire du bien à autrui si on ne le fait pas à soi-même ?
1225. Se dépenser à justifier sa suprématie ne peut être qu’une marque de faiblesse.
1226. Tout humain commence sa vie par « je suis  et la termine par « il est .
1227. L’Homme, éternellement vulnérable, est condamné à une vigilance perpétuelle s’il espère préserver son fragile souffle de vie.
1228. Le travail crée la richesse, l’inverse n’est pas assuré.
1229. Dans la vie, le présent, on y arrive par un seul chemin. Repartir vers le futur demande à emprunter un parmi la multitude qui se décline.
1230. Le mouvement crée l’instabilité.
1231. Mon problème, c’est que je n’en ai pas !
1232. Pour s’orienter vers le futur, il faut connaître son point de départ.
1233. L’existence humaine est marquée par deux postures fondamentales : debout, l’Homme affronte la vie avec vigueur, puis allongé, il s’abandonne finalement à l’étreinte éternelle de la mort.
1234. Autant la richesse fait rêver le pauvre que la pauvreté fait cauchemarder le riche.
1235. Jeunesse ratée, vieillesse hâtée.
1236. Dans cette Vie, tout recommence sauf les Créatures.
1237. Parce que polluants, les ragots et les mégots ne doivent se retrouver qu’à la décharge.
1238. La personnalité de l’Homme vrai est une valeur intrinsèque qui n’est tributaire d’aucun facteur social.
1239. La mer, sans la mère, n’est qu’amère.
1240. A défaut de faire le bien, s’abstenir de faire le mal.
1241. La première croyance qui s’impose à l’Homme est de croire en lui-même.
1242. La sincérité sait choisir son camp : être en face d’un ennemi vaut mieux qu’une présence d’un faux-ami.
1243. Plus fort que la réalité : la foi.
1244. Les trois certitudes de la vie : la naissance, le décès et entre les deux, la certitude de n’être certain de rien.
1245. Sincère ou malicieux, le sourire de l’Humain reste, toujours, une question sans réponse.
1246. Quel bonheur d’écouter la tristesse chanter !
1247. Il vaut mieux ne pas agir devant le silence de l’absent.
1248. Trop franc, insolent !
1249. Impossible de donner des coups finit, souvent, par prêter le cou.
1250. Le fou s’affranchit des garde-fous et s’en fout.
1251. La Terre aime se taire lorsque gronde le tonnerre.
1252. A l’image du soleil, pour briller, il faut se consumer.
1253. Ce Monde est, tout simplement, compliqué !
1254. Vivre, c’est mourir.
1255. La Vie a besoin de se compliquer pour se rendre agréable.
1256. La meilleure preuve de l’existence de Dieu est de s’en poser la question.
1257. Être se cache, souvent, derrière Paraître, pour certains hommes.
1258. Les plateaux de la balance du respect entre deux personnes doivent, toujours, rester équilibrés.
1259. Dans la vie, l’horizontal finit, toujours, par avoir le dernier mot sur le vertical.
1260. Dès lors qu’il est gavé, le lion se prélasse voluptueusement, là où l’Homme, insatiable, continue de traquer de quoi satisfaire ses appétits.
1261. Tous les royaumes meurent sur Terre, aucun ne se prolonge dans l’Au-Delà.
1262. La loi de la jungle et l’anarchie n’ont qu’une seule adresse : trop de liberté.
1263. Si vous me cherchez, je suis toujours présent : réellement derrière votre horizon et virtuellement dans votre mémoire.
1264. La foi en Dieu délivre l’Homme de toutes ses peurs : telle est la Puissance Divine.
1265. En s’appropriant son « Soi , l’Homme a-t-il eu de la chance ? La question reste posée !
1266.  Le plaisir se cherche et se trouve dans la joie comme dans la tristesse.
1267. L’estime des autres commence par celle de soi.
1268. Pauvre squelette humain, il n’y a qu’à l’horizontale qu’il retrouve son repos.
1269. Une question posée c’est la moitié de sa réponse trouvée.
1270. Deux droites parallèles se rencontrent à l’infini et j’en reviens pour le confirmer !
1271. Pour descendre il faut monter et pour monter il faut descendre, telle est la logique de la Vie.
1272. Ne brille que ce qui est poli.
1273. Trop gesticuler mène au ridicule.
1274. Pour trouver le bonheur, il faut se lever de bonne heure.
1275. Ce n’est qu’une utopie de croire que ce qui a toujours été, finit par il ne l’est plus.
1276. A contrario d’une qualité qui se perd souvent, un vice perdure toujours.
1277. Pour les habitants de la Timgad antique, ville romaine d’Algérie, le secret du bonheur tenait en quatre mots : « venare, lavari, ludere, ridere. - chasser, se baigner, jouer, rire.
1278. Considérés par l’être humain comme un oiseau de malheur et un animal stupide, le Corbeau et l’Âne ont fini par comprendre que la vérité ne saurait être affaire de jugement.
1279. Une fois libre, l’opprimé se conduira comme son oppresseur.
1280. Le menteur oublie, souvent, ses mensonges.
1281. Pour faire le vide autour de soi, il suffit de prêter son argent.
1282. Homme, ne réfléchis jamais devant ta femme car elle bondit sur toute idée qui te passe par la tête !
1283. Par la grande porte, l’Homme peut entrer. La sortie n’est assurée que par la Volonté Divine !
1284.  Le Monde des affaires, pas de mystère, Ne connaît que les prix mais aucune valeur!
1285. La bêtise humaine désoriente : on ne sait plus si on doit la condamner ou se condamner soi-même.
1286. La Vie est un véhicule roulant sans arrêt et dont ne sait ni où, ni quand, ni comment il s’arrêtera.
1287. L’Homme n’est ni simple, ni complexe : il est divin !
1288. Dans ce Monde, tant que la faim feint d’arriver à sa fin, on ne dira, jamais, elle est vaincue enfin !
1289. L’Homme ne doit jamais s’oublier dans une tranche de sa vie, au risque d’être jeté dans la poubelle du Temps.
1290. De nos jours, on est beaucoup plus enclin à se faire de véritables ennemis que de véritables amis.
1291. S’épanouir pour s’évanouir, il y a un pv entre les deux.
1292. La sincérité est à l’amitié ce que le ciment est au mortier
1293. L’Au-delà, on y va tous sans que personne ne connaisse son verdict.
1294. La puissance de l’argent ne peut conduire qu’à la poubelle de l’Histoire.
1295. La fin de ce Monde ne peut venir que par sa déshumanisation.
1296. Si vous roulez, exagérément, vers le Sud, vous allez, inévitablement, vous diriger vers le Nord.
1297. L’Homme se suffit d’être sans raison, n’est-ce-pas sa raison d’être !
1298. Ne ressent la charge que celui qui la supporte.
1299. Les monstres font partie de la vie, y compris dans l’espèce humaine.
1300. Entre deux périodes de veille, on ne peut que dormir.
1301. Pourquoi me poser la question d’être ou ne pas être, alors que je suis et je ne serai plus.
1302. Aimer peut, des fois, être tellement intense qu’il se prolonge en haine.
1303. Pour attirer l’attention, certaines personnes se dépensent et gesticulent tellement sans aucune préservation pour leurs squelettes.
