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Mois : février 2025

2056. Le printemps murmure la leçon du renouveau : nul hiver n’est éternel, et chaque bourgeon qui éclôt rappelle que la vie triomphe toujours du silence des saisons.

2055. Seul celui qui porte en lui de quoi brûler redoute l’épreuve du feu.

2060. La forme circulaire est la signature visible de l’invisible : elle unit l’infiniment grand à l’infiniment petit, inscrit le mouvement dans l’éternité et révèle l’harmonie cachée du cosmos.

2053. La raison n’a ni camp ni couleur : elle éclaire ceux qui la cherchent et s’éteint chez ceux qui la plient à leurs convictions.

2052. Suivre la voix de son maître, c’est ne plus être maître de sa voie.

2051. L’absolu moral recule à mesure qu’on l’approche, laissant l’âme humaine dériver sur l’océan du bien et du mal, où les marées de la conscience mêlent leurs eaux sans jamais les confondre.

2050. Il faut savoir reconnaître le bien quand l’habitude forge le blâme.

2049. Mon Algérie est un océan tranquille : la moindre onde née d’un souffle étranger éveille l’écho des abysses, et chaque vague qui s’élève porte en elle la force de ses profondeurs.

2048. Quand l’ignorance gouverne, la raison s’éclipse, et sous le masque de la démagogie, la vérité se fait exilée.

2047. Le silence de l’âme face à l’infini n’est ni renoncement ni faiblesse, mais la promesse d’une sagesse en devenir.