1304. Compagnon de la nuit, le meilleur oreiller pour s’endormir est une conscience tranquille.
1305. Le pouvoir des pensées n’est tangible qu’émanant des pensées du pouvoir.
1306. Le vent aime bien entraîner les arbres à danser.
1307. La Terre n’aime pas qu’on s’éloigne, à contre-sens, de sa pesanteur.
1308. Il faut tenir à la vie sinon la perdre en un clin d’œil.
1309. Sur les réseaux sociaux, la vérité est plurielle : chacun dit la sienne.
1310. Devant un miroir, on a tendance à nous juger défavorablement.
1311. Le seul problème d’un imbécile est qu’il n’en est pas conscient.
1312. Emporté par les eaux du fleuve, l’imbécile s’écrie : quelle fraîcheur !
1313. Pour être sincère avec ses semblables, il faut d’abord l’être avec le Bon Dieu.
1314. La roue de la fortune tourne, celle de l’infortune aussi.
1315. Pour certaines personnes, lorsque la morale est piétinée, le moral est à son comble.
1316. Ta beauté n’est palpable qu’avec mon cœur affectif.
1317. Je ne sais plus si je suis en avance ou en retard, mais ce qui certain c’est que je ne suis pas en phase avec ce Monde d’aujourd’hui.
1318. Le pouvoir des mots est bien plus percutant que les maux du pouvoir.
1319. Dans mon rapport avec le Monde, je préfère le regarder au lieu qu’il me regarde.
1320. Si Monsieur le Comte s’amusait à refaire les comptes, il en raconterait bien des contes.
1321. L’Humanité c’est beaucoup de choses mais c’est aussi la guerre.
1322. Savoir vivre, il faut vivre pour le savoir.
1323. Toutes les indépendances ne valent autant que celle que je n’ai pas pu arracher à ma Volonté.
1324. Ce n’est pas par ma volonté que je suis venu à la vie et ce n’est par elle que j’en repartirai.
1325. Notre modernité se soustrait à l’ascendant des relations fraternelles : l’empire des frères et sœurs décline au profit des liens de sang et de matrice.
1326. Pour se fondre dans l’hypocrisie, certains humains adaptent, souterrainement, la couleur de leur cœur.
1327. La pleine jouissance de la paix repose sur une sérénité de l’état d’esprit, une concorde sociale et une harmonie avec la nature.
1328. Celui qui n’a pas su tirer des leçons dans sa jeunesse, aura-t-il la clairvoyance d’en tirer dans sa vieillesse ?
1329. L’Homme doit se résoudre à se comprendre lui-même avant d’espérer la compréhension de ses semblables.
1330. A défaut de s’en convaincre, la sénilité nous rappelle, à chaque instant, notre vieillesse.
1331. L’égoïsme outrancier mène, souvent, à la trahison.
1332. Tellement c’est clair qu’on s’éclaire !
1333. La création de l’Univers atteste de la Puissance de Dieu.
1334. Impossible de m’en passer, et pourtant il n’est rien : mon héros le Zéro
1335. Une beauté sans imperfection n’est jamais parfaite.
1336. Si on est trop près du danger, il faut éviter de fuir.
1337. Qu’on soit pauvre ou riche, on peut s’évader dans l’imaginaire ; seulement pour les uns, le grand frisson c’est un bon repas, pour les autres c’est un aller simple vers la Lune.
1338. Bouger attire le danger !
1339. Interconnectés, l’intelligence, la conscience et le libre-arbitre confèrent à l’Homme sa suprématie sur le reste de la Création.
1340. La jalousie enfante, souvent, l’hostilité.
1341. L’hostilité se recrute dans la famille et l’amitié la plus proche.
1342. Une conversation entre deux personnes se concrétise, en fait, entre quatre interlocuteurs : deux directs qui s’échangent et deux secrets qui se jugent.
1343. Le mal, il ne faut jamais en prendre l’initiative mais seulement s’en défendre.
1344. Sur le long chemin de la vie, mon destin se promène.
1345. La pureté et l’impureté sont, toujours, ensemble, quelles que soient les proportions.
1346. Le vice est une maladie chronique inguérissable.
1347. Faire le bien pour le terminer par le mal ou faire le mal pour le terminer par le bien, votre choix ?
1348. Ne pas voir sa propre bosse, tout content, le chameau pense en avoir deux comme le dromadaire.
1349. La Nature est si belle parce que il n’y a pas de parce que.
1350. L’Homme perçoit la beauté de la Nature par la recherche et la projection des lignes médianes et des symétries résultantes de tout ce qu’il observe.
1351. Je détiens la solution d’un problème qui ne s’est pas, encore, posé !
1352. De nos jours, tout le monde peut être pris pour modèle, y compris les pauvres d’esprit.
1353. L’homme politique s’arrange, souvent, pour détenir la solution d’un problème qu’il se complaira à créer.
1354. Alors qu’une solution vient toujours résoudre un problème, l’épreuve d’examen est un problème créé à partir d’une solution.
1355. Le malheur chez certaines personnes est qu’elles sont chères à nos yeux mais ne valent pas grand-chose pour elles-mêmes.
1356. Rien ne sert de posséder le monde si l’on n’est pas en état d’en profiter.
1357. Malades de cœur, les ennemis et les faux-amis se sentent visés par tout ce qu’on écrit et on dit.
1358. Dans cette Vie, il n’y a que l’amour de Dieu pour Ses Créatures qui dépasse celui d’une mère pour ses petits.
1359. Si j’étais seul sur cette Terre, aurais-je été heureux ?
1360. Les hommes se dispersent, Internet les fédère.
1361. Le smartphone est un outil intelligent ; pourvu qu’il n’ait pas pris son intelligence à son utilisateur !
1362. Une addiction légale et à grande échelle ne peut être que la nomophobie, smartphone oblige.
1363. Le vol du mobile est le mobile du vol, la victime confuse et immobile.
1364. Les fauves n’attaquent que pour tuer.
1365. Avec le soleil, l’oiseau tient à se coucher triste et se lever gai.
1366. L’intuition est beaucoup plus marquée chez la femme que chez l’homme : égalité dites-vous ?
1367. Je n’ai et je n’aurai d’autre attitude que de me reconnaître, éternellement, créature devant mon Créateur.
1368. Merci ma Terre de me faire tourner avec Toi et ne pas m’abandonner à l’apesanteur !
1369. J’aime bien être que paraître.
1370. Tous les chemins, aussi sinueux soient-ils, mènent à bon port.
1371. L’expérience affiche, toujours, la vérité ; la théorie quelquefois.
1372. Le roi est mort, le Bon Dieu non !
1373. La guerre la plus difficile à gagner est celle qu’on doit mener contre soi-même.
1374. Le corps humain ne cesse de répondre aux sollicitations du cerveau jusqu’au jour de la rupture éternelle.
1375. Les verbes être et avoir ne se rapprochent pas souvent pour signifier la même chose : être en bonne santé ou avoir une bonne santé est une exception.
1376. La liberté ne se définit que par sa restriction.
1377. Haïr, c’est vouloir du mal, n’est-ce-pas ?
1378. Savoir sans savoir-être et savoir-faire, c’est l’instruction sans l’éducation.
1379. L’enseignant est tenu de transmettre à ses élèves, non seulement le savoir, mais aussi le savoir-être et le savoir-faire.
1380.  Avant de sauter, il faut, toujours, s’assurer de son point de chute.
1381. Avant de plonger, il faut, toujours, s’assurer de la profondeur de l’eau.
1382. Avant de boire, il faut, toujours, s’assurer de la potabilité de l’eau.
1383. Si le rêve subi nous échappe, le rêve voulu nous tend les bras.
1384. Mère, le respect que je te voue est tellement grand qu’il a associé toutes les femmes du Monde.
1385. Bien qu’ils n’aient pas tous une mer, les humains ont, cependant, tous une mère.
1386. Plusieurs chutes doivent survenir avant de maîtriser un équilibre.
1387. On gagne, on gagne, on gagne… jusqu’au jour où on perd !
1388. Depuis ma naissance, je ne me rappelle pas m’être aimé, vraiment, une seule fois.
1389. Toutes les femmes du Monde ne remplacent pas ma Mère.
1390. L’existence impose à l’homme d’agir sans répit. Si sa conduite est saluée par ses proches et conspuée par ses détracteurs, alors il a fait preuve de clairvoyance.
1391. Dans cette Vie, chaque Humain se construit son immeuble sur les fondations de son passé avec la certitude de ne jamais l’achever.
1392. J’ai, toujours, eu peur de ne pas avoir peur.
1393. Lorsque le courage et la peur n’arrivent pas à se départager, l’hésitation se manifeste.
1394. Je suis ton ombre, à toi de comprendre !
1395. De tout temps, les nuages ont dessiné des formes uniques sans qu’aucune ne ressemble à l’autre.
1396. Pousser la porte avec le pied, c’est que les mains sont occupées.
1397. Lorsque le menteur rencontre le sincère, il devient sincère sur le moment.
1398. La Vie ? Il suffit d’y être pour être sûr de partir!
1399. Pousser ou tirer une charge, le choix est à vous !
1400. Si on n’a plus de quoi rêver, c’est que la Vie nous a tourné le dos.
1401. Au nez-à-nez, deux opposants éternels : concave et convexe.
1402. Dans cette vie, le riche se complaît dans le convexe et le pauvre dans le concave.
1403. Le riche aimerait être pauvre pour ne plus craindre de le devenir.
1404. Mon souhait le plus cher est de ne pas en avoir du tout.
1405. Homme, tout ce que tu peux faire sur cette Terre est d’aller vers ton anéantissement !
1406. Il n’y a pas de fumée sans feu et de feu sans étincelle.
1407. C’est parce que tu es mon ami que je suis ton ennemi.
1408. Dois-je me délecter du beau ou m’abandonner à la beauté ? Je ne peux me résoudre.
1409. Les armes servent à faire couler le sang et les larmes.
1410. L’orage se fâche et gronde en déversant ses averses pour faire sortir la rivière de son lit.
1411. Le seul mystère de la Vie émane de ses deux extrémités.
1412. L’avant et l’arrière se confondent : il suffit de fermer le cercle.
1413. La vie durant, aucune considération. A titre posthume hommages, éloges et distinctions.
1414.  Vous cherchez la beauté ? C’est toute la Création !
1415. On n’est jamais aussi franc qu’avec soi-même.
1416. Le plus court chemin vers le bonheur est le contentement.
1417. Un jour non, un jour oui, ainsi va la vie.
1418. Mon seul bonheur, lorsque je m’adresse à moi-même, c’est que je n’ai pas besoin de jurer.
1419. L’inculte croit que la culture est un culte.
1420. Pour ne pas voir la vie en noir, s’accrocher au Bon Dieu et garder, toujours, l’espoir.
1421. La médiocrité aime s’allier avec elle-même.
1422. Chaque jour, il faut résister au mal et continuer à faire le bien.
1423. Devenu riche, le pauvre restera, toujours, simple d’esprit.
1424. L’aisance forge la culture dès la naissance.
1425. Naître pour aimer la vie et mourir pour ne pas la détester.
1426. La grandeur de l’homme ne vient pas de ses semblables, c’est un don de Dieu.
1427. Dieu ne conçoit que de belles choses, l’Homme peut-il seulement envisager qu’Il puisse faire laid ?
1428. La philosophie c’est l’art d’exprimer les idées.
1429. Lorsque la bouche se tait, le cœur et les yeux s’expriment.
1430. Je suis une Créature de Dieu et toutes les Créatures de Dieu sont belles donc je suis beau.
1431. Philosopher, c’est regarder le Monde à travers une loupe.
1432. Nul n’est prophète au pays de la jalousie.
1433. Dans la vie, le possible est, souvent, devancé par l’impossible qu’il doit, sans cesse, oser rattraper.
1434. Dans la vie, l’embarras pousse, souvent, l’Homme à ne pas exposer les questions qui le tracassent.
1435. Ne cherchez pas de sens à la Vie, elle se suffit d’un seul : la Mort.
1436. Le bonheur, ce sont tous les instants de la vie où l’Homme oublie ses malheurs passés, présents ou à venir.
1437. Le danger aime tout ce qui bouge.
1438. Il faut se lever pour avancer.
1439. Il n’y a que l’imagination qui peut dépasser la réalité.
1440. De nos jours, l’applaudimètre n’est pas en mesure de distinguer les applaudissements des vrais amis et ceux du reste de l’auditoire.
1441. Le doute s’affirme, toujours, pour brouiller les pistes.
1442. Au mois de mai je mets mes mets sur la maie qui se salit mais cela m’est égal.
1443. Ohé ! Ohé ! Le bonheur est en vente. Faites vos chaînes, payez le prix et sachez qu’il est périssable.
1444. Rire, on peut en mourir !
1445. Il n’est pas donné à tout le monde de briller.
1446. C’est sur le passé que reposent le présent et le futur.
1447. L’amitié par correspondance se tisse sur des doutes en abondance.
1448. Pour se rendre à l’évidence, il faut s’échapper du doute.
1449. Qui ne mâche pas ses mots avoue ses maux.
1450. Brader sa dignité, c’est ne plus en avoir !
1451. Le seul problème du Monde d’aujourd’hui, c’est l’incertitude du Monde de demain.
1452. Pour gravir une pente, l’eau a besoin d’être contenue.
1453. Dans le continuum espace-temps de l’Univers, la Vie n’est qu’un rêve qu’on entame à la naissance et dont on sort à la Mort pour continuer notre sommeil éternel.
1454. Chercher l’équilibre et trouver la chute libre.
1455. Il faut se méfier de l’eau qui dort, c’est de là que peut jaillir la mort.
1456. L’accolade n’est pas, toujours, signe d’amitié. Le fauve aime, bien, en faire à sa victime.
1457. Les dérangés prospèrent au gré de la solitude et des selfies.
1458. S’il vous plaît, l’Eternité c’est par où ? C’est au prochain arrêt du cœur !
1459. Qui mieux que le fainéant excelle à donner des conseils ?
1460. Qui veut atteindre la lune doit préparer sa fusée.
1461. La lune, on n’y va pas par quatre chemins.
1462. Dans toute œuvre humaine, il y a du bon, du moins bon et du mauvais.
1463. Lorsque l’air se met en colère, le vent s’accélère.
1464. Dans son espace de vie, tout ce qui bouge réduit, cumulativement, la liberté de l’Homme.
1465. L’Histoire se répète, mais personne ne peut répéter son histoire.
1466. Le roi Charles n’est pas de Charleroi.
1467. Descendre les pentes, tel est le pouvoir de l’eau.
1468. Pour être entière, la beauté physique doit s’accomplir dans les trois dimensions de l’Espace
1469. Ce Temps, qui fuit tout le temps, me pose la question de son existence.
1470. Si le silence se mettait à parler, il en raconterait bien des secrets !
1471. L’Homme se doit, quelquefois, de résoudre le dilemme éthique : Respecter ses ennemis pour leur sincérité ou bafouer ses amis pour leur hypocrisie.
1472. Je rêve d’un ciel bleu    Qui s’abat sur la Terre    La nuit dans un désert     Où les étoiles brillent de mille feux
1473. C’est à l’Histoire que revient l’honneur de décerner l’ultime et la plus haute distinction à une œuvre humaine.
1474. Lorsque l’eau, le soleil et le désert se rencontrent, surgit l’oasis.
1475. L’Homme ne finira, jamais, de philosopher : c’est la Vie !
1476. Souvent, deux personnes que la Vie a, un certain moment, rapprochées, se repoussent.
1477. Tout ce qui vit, naît petit et deviendra grand.
1478. Rien que le défi pour affronter le déni !
1479. Le Temps s’impose à toutes les Créations, même à la Mort.
1480. Qui pense que la Lune brille de son propre feu se détrompe !
1481. Mère, tu n’es plus là pour le constater, mais ton rêve, par la Grâce Divine, se réalise !
1482. Pour comprendre la Vie, la règle est très simple : Vous avancez d’un pas et vous reculez de deux !
1483. La noblesse de l’âme doit pousser l’Homme à briller de l’intérieur et non de l’extérieur.
1484. Si la forge forme le fer, c’est l’esprit qui forme la forge.
1485. L’Homme ne peut être qu’utile dans un champ fertile.
1486. Tout échec porte en lui un succès : c’est d’avoir essayé !
1487. Tout succès attend un échec !
1488. Le négatif ? C’est un positif qui a trop duré.
1489. Chaque grand homme ne l’est devenu qu’à l’ombre de son père.
1490. Quelle charge affective doit supporter le père, avec deux cœurs dont l’un bat pour lui et l’autre pour ses enfants !
1491. A la tombée de la nuit, je m’empresse de retourner vers le jour.
1492. La mère du mâle craint le mal de mer.
1493. Père, j’oublie, toujours, que je suis père pour être, d’abord, ton fils.
1494. Mère, j’oublie, toujours, que je suis mère pour être, d’abord, ta fille
1495. La guerre, on n’aime guère !
1496. Quels beaux spectacles, sans pareils, lorsque Dame Nature et le Soleil s’endorment et s’éveillent !
1497. Lorsque la vie est raide, le meilleur remède est de rentrer au bled.
1498. La beauté, il faut l’admirer d’en-bas !
1499. Tout ce qui émerge de cette Terre finira en poussière.
1500. Au bout du rêve, se révèlent l’éveil et la magie de la vie dans la clarté du jour qui se lève.
1501. Le temps, je ne fais qu’aller à sa rencontre. J’espère y parvenir au dernier soupir !
1502. Le roi le plus comblé est celui qui gouverne sa propre personne.
1503. L’homme est une énigme insondable, un abîme de profondeur échappant aux filets du savoir.
1504. L’amitié est un lien électif et réciproque, librement consenti de part et d’autre, qui met en jeu la totalité de la personne dans ce qu’elle a de plus authentique.
1505. Un ami ne serait autre que cet être au plus près du mystère insondable de notre être, et qui, pourtant, l’accepte sans chercher à le percer.
1506. Le pouvoir n’a de sens que s’il est au service de fins qui le dépassent.
1507. Le pouvoir n’est grand que s’il se sait petit face à la complexité infinie de la vie.
1508. L’homme manque, toujours, l’essentiel à force de le tenir pour acquis.
1509. De nos jours, l’homme se doit de rester libre et créateur dans un monde qui, sans cesse, menace de l’objectiver.
1510. Il n’est de vraie beauté que pour une subjectivité ardente qui s’abandonne sans réserve à l’objet de sa ferveur.
1511. La réflexion est une graine, l’action est un arbre qui donne des fruits.
1512. Les miracles ne se produisent que pour celui qui travaille dur.
1513. L’homme est une étincelle éphémère jaillie du vide et que son destin est de s’éteindre après avoir brièvement brillé.
1514. Le travail épanouit l’homme, forge son caractère, lui donne un but et contribue au progrès de l’humanité.
1515. Mai, doux mois des fleurs, où la nature s’éveille et enchante nos cœurs de ses parfums printaniers et de ses couleurs.
1516. Le racisme est une insulte à la dignité et à la diversité humaines proférée par des esprits étroits qui ignorent la réalité profonde de ceux qu’ils discriminent.
1517. Le bonheur n’est pas une destination, mais un voyage, une succession de moments précieux, souvent simples, qu’il nous faut cueillir et chérir avec gratitude tout au long de l’existence.
1518. Le bonheur est un papillon qui, lorsqu’on le poursuit, nous échappe sans cesse, mais si l’on s’assied tranquillement, il peut venir se poser sur nous.
1519. C’est en cultivant la paix en nous et en nous ouvrant à l’instant présent que nous avons le plus de chances d’être touchés par cette grâce fugace et merveilleuse qu’est le bonheur.
1520. Le bonheur n’est pas un but à atteindre, mais une façon de voyager ; il réside dans les petits plaisirs du quotidien, savourés avec gratitude et partagés avec générosité.
1521. Le bonheur est une grâce fugitive qui se révèle à celui qui cultive la paix intérieure et embrasse la beauté de l’instant présent avec un cœur ouvert et reconnaissant.
1522. Chaque matin, nous avons le privilège d’ouvrir nos yeux sur un nouveau jour, riche de possibilités. Accueillons-le avec gratitude et faisons de chaque instant une occasion d’apprendre, d’aimer et de nous émerveiller.
1523. Profitons de ce nouveau matin pour nous relier à notre potentiel illimité de bonheur et de réalisation, et faisons de cette journée qui commence un chef-d’œuvre de présence et de générosité !
1524. Chaque aube porte en elle la promesse d’un jour nouveau, riche de découvertes, de joies et de dépassements.
1525. La vieillesse est un privilège offrant sagesse et sérénité, où chaque ride raconte une histoire et où le cœur s’enrichit de gratitude.
1526. La vieillesse est un privilège, une chance d’approfondir sa sagesse, de goûter aux fruits de l’expérience et de léguer un héritage d’amour et de conscience.
1527. L’homme politique moderne doit retrouver sa légitimité en devenant l’animateur d’une citoyenneté active plutôt qu’un professionnel du pouvoir.
1528. Les réseaux sociaux bouleversent les modes traditionnels de communication et de participation politique : les citoyens disposent, désormais, de puissants outils d’expression, de mobilisation et de contestation qui court-circuitent les corps intermédiaires et les relais institutionnels.
1529. L’homme politique d’aujourd’hui doit être à la fois homme de terrain et homme d’État, à l’écoute des aspirations de la base tout en ayant une vision stratégique pour le pays.
1530. Les réseaux sociaux, révolution ambivalente de notre temps, élargissent nos horizons autant qu’ils nous enferment dans nos bulles, nous relient autant qu’ils nous isolent et libèrent nos paroles autant qu’ils les uniformisent.
1531. L’intelligence artificielle est une création algorithmique complexe qui simule certaines capacités cognitives humaines, mais est dépourvue de conscience, de sensibilité, d’intentionnalité et d’une réelle compréhension du monde et d’elle-même.
1532. Pour sa défense, la Patrie révèle son secret : chaque martyr qui tombe sème en silence la force de mille combattants à venir.
1533. L’homme cherche souvent à travers le regard des autres ce qu’il n’ose trouver en lui-même, mais l’hypocrisie des masques qu’on lui tend ne fait que brouiller son propre reflet.
1534. L’amour d’un père est un phare silencieux : il guide sans entraver, éclaire sans éblouir, et reste inébranlable face aux tempêtes de la vie.
1535. La bonté est un fleuve qui naît des gestes quotidiens et s’épanouit en traversant les frontières. Sa grandeur réside non dans l’étendue qu’elle couvre, mais dans sa capacité à nourrir chaque terre qu’elle touche, de la plus proche à la plus lointaine.
1536. Le sort est le scénario écrit par l’univers, la chance est notre capacité à en improviser les détails. L’un nous définit, l’autre nous révèle.
1537. La philosophie est le miroir de l’âme qui interroge l’univers, où chaque question est un reflet de notre être et chaque réponse, un écho de l’infini.
1538. L’acquiescement à notre être est la clé de voûte de la sérénité ; ni rebelle contre le destin, ni esclave de la providence, mais danseur agile sur la corde du possible.
1539. Je suis l’œuvre que Dieu a façonnée, avec ses imperfections et ses éclats ; ni en deçà ni au-delà, mais exactement là où Sa sagesse m’a voulu, et c’est en cet équilibre que je trouve ma paix.
1540. Le bunker n’est pas fait pour vivre, mais pour survivre.
1541. Ce n’est pas homme, celui qui cherche à vivre aux dépens des autres.
1542. Ma compréhension du monde se limite aux mots dont je dispose pour l’exprimer.
1543. L’automne révèle le secret de la vie : chaque feuille qui tombe porte en elle la promesse d’un bourgeon à venir.
1544. L’élégance n’est pas dans ce que l’on porte, mais dans la manière dont on fait briller sa simplicité avec grâce et authenticité.
1545. La rentrée scolaire n’est pas qu’un retour en classe, c’est l’ouverture d’un monde où chaque esprit devient architecte de l’avenir.
1546. La rentrée scolaire est le seuil de toutes les découvertes ; chaque nouveau départ est une chance de grandir, d’apprendre et de se réinventer.
1547. Le soleil ne discrimine pas : il brille pour tous, illuminant chaque jour une nouvelle page d’espoir.
1548. Le soleil ne brille pas pour lui-même, mais pour éclairer le monde ; il nous rappelle que la vraie grandeur réside dans ce que nous partageons.
1549. L’intégrité est un phare ; la vérité en est la lumière.
1550. Pour être éclairante, la critique doit dépasser les extrêmes et s’ancrer dans l’objectivité, car seule la vérité, sans flatterie ni dénigrement, traduit l’intégrité du jugement.
1551. Dans l’océan infini du possible, chaque instant est une goutte où se reflète l’univers entier, et chaque choix est une vague qui redéfinit les rivages de notre être.
1552. Sous l’infini de l’univers, la nuit nous rappelle que nous ne sommes que des poussières d’étoiles, suspendues entre l’éternité du ciel et l’éphémère de nos vies.
1553. La nuit n’est pas l’absence de lumière, mais la présence de l’infini ; elle ne voile pas le monde, elle le révèle dans sa profondeur insondable.
1554. Deux fois par an, le jour et la nuit s’accordent dans un équilibre parfait, rappelant la dualité de l’existence : joie et tristesse en parfaite symétrie.
1555. L’homme, au seuil de la naissance comme à celui de la mort, demeure étranger à son propre destin : ces instants majeurs échappent à son vouloir, révélant l’emprise d’une volonté qui le dépasse.
1556. Le véritable génie n’a pas besoin de mots pour être compris, mais il est d’autant plus admiré lorsqu’il échappe à la compréhension.
1557. La conscience de soi, miroir de l’âme, peut être voilée par les brumes de notre propre esprit, nous rendant étrangers à nous-mêmes.
1558. L’audace ouvre des portes que l’ambition franchit, car oser sans viser n’est que témérité, tandis qu’aspirer sans agir n’est qu’un rêve inachevé.
1559. La haine est le miroir obscur où se reflète la bassesse de l’âme ; celui qui s’y attarde ne fait que contempler les ombres de ses propres faiblesses.
1560. Lorsque les valeurs s’affaissent, la république s’abaisse ; et lorsque la république vacille, les valeurs défaillent.
1561. Toute autorité attire ses flatteurs, et tout courtisan convoite les faveurs de son maître.
1562. La démocratie, comme une mer agitée, porte en elle sa propre tempête : la tyrannie des nombres, les chants de la démagogie et les écueils des intérêts privés. Seule la vigilance peut en tenir le gouvernail.
1563. Lorsque l’idéal de perfection succombe aux imperfections de la réalité, il cesse d’être lui-même.
1564. Quand le temps trahit ceux qui l’habitent, où fuir sinon dans la mémoire, loin de la médiocrité et de son époque, là où l’éphémère cède place à l’éternité des souvenirs ?
1565. Celui qui trahit son peuple ne renie pas seulement sa communauté, mais l’âme même de sa propre humanité, troquant l’honneur contre les chaînes d’une servitude honteuse.
1566. Dans le silence de l’âme fleurit la sagesse, tandis que dans le tumulte du monde s’éveille la compassion ; c’est à la croisée de ces chemins que l’humanité trouve sa véritable grandeur.
1567. Dans le théâtre de l’existence, l’authenticité naît de la conscience des masques, de la lucidité face aux rôles imposés, et du courage de réécrire son script avant de se perdre dans le personnage.
1568. Dans cette vie, le bonheur trouve souvent son écho dans le malheur, car c’est dans l’ombre de l’un que l’autre révèle sa véritable lumière.
1569. Dans cette vie, heureusement que malheureusement existe.
1570. Dans cette vie, chacun possède sa vérité, mais la vérité échappe à toute possession.
1571. Gueuler finit, souvent, par être engueulé.
1572. « Quel que soit l’étalon, l’homme et la femme restent imparfaits. »
1573. La danse est une équation parfaite où le rythme dicte la variable, le corps devient le mouvement pour former, à deux, une solution infinie.
1574. Après la force vient la faiblesse, car toute puissance porte en elle les germes de sa propre fin.
1575. L’apogée de toute puissance marque le début de son déclin.
1576. Après la faiblesse, surgit la force, car chaque épreuve forge en silence la puissance de celui qui persévère.
1577. La persévérance face à l’adversité engendre la résilience, transformant subtilement les défis en sources de vigueur pour celui qui ne renonce pas.
1578. L’immobilité apparente du quotidien aveugle souvent aux mouvements silencieux de l’univers.
1579. Qui t’abandonne aux tempêtes perd le droit de juger ton retour au rivage.
1580. Entre la connaissance qui ignore et l’intelligence qui s’égare, la sagesse tend la main à celui qui cherche à éclairer ce qu’il sait.
1581. Dans le théâtre de la vie, ceux qui brandissent le double standard dans l’ombre se drapent d’un faux vernis de vertu, masquant leur hypocrisie sous le poids d’une conscience altérée.
1582. L’homme est comme un cuisinier qui devine la recette en goûtant le plat ; l’IA est comme un livre de cuisine qui contient toutes les recettes sans jamais avoir goûté un seul plat.
1583. L’homme peut parfois saisir l’essence sans posséder l’intégralité du savoir, tandis que l’intelligence artificielle, bien qu’omnisciente, ne garantit pas la compréhension.
1584. La colère commence par une démence et se termine par un regret.
1585. L’idée sans action reste un rêve, l’action sans idée devient une errance ; c’est dans leur alliance que naît la métamorphose du monde.
1586. Le changement n’est vertu que lorsque sa direction est sagesse.
1587. Lorsque l’idiotie gagne la politique, le bon sens s’étiole et la raison abdique.
1588. L’homme, dans sa quête effrénée de connaissance, oublie que chaque progrès incertain de sa science le rapproche inexorablement du seuil de sa disparition.
1589. L’humanité n’aura pas péri de son ignorance, mais de la présomption de son savoir.
1590. Dans la nuit du 1er novembre 1954, ils n’étaient pas seulement quelques hommes à prendre les armes : ils étaient les héritiers de 124 années de résistance, porteurs des espoirs de tout un peuple. Chaque explosion qui a retenti cette nuit-là était un cri de liberté, une promesse faite aux ancêtres et un serment pour leurs enfants. Ce n’était pas le début de leur combat ; c’était le moment où ils ont décidé que la peur ne serait plus leur compagne quotidienne.
1591. Les peuples n’oublient jamais : ils peuvent temporiser, mais finissent toujours par réagir.
1592. La noirceur que l’on voit en autrui n’est souvent que l’ombre de nos angles morts.
1593. Après 132 ans de colonisation, l’Algérie a arraché son indépendance : notre mémoire n’est pas un héritage de haine, mais un flambeau de vérité porté par ceux qui ont combattu pour notre liberté. Ce que nous avons reçu n’est pas la rancœur, mais le courage de porter notre histoire forgée dans la lutte et le sacrifice, pour que jamais la dignité d’un peuple ne soit piétinée. La justice ne réside pas dans l’oubli, mais dans la reconnaissance de nos blessures et dans les ponts que nous bâtirons ensemble, en hommage à ceux qui nous ont précédés.
1594. L’oblique est la clé de toute guerre, révélant que la vérité ne se trouve pas dans la ligne droite, mais dans la capacité à déjouer l’attente : c’est le tir qui atteint sa cible, la ruse qui conquiert sans combat, et la sagesse qui guide l’âme vers une victoire éclairée.
1595. Sentinelle des siècles et gardien des Aurès, le cèdre se dresse, fier et immuable. Il incarne la sagesse qui résiste au passage du temps, unissant le souffle du désert à la fraîcheur des hauteurs, et nous rappelle que la grandeur véritable naît de la patience et de la force silencieuse.
1596. La colonisation est une blessure infligée à l’âme d’un peuple, où le passé laisse des cicatrices que seule la mémoire peut guérir ; car se réapproprier son histoire, c’est redonner à la dignité sa juste valeur.
1597. Dans le sillage de l’indépendance et de la fin des chaînes visibles, bien des citoyens portent encore les fers de l’allégeance ; car la libération la plus profonde n’est pas celle du sol, mais celle de l’esprit.
1598. L’authenticité n’est pas un masque qu’on emprunte, mais un visage qu’on dévoile ; celui qui mendie l’approbation des autres finit par devenir étranger à lui-même.
1599. En cette vie, ma seule certitude est de n’en avoir aucune.
1600. Dans le silence dépouillé de l’hiver se révèle le mystère de toute vie : sous l’apparente immobilité des choses, les forces du renouveau se forgent, et le plus profond des repos enfante la plus belle des métamorphoses.
1601. L’honneur est la forteresse des âmes pures, quand les villes en bradent les murs.
1602. L’amitié est un pont invisible entre deux âmes, forgé par la vérité, soutenu par la constance, et renforcé par les épreuves que le temps ne peut éroder.
1603. L’amitié est le miroir où deux âmes se contemplent et, dans leur reflet commun, découvrent l’infini de leur humanité partagée.
1604. Dans un monde fragmenté par les divisions, cultiver l’amitié, c’est semer les graines d’une humanité réconciliée.
1605. Quand l’esprit s’attarde sur la caresse du vent et oublie la tempête qui l’emporte, il confond la légèreté du moment avec l’abandon de sa destinée.
1606. L’existence est une odyssée vers sa fin, mais c’est cette finitude qui en révèle la profondeur de l’essence.
1607. Le temps, allié silencieux de la justice, érode patiemment l’injustice et nourrit les racines de l’équité.
1608. Une nation est telle une symphonie : les musiciens passent, la mélodie reste.
1609. L’âge ne fait pas obstacle à la beauté.
1610. La guerre est un théâtre tragique où : 1/ Les puissants orchestrent le conflit, rarement exposés à ses horreurs, motivés par l’ambition politique et les intérêts économiques. 2. Les combattants, hommes et femmes, risquent leur vie, certains par idéal, d’autres par devoir ou nécessité, et tous en ressortent marqués à jamais. 3. Les civils, véritables victimes, endurent destruction, famine et traumatismes, payant le prix le plus lourd d’une violence qu’ils n’ont pas choisie. Chaque vie perdue est un échec de notre humanité. Notre devoir est de chercher inlassablement des voies de paix et de compréhension mutuelle.
1611. De nos jours, opposant, l’homme politique doit exceller dans la critique ; dirigeant, s’assurer de maîtriser la tactique et la rhétorique, tout en veillant à ce que son action [lui] soit toujours bénéfique ?
1612. Un leader visionnaire doit inspirer confiance et engagement, en alliant intelligence émotionnelle, stratégie et communication, pour pouvoir guider son équipe vers l’excellence par sa résilience, sa présence et sa capacité d’adaptation.
1613. De nos jours, le voile se porte souvent sur le corps par conviction et sur la raison par ignorance.
1614. Dis-moi ce qu’un peuple enseigne à ses enfants et je te dirai ce qu’il espère ; montre-moi son projet et je te dirai ce qu’il sera.
1615. Lorsque la réalité dérange, on lui colle une phobie.
1616. L’amitié, ce mystère existentiel, se doit d’être un lien indéfectible qui traverse le temps et les épreuves dans un partage réciproque et fécond.
1617. L’aube, manifestation sublime de la nature, infuse l’esprit épuisé de nouvelles promesses.
1618. De nos jours, les médias deviennent les porte-voix de leurs maîtres pour façonner l’opinion plutôt que de la refléter dans une démocratie menacée et privée de l’oxygène vital d’une presse libre et responsable.
1619. Si je devais renaître, aurais-je été le même ?
1620. Être pour avoir ou avoir pour être, c’est la question ?
1621. À problème, un problème.
1622. Être en vie, c’est avoir envie.
1623. L’homme a le potentiel d’avoir un impact positif sur le monde. Il peut le faire en utilisant ses sens pour se connecter aux autres, sa raison de les comprendre et son cœur pour les aimer.
1624. Si Adam et Ève symbolisent notre humanité commune, la nature, dans sa sagesse, a peint leurs descendants de mille teintes, enrichissant le tableau de la vie. Reconnaissons cette diversité comme une force et bâtissons un monde de respect et de dignité pour tous.
1625. La valeur se forge dans les feux de l’adversité.
1626. C’est dans les yeux d’un enfant blessé que se dessine la promesse d’une humanité réparée, où l’innocence triomphera de la cruauté.
1627. Dans l’étreinte de la mortalité, l’âme éclairée embrasse la vertu, source de puissance immortelle.
1628. Ils ont cru qu’ils étaient invincibles, alors ils ont perdu.
1629. Face à l’injustice, l’homme doit se dresser, fier et digne, porteur d’espoir et assumer son devoir d’éclairer le chemin vers un monde plus juste.
1630. Seule l’image a le pouvoir de suspendre le vol implacable du temps, immortalisant l’éphémère dans une éternité visuelle.
1631. Chaque être humain naît libre, mais il faut au peuple courage et passion pour défendre sa liberté. C’est ce qui fait la différence entre vivre pleinement et se contenter de survivre.
1632. Dans ce monde imparfait, l’injustice s’entrelace parfois à la justice, revêtant son masque pour se parer indûment des atours de la légitimité.
1633. Chaque défi sur notre route est une invitation à grandir, chaque échec une leçon pour mieux rebondir, et chaque réussite un tremplin vers de nouveaux horizons.
1634. Qu’attendez-vous d’une âme humaine, sinon une lutte incessante entre ses penchants bénéfiques et maléfiques, avec pour seul arbitre la force de sa volonté ?
1635. Les réseaux sociaux, révolution ambivalente de notre temps, élargissent nos horizons autant qu’ils nous enferment dans nos bulles, nous relient autant qu’ils nous isolent et libèrent nos paroles autant qu’ils les uniformisent.
1636. Quand le bien et le mal sommeillent, il faut veiller à ne pas réveiller le mal.
1637. Le racisme est une insulte à la dignité et à la diversité humaines proférée par des esprits étroits qui ignorent la réalité profonde de ceux qu’ils discriminent.
1638. Le travail épanouit l’homme, forge son caractère, lui donne un but et contribue au progrès de l’humanité.
1639. Dans la vie, plus on partage et on abandonne ses idées, plus elles vivent et se bonifient dans l’esprit des autres.
1640. Face au fauve dévorant sa proie sans défense, l’homme, partagé entre compassion et amertume, contemple cette violence primordiale qui dit la dure loi de la vie : tuer pour survivre.
1641. Tel le marteau qui enfonce le clou, la volonté forge le destin en donnant forme aux rêves les plus hardis.
1642. La vie est une goutte de temps dans l’océan infini de l’éternité.
1643. Dans un monde où les valeurs se perdent, l’honneur, autrefois boussole morale, peine à guider l’homme égaré.
1644. Dieu crée ce qu’il veut et autant qu’il veut. Deux de ses créations concernent le règne des vivants : la Vie et la Mort.
1645. L’intelligence artificielle (IA) est un atout précieux dans l’arsenal technologique de l’humanité, capable d’être utilisée pour le progrès ou la destruction.
1646. Le roi le plus comblé est celui qui gouverne sa propre personne.
1647. Je suis tellement intelligent pour être sûr que je ne le suis pas.
1648. La réflexion est une graine, l’action est un arbre qui donne des fruits.
1649. Au bout du rêve, se révèlent l’éveil et la magie de la vie dans la clarté du jour qui se lève.
1650. Beaucoup de gens s’efforcent d’accéder à la grandeur, mais rares sont ceux qui parviennent à la préserver.
1651. Philosopher, c’est trouver un havre de paix où se mettre à l’abri des radeaux d’imbécillités charriés par les flots tumultueux de ce monde.
1652. L’Histoire se complaît à me faire revivre ma tristesse.
1653. De la solitude naît, fréquemment, la nostalgie, cette fille des souvenirs qui nimbe le présent de ses brumes rêveuses.
1654. Pauvre enfant dont la mère fut une ombre furtive, effleurée à peine avant que la vie ne l’arrache à ses bras, laissant une plaie béante que ni les années ni les sourires n’ont jamais pu panser.
1655. Le regret est, souvent, l’enfant d’une décision hâtive.
1656. La vie est un chemin parsemé d’embûches, mais jalonné de bonheurs fugaces.
1657. Le bonheur aime se poser, doucement, sur les épaules de ceux qui savent l’apprivoiser avec patience et bienveillance.
1658. Le savoir de l’humanité n’est qu’une infime partie du savoir absolu de Dieu.
1659. La lune, confidente nocturne, nous observe avec bienveillance, diffusant une douce clarté qui apaise les âmes solitaires en quête de rêverie.
1660. Libre et insaisissable, la pensée parcourt l’immensité de l’imagination pour combler l’âme, assoiffée de connaissance.
1661. Au printemps, la nature tient à revêtir ses plus belles couleurs pour célébrer le renouveau de la vie.
1662. Ô Sahara, océan de dunes et de mystères, tes étendues infinies bercent le voyageur d’une douce torpeur, l’invitant au recueillement et à l’écoute des murmures de l’âme.
1663. Le soleil est le peintre de nos jours, colorant nos vies de mille nuances avec ses pinceaux de lumière.
1664. L’homme quitte, vraiment, sa jeunesse quand la flamme de l’enthousiasme ne brûle plus en lui.
1665. La misère, la vraie, est dans une âme sans rêves.
1666. L’intelligence artificielle (IA) est un atout précieux dans l’arsenal technologique de l’humanité, capable d’être utilisée pour le progrès ou la destruction.
1667. S’ils ne sont pas manipulés, les peuples ont, toujours, été justes.
1668. Dans un océan de tristesse et de chagrin, une blessure profonde et une douleur vive, seul celui qui a perdu sa mère peut ressentir son absence.
1669. La grandeur n’est qu’une question de temps : ce qui est grand a d’abord été petit, et le redeviendra un jour.
1670. Dans la vie, la mère, éternelle compagne, résiste, avec entrain, au temps qui fuit et laisse son empreinte indélébile d’un amour inébranlable pour son enfant.
1671. Le devoir universel de l’homme est d’aimer et de respecter toutes formes de vie.
1672. La vieillesse prolonge la vie, il faut l’assumer avec force et résilience.
1673. La politique et l’argent roulent avec le même carburant, l’intérêt.
1674. La plus grande des faveurs que Dieu accorde à l’homme est de croire en Lui.
1675. La vie est faite de hauts et de bas et le bonheur ne peut exister sans une certaine résilience face aux défis et aux obstacles.
1676. Être pour faire ou faire pour être : À trancher !
1677. Le bédouin, mystérieux, insaisissable, imprégné de tradition et d’honneur, grand et fier au visage patiné, est né pour la liberté que seul le désert peut apporter.
1678. Le désert, un poème où le silence s’exprime, l’éternité se rencontre avec le présent et la vie se cache sous les dunes.
1679. Exposé au soleil, le désert, sans fin, immobilise le temps et fait danser la chaleur sur le sable brûlant.
1680. Dans ce monde matérialiste où tout s’achète, la valeur d’un être est, souvent, mesurée par sa réussite, son argent ou sa silhouette, alors qu’au final, seul le cœur mérite qu’on s’y arrête.
1681. Parmi les humains, certains excellent dans le bien et d’autres dans le mal. L’Histoire ne vénère, cependant, que les bienfaisants.
1682. Vivre, c’est la magie de l’instant.
1683. Chaque homme possède, en lui, la clé qui ouvre la porte du bonheur.
1684. Miroir de l’expérience vécue, la vieillesse contemple, avec sagesse, le monde qui l’entoure pour reconnaître la fragilité de chaque instant et voir la beauté là où d’autres la négligent.
1685. À défaut de santé, source de vitalité, d’énergie et de félicité, l’existence est bien fade, les plaisirs s’estompent et la joie se barricade.
1686. L’artificiel ne peut, jamais, être intelligent.
1687. Le bonheur naît dans le cœur, pas dans la poche.
1688. Au-delà des épreuves, il y a toujours un espoir qui s’endort dans les souvenirs passés et les rêves à venir.
1689. À l’endormissement, l’âme aime se remémorer toutes les bonnes actions qu’elle a entreprises.
1690. Il n’y a pas de richesse dans l’argent, mais dans la force de l’âme et de la volonté. En se découvrant lui-même et son environnement, le pauvre mérite d’être aimé et respecté.
1691. En pleine solitude, il trouve refuge Dans les souvenirs d’un temps meilleur Quand l’espoir était présent sans subterfuge, le pauvre se réveille pour crier son malheur.
1692. De nos jours, qui, mieux qu’une relation inversement proportionnelle, pourrait lier l’intelligence à la puissance ?
1693. Merci mon entourage, ton silence m’encourage !
1694. Dans les rues sombres d’une ville oubliée Vit un homme au destin malheureux Une âme triste que la vie a rejetée, Le pauvre, esseulé, au cœur douloureux.
1695. La quête du savoir ne doit pas être celle de l’avoir.
1696. Bon Dieu, protège-nous de devenir des auteurs de tort envers nos semblables.
1697. Dans la vie, faire le mal, c’est inscrire une dette envers l’avenir.
1698. L’humanisme ne fait pas de différence entre les humains.
1699. Il ne faut jamais défier le temps, car il finit, toujours, par prendre sa revanche.
1700. Le bien, seule la morale peut en donner les moyens.
1701. Dans ce monde en perte de valeurs, la morale crie son malheur.
1702. Ce n’est pas facile de guérir du mal dont on ne parle pas.
1703. Si on ne peut douter de la séparation du langage et de la pensée, on se résigne à admettre que notre perception du monde est incomplète, le langage étant une œuvre humaine.
1704. L’homme ne peut observer l’univers que de l’intérieur, lui-même en faisant partie. L’extérieur ne lui est pas accessible.
1705. La sincérité se découvre dans les actes, au-delà des mots prononcés, des masques et des rôles joués.

1706. L’éternité nous prête au temps, avant de nous reprendre.

1707. Les querelles entre frères s’effacent quand l’étranger frappe à la porte ; car le sang qui nous divise est aussi celui qui nous unit.

1708. Un peuple est comme l’océan : ses vagues s’entrechoquent sans cesse, mais face au vent, elles se lèvent d’un seul mouvement.

1709. La liberté d’être divisés est le privilège de ceux qui ont conquis ensemble le droit d’être unis.

1710. Dans ce monde, ne restent-ils que les vrais faux et les faux vrais ? Mais où sont passés les vrais vrais et les faux faux ?

1711. Deux poids, deux mesures : l’équilibre brisé où l’arrogance pèse plus lourd que la justice, et où la vérité s’efface sous le voile des privilèges.

1712. La justice s’égare souvent avant d’atteindre le seuil de son palais.

1713. Les larmes sont le langage silencieux de l’âme, elles trahissent ce que les mots ne peuvent contenir et révèlent l’humanité dans sa plus profonde vulnérabilité.

1714. L’électricité fait fonctionner les machines, mais seule l’étincelle divine anime l’esprit humain.

1715. Aussi éclatante soit-elle, la vérité trouve toujours son opposant ; c’est dans cette lutte que l’homme révèle sa double nature, partagée entre le bien et le mal.

1716. Ainsi s’élève un jour, parfait dans son éclat : La joie d’exister s’y peint en transparence. Et l’homme, contemplant cette humble évidence,
Y trouve un sens profond que nul temps n’altéra.

1717. Brandie comme un étendard moral, la démocratie se mue souvent en masque raffiné, dissimulant les intérêts particuliers des puissants qui s’en réclament.